L'ancien Premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye a annoncé, lundi, qu'il allait mettre sur pied sa propre formation politique ''dans les semaines et mois à venir'', pour aller à la conquête des suffrages de ses compatriotes, à l'occasion de la prochaine présidentielle.
S'exprimant sur les ondes de la Radio futurs médias (RFM, privée) M. Ndiaye a dit avoir retenu de lancer son parti politique avec d'autres Sénégalais qui ont foi en sa "vision" de l'avenir du Sénégal.
''Cette future formation sera d'obédience libérale avec une orientation sociale suivant laquelle l'Etat sera appelé à jouer un rôle de régulateur, en intervenant dans la santé, l'éducation, entre autres domaines'', a précisé le dernier Premier ministre de l'ancien président Abdoulaye Wade.
Dans un entretien publié jeudi dernier par le quotidien privé Enquête, Souleymane Ndéné Ndiaye avait laissé entrevoir sa décision de se présenter à la présidentielle en déclarant notamment qu'il n'hésiterait pas à quitter le Parti démocratique sénégalais (PDS, opposition) "si les conditions de son exclusion ou de son départ sont réunies".
"Toutes les hypothèses sont envisageables. Mon parti, c'est le PDS, mais si les conditions de mon exclusion ou de mon départ du PDS sont réunies, je n'hésiterais pas" à le quitter, assurait-il.
Souleymane Ndéné Ndiaye était absent du dernier bureau politique du PDS transformé en congrès et à l'issue duquel l'ancien parti au pouvoir a fait de Karim Wade son candidat pour la prochaine présidentielle.
Karim Wade avait été plébiscité par le PDS, le parti fondé par son père, deux jours avant sa condamnation par la Cour de répression de l'enrichissement illicite (CREI) à six ans de prison ferme et au paiement d’une amende de 138 milliards de francs CFA pour enrichissement illicite.
S'exprimant sur les ondes de la Radio futurs médias (RFM, privée) M. Ndiaye a dit avoir retenu de lancer son parti politique avec d'autres Sénégalais qui ont foi en sa "vision" de l'avenir du Sénégal.
''Cette future formation sera d'obédience libérale avec une orientation sociale suivant laquelle l'Etat sera appelé à jouer un rôle de régulateur, en intervenant dans la santé, l'éducation, entre autres domaines'', a précisé le dernier Premier ministre de l'ancien président Abdoulaye Wade.
Dans un entretien publié jeudi dernier par le quotidien privé Enquête, Souleymane Ndéné Ndiaye avait laissé entrevoir sa décision de se présenter à la présidentielle en déclarant notamment qu'il n'hésiterait pas à quitter le Parti démocratique sénégalais (PDS, opposition) "si les conditions de son exclusion ou de son départ sont réunies".
"Toutes les hypothèses sont envisageables. Mon parti, c'est le PDS, mais si les conditions de mon exclusion ou de mon départ du PDS sont réunies, je n'hésiterais pas" à le quitter, assurait-il.
Souleymane Ndéné Ndiaye était absent du dernier bureau politique du PDS transformé en congrès et à l'issue duquel l'ancien parti au pouvoir a fait de Karim Wade son candidat pour la prochaine présidentielle.
Karim Wade avait été plébiscité par le PDS, le parti fondé par son père, deux jours avant sa condamnation par la Cour de répression de l'enrichissement illicite (CREI) à six ans de prison ferme et au paiement d’une amende de 138 milliards de francs CFA pour enrichissement illicite.
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