Serigne Macké Ndiaye réagit aux propos de Idy : « Qui se sent morveux se mouche »


Serigne Macké Ndiaye réagit aux propos de Idy : « Qui se sent morveux se mouche »
Le porte-parole du Président de la République s’est gardé hier de donner le nom du candidat qui aurait - selon son propos - engagé des mercenaires pour organiser les violentes manifestations dans Dakar et le reste du pays. Vingt quatre après sa conférence de presse, et après qu’Idrissa Seck eut vidé son carquois sur sa tronche, Serigne Mbacké Ndiaye a peu varié dans ses accusations préférant servir un vieux problème : qui se set morveux se mouche !

« Je n’ai pas besoin de dire c’est untel. Qui se sent morveux se mouche », ainsi le porte-parole du Président a-t-il esquivé une question d’un journaliste qui lui rappelait que ses accusations de la veille étaient commentées par l’ex-Premier ministre. Idrissa Seck déclarait hier que les propos de Serigne Mbacké Ndiaye étaient irresponsables, farfelus…

« S’il a répondu, c’est peut-être parce que c’est lui », indique le porte-parole du chef de l’Etat sans donner l’air d’être catégorique dans ses accusations. Lundi, dans les murs du Palais, devant un parterre de journalistes de la presse nationale internationale, Serigne Mbaké Ndiaye parlait d’un candidat qui aurait à sa solde 200 anciens militaires et un colonel à la retraite. Il s’est même lu à donner des indices sur ce « hors la loi » : « Il ne fait pas partie des candidats qui sont en campagne électorale dans les régions ; sa soif de pouvoir dépasse tout ce que l’on peut imaginer ».

Ben ABASS (APPEL)
Mardi 21 Février 2012
Ben ABASS (APPEL)




1.Posté par Ali le 21/02/2012 17:15
je ne reponds pas a un irresponsable politique .... wow .. seign mbacke tu dois aller a la mer de ndayane se suicider ...irrsponsabilite dans la vie veut dire tortuosite , en droit c'est encore plus grave ... pitie.. bande de menteur

2.Posté par Tah! le 21/02/2012 18:45
Idrissa Seck, pour que nul n’en ignore
 
 
Nous assistons de plus en plus à un concours implicite de médisance et d’attaques stériles contre la personne d’Idrissa Seck. Si d’aucuns portent des cagoules pour défendre une chapelle, d’autres profitent de ce méli mélo pour faire prévaloir une posture dite intellectuelle mais totalement dénuée d’objectivité et de démarche scientifique. On se fait un film et on le raconte. Idrissa Seck est l’homme politique qui prend moins d’initiatives parce que se concentrant sur la recherche de solutions mais il demeure l’un des plus critiqués et parfois avec une agressivité surprenante. La raison est simple : ils savent tous qu’il peut y arriver. Pour contrer son cheminement ils s’attaquent à ses piliers fondamentaux ; Sa constance dans la démarche et son attachement aux valeurs libérales et républicaines.
Cependant les faits sont là et ils sont sacrés. Le fait de les déformer ou de chercher à les insérer dans un contexte autre que leur contexte de production démontre toute la détermination des adversaires d’Idrissa Seck à mettre hors course un candidat sérieux à la magistrature suprême.  Pour que nul n’en ignore, son objectif est unique : défendre les intérêts du Sénégal et de l'Afrique, non ceux d'un clan ou d'une famille. Pour y arriver il est prêt à des sacrifices. Il a toujours rappelé que « le destin personnel des hommes, même d’Etat, est une insignifiance au regard des intérêts supérieurs d’une Nation » Son engagement pour servir son peuple transcende les personnes même si des personnes peuvent jalonner son parcours et y jouer un rôle quelconque. Le 7 février 2006, après plus de 7 mois de prise d’otage, devant la prison de Rebeuss, Idrissa Seck annonçait déjà être armé d’esprit de dépassement pour servir son pays. Il l’avait déclaré en ces termes « C’est avec une conscience calme que je suis entré dans cette épreuve, c’est avec une conscience calme que j’en sors et je convoite de Dieu la sérénité, l’endurance, la capacité de dépassement qu’exige la mission que je me suis assignée : servir le Sénégal. Car rien ne me pèse plus lourd que les difficultés auxquelles notre pays est confronté et rien ne fera obstacle à mon ambition et à ma volonté de le servir ». Un esprit de dépassement dont l’humanité a toujours eu besoin pour éteindre les feus de tension, mettre fin aux guerres et aux conflits, réconcilier les peuples.
 
La posture d’Idrissa Seck face à sa famille politique demeure constante. Elle ne varie pas. Idrissa Seck veut ramener sa famille politique sur le chemin du vrai sopi, du vrai changement au bénéfice du peuple souverain.  « On a dévié du chemin ! C'est ma responsabilité de veiller à l'unité, au renforcement, mais surtout au retour à ces valeurs fondamentales de ma famille politique. ». Disait-il. Il veut sauver sa famille politique du risque de non participation à la compétition électorale de 2012 suite à un possible carton rouge constitutionnel à 29 jours du scrutin délivré par un conseil de 5 sages qui ne sauraient être en désaccord avec toute la communauté nationale et internationale de constitutionnalistes. Voilà tout le sens de son intervention sur rfi.
 
Cependant, même en défendant sa famille, Il ne fera pas de compromission avec les principes et valeurs. Il ne fera pas de compromission avec la vérité. Il ne se donnera pas, cependant, de limites en sacrifices pour le bonheur de son peuple, pour que ce peuple jouisse d’une tabaski loli. Une belle tabaski en période de moissons abondantes. Son retour au PDS, en dehors du fait qu’il découle d’un choix stratégique assumé et constant, entre dans ce même objectif : Défendre les intérêts du peuple.  Il n’a pas manqué de le répéter lors de sa conférence de presse du 12 Janvier 2009, en ces termes « Mon choix a été dicté par les difficultés du pays. Je suis animé par l’esprit de travail pour l’intérêt du Sénégal. Notre intention est de régler les problèmes du Sénégal (…) Mon apport sera de donner toutes mes compétences pour résoudre les difficultés du pays, avec ma liberté de lui dire ce que je trouve utile et non ce qui lui plait» Sa conduite politique est un choix assumé en toutes circonstances. « Ma conduite politique ne dépend pas de Wade. Elle dépend de moi, de ma foi en Dieu d'abord, de ma foi en l'individu, aux Sénégalais, de mon attachement aux valeurs libérales… » Disait-il en rendant visite au journaliste de la rfm, Kambel Dieng, le mercredi 8 Juin 2008. Les faits sont là. Sa posture est constante : vérité et courage. Approuver le convenable, condamner le blâmable. Quels qu'en soient les auteurs. Quand il était avec Wade il avait dit non à la loi Ezzan, non au défilé des journalistes et hommes politiques à la Dic, non à un projet de dévolution monarchique du pouvoir. Quand il a été en dehors des sphères de décision il s’est offusqué de la dissolution des collectivités locales, de l’agression barbare des journalistes comme kambel etc. Comme il l’a lui-même révélé « notre posture est invariable ; nous approuvons tout ce qui est convenable, nous condamnons tout ce qui blâmable. Quand j'étais avec Wade, c'était mon comportement ; aujourd'hui que je ne suis plus avec lui, ça reste mon comportement »   
 
Les films fictions peuvent défiler dans les têtes mais les faits sont là. Ils contredisent les propos malveillants et parfois incorrects de personnes en mal de popularité qui veulent profiter de l’aura d’Idrissa Seck pour se faire un nom. La critique est aisée.

3.Posté par migui le 21/02/2012 19:20
quel fils de pute de serigne mbacke ndiaye, il a vu que depuis hier les senegalais ne croient pas ses propos .



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