Malgré la montée au créneau des présidents de conseils régionaux exigeant au Gouvernement de laisser sur place ces entités, ils semblent se heurter aux refus des autorités actuelles qui ne cèdent pas sur cette requête.
Me Oumar Youm, ministre de l’aménagement du territoire, l’a rappelé en conférence de presse : « en procédant à une reforme, on doit faire table rase de son ego, on ne l’a pas fait parce que nous sommes des champions, il est possible aussi que dans le cadre de la perfection de ce texte que l’on le ramène à l’Assemblée pour le modifier. Mais sur la communalisation, sur l’érection des départements en collectivités locales, sur la transformation des communautés rurales et communes de droits commun, sur la suppression du conseil régional, la tendance est irréversible », a-t-il dit.
Selon Me Youm, cela entraînera toujours des levées de bouclier, mais cela reste le fait de gens défendant leurs intérêts. «Tous ceux qui parlent ont des étiquettes. Mais ce n’est pas parce qu’il est parfait que l’on ne peut pas modifier ou le changer mais sur les grandes orientations, le débat est clos. Le chef de l’Etat a tranché. Et cela correspond à la volonté du Chef de l’Etat dans son programme ‘’Yonou Yokkuté’’ dans ses positions » a-t-il dit.
Jetant une pierre dans le jardin du leader de la FGTS, Sidya Ndiaye qui, à travers une campagne, vilipende l’acte 3, il note « On est un Etat responsable, on ne passe pas notre temps devant les télés et les radios à se jeter des pierres, on construit. Et quand on construit, il faut une certaine norme. Quand j’ai entendu les bruits de couloirs, on les a appelés tout de suite pour leur dire qu’il n’y a aucune crainte par rapport aux emplois et mieux nous travaillons à mettre en place une commission had hoc. Et c’est en ce moment que Sidya Ndiaye à commencer sa campagne » dira-t-il.
Mais selon le ministre, ce dernier est seul dans cette volonté de les vilipender « il faut le dire, il est seul dans cette campagne. En plus en allant vers des partis politiques, on ne fait plus du syndicalisme, on fait autre chose. Il a son mot à dire, mais notre action est d’informer les populations du Sénégal. On est dans une réforme qui dépasse les ego et les intérêts personnels, il ne faut pas que l’on ne se cristallise sur les personnes ».
Dans la même logique, Amadou Khouma le secrétaire général de l’intersyndical des employés des collectivités locales, a assuré qu’ils étaient en phase avec l’Etat et cette volonté politique du Président devra être connue de tous les Sénégalais. Prenant fait et cause pour l’Etat, il a noté «nous voulons dire à tous les travailleurs des collectivités locales que leurs doléances ont été prises en compte. Et la sortie de l’un de nos camarades et qui était responsable de cette intersyndicale (NDLR : Sidya Ndiaye) n’engage nullement et en aucune façon l’intersyndical des collectivités locales » a-t-il martelé.
Me Oumar Youm, ministre de l’aménagement du territoire, l’a rappelé en conférence de presse : « en procédant à une reforme, on doit faire table rase de son ego, on ne l’a pas fait parce que nous sommes des champions, il est possible aussi que dans le cadre de la perfection de ce texte que l’on le ramène à l’Assemblée pour le modifier. Mais sur la communalisation, sur l’érection des départements en collectivités locales, sur la transformation des communautés rurales et communes de droits commun, sur la suppression du conseil régional, la tendance est irréversible », a-t-il dit.
Selon Me Youm, cela entraînera toujours des levées de bouclier, mais cela reste le fait de gens défendant leurs intérêts. «Tous ceux qui parlent ont des étiquettes. Mais ce n’est pas parce qu’il est parfait que l’on ne peut pas modifier ou le changer mais sur les grandes orientations, le débat est clos. Le chef de l’Etat a tranché. Et cela correspond à la volonté du Chef de l’Etat dans son programme ‘’Yonou Yokkuté’’ dans ses positions » a-t-il dit.
Jetant une pierre dans le jardin du leader de la FGTS, Sidya Ndiaye qui, à travers une campagne, vilipende l’acte 3, il note « On est un Etat responsable, on ne passe pas notre temps devant les télés et les radios à se jeter des pierres, on construit. Et quand on construit, il faut une certaine norme. Quand j’ai entendu les bruits de couloirs, on les a appelés tout de suite pour leur dire qu’il n’y a aucune crainte par rapport aux emplois et mieux nous travaillons à mettre en place une commission had hoc. Et c’est en ce moment que Sidya Ndiaye à commencer sa campagne » dira-t-il.
Mais selon le ministre, ce dernier est seul dans cette volonté de les vilipender « il faut le dire, il est seul dans cette campagne. En plus en allant vers des partis politiques, on ne fait plus du syndicalisme, on fait autre chose. Il a son mot à dire, mais notre action est d’informer les populations du Sénégal. On est dans une réforme qui dépasse les ego et les intérêts personnels, il ne faut pas que l’on ne se cristallise sur les personnes ».
Dans la même logique, Amadou Khouma le secrétaire général de l’intersyndical des employés des collectivités locales, a assuré qu’ils étaient en phase avec l’Etat et cette volonté politique du Président devra être connue de tous les Sénégalais. Prenant fait et cause pour l’Etat, il a noté «nous voulons dire à tous les travailleurs des collectivités locales que leurs doléances ont été prises en compte. Et la sortie de l’un de nos camarades et qui était responsable de cette intersyndicale (NDLR : Sidya Ndiaye) n’engage nullement et en aucune façon l’intersyndical des collectivités locales » a-t-il martelé.
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