La Plateforme des acteurs de la société civile pour la transparence des élections (Pacte) qui regroupe 9 organisations de la société civile s’est penchée sur la situation nationale qu’elle dit «marquée par de lourdes menaces sur la paix sociale et la stabilité politique nées des relations heurtées entre le pouvoir et l'opposition ».
Ils en veulent pour preuve, la polémique sur la gestion des ressources naturelles. «La Pacte considère que les questionnements sur cette affaire sont légitimes et doivent par conséquent avoir une réponse appropriée». C’est pourquoi elle «invite le Gouvernement à faire toute la lumière sur ce qu'il est convenu d'appeler "l'affaire Franck Timis."»
En effet, dit-elle : «De graves suspicions portent sur la régularité du processus de sélection de cet attributaire, des lobbies et intermédiations qui semblent impliquer des dignitaires de l’ancien régime et la famille de l’actuel président de la République et les profits qu’ils en auraient tirés au détriment des intérêts du peuple». Par ailleurs, condamnant «les violences qui ont été exercées sur des citoyens venus manifester de façon pacifique», la Pacte «réitère son engagement pour le respect des libertés publiques conquises de haute lutte et inscrites dans notre charte fondamentale qui garantit le droit à la marche et à toute forme d'expression des droits des populations dans le respect des lois et règlements».
Ils soulignent qu’«à cet égard l'arrêté Ousmane Ngom en date de 2011 ne saurait constituer un prétexte pour la restriction des libertés de manifester sur tout ou partie du territoire». Et dans un souci d'apaiser les tensions politiques et sociales ambiantes, la Pacte invite le gouvernement «à ouvrir un dialogue sincère et constructif avec l’opposition» et les forces de l’ordre «à respecter les citoyens et cesser d’exercer la violence sauf en cas de légitime défense».
Ils en veulent pour preuve, la polémique sur la gestion des ressources naturelles. «La Pacte considère que les questionnements sur cette affaire sont légitimes et doivent par conséquent avoir une réponse appropriée». C’est pourquoi elle «invite le Gouvernement à faire toute la lumière sur ce qu'il est convenu d'appeler "l'affaire Franck Timis."»
En effet, dit-elle : «De graves suspicions portent sur la régularité du processus de sélection de cet attributaire, des lobbies et intermédiations qui semblent impliquer des dignitaires de l’ancien régime et la famille de l’actuel président de la République et les profits qu’ils en auraient tirés au détriment des intérêts du peuple». Par ailleurs, condamnant «les violences qui ont été exercées sur des citoyens venus manifester de façon pacifique», la Pacte «réitère son engagement pour le respect des libertés publiques conquises de haute lutte et inscrites dans notre charte fondamentale qui garantit le droit à la marche et à toute forme d'expression des droits des populations dans le respect des lois et règlements».
Ils soulignent qu’«à cet égard l'arrêté Ousmane Ngom en date de 2011 ne saurait constituer un prétexte pour la restriction des libertés de manifester sur tout ou partie du territoire». Et dans un souci d'apaiser les tensions politiques et sociales ambiantes, la Pacte invite le gouvernement «à ouvrir un dialogue sincère et constructif avec l’opposition» et les forces de l’ordre «à respecter les citoyens et cesser d’exercer la violence sauf en cas de légitime défense».
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