Des informations pas du tout rassurantes nous parviennent des professionnels de l’élevage, on redoute fortement un manque criard de moutons pour la fête de la Tabaski.
Nos sources ,qui ont parcouru toute la zone sylvo-pastorale, nous informent qu’il n’y a pas beaucoup de moutons prêts à rallier les zones urbaines. Ceci à quelques trois semaines de la fête. Les quelques moutons trouvés sont hors de prix, les vendeurs sont intransigeants sur les prix. Des nouvelles nous parviennent aussi de la frontière Sénégalo-Malienne, où on nous dit que l’année dernière à la même période, il y’avait 30.000 têtes prêts à entrer au Sénégal, alors que seuls 13.000 têtes sont actuellement dénombrées. Ce manque est dû à la crise au nord du Mali, d’où provient le plus grand nombre du bétail utilisé au Sénégal pour la Tabaski.
Les autorités Sénégalaises ont assuré que le marché sera correctement approvisionné en moutons et qu’ils seront accessibles à toutes les bourses. Espérons que toutes les dispositions ont été prises pour cela, car il est de notoriété publique que s’il y’a pénurie, les prix flambent. En ces temps de crise économique, le peuple n’a pas besoin de ça.
Nos sources ,qui ont parcouru toute la zone sylvo-pastorale, nous informent qu’il n’y a pas beaucoup de moutons prêts à rallier les zones urbaines. Ceci à quelques trois semaines de la fête. Les quelques moutons trouvés sont hors de prix, les vendeurs sont intransigeants sur les prix. Des nouvelles nous parviennent aussi de la frontière Sénégalo-Malienne, où on nous dit que l’année dernière à la même période, il y’avait 30.000 têtes prêts à entrer au Sénégal, alors que seuls 13.000 têtes sont actuellement dénombrées. Ce manque est dû à la crise au nord du Mali, d’où provient le plus grand nombre du bétail utilisé au Sénégal pour la Tabaski.
Les autorités Sénégalaises ont assuré que le marché sera correctement approvisionné en moutons et qu’ils seront accessibles à toutes les bourses. Espérons que toutes les dispositions ont été prises pour cela, car il est de notoriété publique que s’il y’a pénurie, les prix flambent. En ces temps de crise économique, le peuple n’a pas besoin de ça.
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