Face à la presse, hier, le Directeur général des élections a apporté des réponses au livre blanc de la coalition Gagnante Wattu Senegaal. Thiendella Fall a pris le contre-pied de l’ancien Président Abdoulaye Wade et de ses collaborateurs qui parlent d’une « mascarade électorale ».
Concernant la distribution des cartes d’identité biométriques, il admet qu’il y a eu des difficultés. Lesquels peuvent être expliquées par le débordement des commissions après que des millions de cartes ont été produites.
« Nous avons essayé avec les autorités territoriales d’apporter les éclairages qu’il fallait et c’est pourquoi nous pouvons nous réjouir aujourd’hui que 80% des cartes soient retirées. A cela s’ajoute le taux de participation de 54% qui est un record», se réjouit-il.
A l'instar des responsables de Benno Bokk Yakaar, Thiendella Fall se félicite d’un taux qui n’a jamais été atteint depuis que l’élection présidentielle et les élections législatives ont été découplées. « Il tournait autour de 35% et, même en 2012, on n’a pas atteint les 37% », indique-t-il en soutenant que c’est un taux honorable. Ce, d’autant qu’il arrive que des pays à démocratie avancée peinent à avoir ce taux.
Le Directeur général des élections a abordé la décision prise par le Conseil constitutionnel permettant aux primo-inscrits qui n’avaient pas retiré leurs cartes de pouvoir voter avec d’autres documents.
« Nous considérons que le vote est un droit constitutionnel et les difficultés qui viennent de l’administration ne devraient pas constituer un blocage pour le citoyen qui veut exercer son droit », a-t-il déclaré.
Cependant, il n’a pas nié l’évidence, les difficultés rencontrées dans la distribution des cartes avant ce scrutin. Il rassure que toutes les dispositions seront prises pour y remédier.
Sa direction a identifié tous les problèmes pendant la distribution.
« Nos compatriotes ont peiné à avoir leurs cartes. C’est une réalité mais le résultat, si on s’en prend aux chiffres, est réjouissant », a soutenu M. Fall en promettant que des efforts seront faits pour que le reste des cartes soit distribué. « Il faut que les prochaines révisions qui engendreront la production de cartes d’identité et d’électeur ne connaissent pas les mêmes difficultés vécues par les Sénégalais », indique-t-il.
Concernant la distribution des cartes d’identité biométriques, il admet qu’il y a eu des difficultés. Lesquels peuvent être expliquées par le débordement des commissions après que des millions de cartes ont été produites.
« Nous avons essayé avec les autorités territoriales d’apporter les éclairages qu’il fallait et c’est pourquoi nous pouvons nous réjouir aujourd’hui que 80% des cartes soient retirées. A cela s’ajoute le taux de participation de 54% qui est un record», se réjouit-il.
A l'instar des responsables de Benno Bokk Yakaar, Thiendella Fall se félicite d’un taux qui n’a jamais été atteint depuis que l’élection présidentielle et les élections législatives ont été découplées. « Il tournait autour de 35% et, même en 2012, on n’a pas atteint les 37% », indique-t-il en soutenant que c’est un taux honorable. Ce, d’autant qu’il arrive que des pays à démocratie avancée peinent à avoir ce taux.
Le Directeur général des élections a abordé la décision prise par le Conseil constitutionnel permettant aux primo-inscrits qui n’avaient pas retiré leurs cartes de pouvoir voter avec d’autres documents.
« Nous considérons que le vote est un droit constitutionnel et les difficultés qui viennent de l’administration ne devraient pas constituer un blocage pour le citoyen qui veut exercer son droit », a-t-il déclaré.
Cependant, il n’a pas nié l’évidence, les difficultés rencontrées dans la distribution des cartes avant ce scrutin. Il rassure que toutes les dispositions seront prises pour y remédier.
Sa direction a identifié tous les problèmes pendant la distribution.
« Nos compatriotes ont peiné à avoir leurs cartes. C’est une réalité mais le résultat, si on s’en prend aux chiffres, est réjouissant », a soutenu M. Fall en promettant que des efforts seront faits pour que le reste des cartes soit distribué. « Il faut que les prochaines révisions qui engendreront la production de cartes d’identité et d’électeur ne connaissent pas les mêmes difficultés vécues par les Sénégalais », indique-t-il.
Autres articles
-
Gambie : Pourquoi souhaite-t-on le retour de la pratique de l'excision chez les filles ?
-
Élection présidentielle du 24 mars Pourquoi Dionne est le meilleur choix?
-
SERVICE MILITAIRE OBLIGATOIRE ; 500 000 EMPLOIS, INONDATIONS, LE PORT DE DAKAR ET L'AÉROPORT LSS, LE TER… : Le très ambitieux programme Mohamed Boun Abdallah Dionne pour « un Sénégal juste »
-
Kaolack/ Meeting de Amadou Bâ : Bamba Mbodj mobilise et promet une victoire de son camp au soir du 24 mars
-
Campagne Présidentielle / Kolda : Bassirou Diomaye Faye promet 5 milliards à l'artisanat