Sur les traces du premier cas avéré d'un porteur du virus Ebola au Sénégal : Retour sur le parcours de l'étudiant Camara


Sur les traces du premier cas avéré d'un porteur du virus Ebola au Sénégal : Retour sur le parcours de l'étudiant Camara
DAKARACTU.COM - C'est au bout d'énormes difficultés, comme vous vous en doutez bien, que nous avons pu avoir des informations concernant le premier cas d'un porteur du virus Ebola sous nos cieux. 

Cependant, nous avons pu glaner auprès de nos sources que le jeune Camara est un étudiant Guinéen âgé d'une vingtaine d'années, qui est arrivé au Sénégal le 08 Août dernier, donc bien avant la fermeture de nos frontières avec la Guinée Conakry. 


Il aurait contracté le virus par le biais de ses parents restés en Guinée, avant de prendre la route pour rallier le Sénégal en passant par Koundara (région de Kolda). D'ailleurs, la police de l'Air et des Frontières, de concert avec le ministère de la Santé, sont activement en train de reconstituer le parcours exact du malade, afin d'abord de contrôler le véhicule et ensuite de faire procéder à tous ceux qui l'ont emprunté, les tests d'usage. Tout de même, le lieu où a séjourné le jeune étudiant a été verrouillé hier par le ministère de la Santé, de peur certainement de représailles.


En ce qui nous concerne, aussitôt qu'une source nous a mis la puce à l'oreille, nous nous sommes immédiatement rendus aux Parcelles Assainies, précisément à l'Unité 7. 

Mais chose cocasse et détonante,  les deux dames rencontrées en premier, ont détalé comme des lapins, dès lors que nous avons demandé après le malade atteint d'Ebola. Un septuagénaire rencontré sur les lieux sauvera la mise, en acceptant de deviser un peu avec nous : "Je ne sais pas précisément dans quel secteur il a habité, mais je puis vous affirmer qu'il y a un nombre incalculable de ressortissants Guinéens aux Parcelles Assainies, comme du reste dans tous les quartiers populaires de Dakar." 


Loin de nous décourager, nous avons poussé nos investigations dans cette zone désormais à risque de contamination. Et c'est ainsi que nous avons pu rencontrer une dame qui nous a fait la précision suivante : le désormais rebutant étudiant en question a eu à se faire consulter au Centre de santé de l'Unité 9 aux Parcelles Assainies. 


Sans rechigner, nous avons immédiatement fait cap sur ledit Centre de santé qui avait entre temps reçu la visite d'un détachement de sapeurs pompiers et de médecins, venus procéder aux opérations de dépistage épidémiologique. C'était aux environs de 16h... 

Il nous revient du préposé à la sécurité du dispensaire, que le sujet infecté a eu à se faire consulter par le Dr Goudiaby qui officie au dit Centre de santé de l'unité 9, mais compte tenu de son cas qui ne cessait de s'envenimer, il aura finalement été admis au pavillon des maladies infectieuses du CHU de Fann. La suite est connue du monde entier ...
Samedi 30 Août 2014




1.Posté par samba kah sambe le 30/08/2014 03:36
Il faut verifier vos informations Kundara ne se trouve pas a Kolda mais bien en Guinee Conakry Le poste frontalier se trouve a Linkering qui donne sur la region de Kolda Bien a vous

2.Posté par Nasaf le 30/08/2014 04:01
Ou est le parcours?

3.Posté par thior le 30/08/2014 11:12
il a passé la frontière le 13 Août pas le 08.
le centre santé est nommé Mame Dabakh et ce n'est pas à l'unité 9.
un centre de santé n'est pas un dispensaire.

4.Posté par LIBASSE KEBE le 30/08/2014 12:18
THIEY BI PRESSE

LA QUASI TOTALITÉ DES JOURNAUX ONT DONNÉ UN NOM AU MALADE, DANS LES PUBLICATIONS DE CE MATIN : MAMADOU A DIALLO. ET MAINTENANT CAMARA. POURQUOI CETTE PRÉCIPITATION SANS VÉRIFIER L'INFORMATION. ÉVITEZ QUE LES GENS DISENT "WA KHI JOURNALISTES LA"

5.Posté par Dr Djinne le 30/08/2014 13:48
Journalisme de merde encore ! Il faut employer des vrais journalistes qui connaissent le travail et la morale journalistique !!!
Pauvre cons avec des papiers culs.

6.Posté par babacar le 30/08/2014 18:43
franchement!!!!!! Koundara se trouve en Guinée: il fallait tout simplement tapé sur google pour vérifier: c'est grave u'un journaliste confond une région de la guinée à une région de son propre pays. c'est impardonnable; a part ça je ne voit pas dans l'article le parcours dont vous parlez!!!!

7.Posté par Abou Bakry Cissé le 30/08/2014 19:43
Il faut qu'on menace les guinéens pour qu'ils arrêtent de faire venir leurs famille dans notre pays car c eux qui leurs montre le chemin à prendre sinon on aura un épidémie ils doivent rester chez eux et que le ministre doit donner un numéros vert à appeler en cas ou quelqu'un qui voit un ressortissant guinéen le signale car ils commencent à être nombreux dans notre pays.

8.Posté par les pauvres le 30/08/2014 20:08
IL EST PERILLEUX D'IDENTIFIER TOUTES LES CONTRE VERITES (NOM, DATES .....)
ET MALGRE TOUT, POINT DE PARCOURS (.....)

9.Posté par pas de mboumbaye le 30/08/2014 20:18
Que ce soit diallo ou camara ce con de guinéen mérite la cour d'assise pour tentative de meurtre par Ebola et atteinte à la sureté de l'état et doit etre jugé par la CREI pour entrée illicite dans un territoire fermé

10.Posté par NGOR le 31/08/2014 11:21
Soigner et emprisonner ou retourner à la frontière. Il l'a fait exprès; il activement participé à l'enterrement d'une personne décédée par Ebola, il était répertorié comme contact potentiellement contaminé (confiné à domicile, suivi journalièrement pour être pris en charge des la plus petite alerte: ca il l'avait compris), il est instruit, il a caché des informations importantes qui auraient permis aux sénégalais, aux soignants de le prendre en charge de façon adaptée et avec plus de célérité et toutes les dispositions requises. Il a mis en danger toutes ses personnes. IL EN A PEUT ETRE CONTAMINE; NOUS NE POUVONS LE SAVOIR QUE DANS 3 SEMAINES. INCERTITUDE, INQUIETUDE POUR LES CONTACTS REPERTORIES ET IGNORANCE DU RISQUE ENCOURU PAR CEUX QUI NE SAVENT PAS QU'ILS ONT CROISE LA ROUTE DE CE CRIMINEL DANS LES CARS, DANS LES BOUTIQUES)
QUE LE TOUT PUISSANT NOUS PROTEGE DE CETTE RACE D'INGRATS
IL EST LACHE ET NE PEUT BENEFICIER D'AUCUNE FORME DE TOLERANCE.
IL A DROIT A DES SOINS ET APRES LES AUTORITES DOIVENT PRENDRE DES MESURES TRES RIGOUREUSES VIS A VIS DE CE GENRE DE PERSONNES HAUTEMENT EGOISTES.



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