Le porte-parole du Président de la République s’est gardé hier de donner le nom du candidat qui aurait - selon son propos - engagé des mercenaires pour organiser les violentes manifestations dans Dakar et le reste du pays. Vingt quatre après sa conférence de presse, et après qu’Idrissa Seck eut vidé son carquois sur sa tronche, Serigne Mbacké Ndiaye a peu varié dans ses accusations préférant servir un vieux problème : qui se set morveux se mouche !
« Je n’ai pas besoin de dire c’est untel. Qui se sent morveux se mouche », ainsi le porte-parole du Président a-t-il esquivé une question d’un journaliste qui lui rappelait que ses accusations de la veille étaient commentées par l’ex-Premier ministre. Idrissa Seck déclarait hier que les propos de Serigne Mbacké Ndiaye étaient irresponsables, farfelus…
« S’il a répondu, c’est peut-être parce que c’est lui », indique le porte-parole du chef de l’Etat sans donner l’air d’être catégorique dans ses accusations. Lundi, dans les murs du Palais, devant un parterre de journalistes de la presse nationale internationale, Serigne Mbaké Ndiaye parlait d’un candidat qui aurait à sa solde 200 anciens militaires et un colonel à la retraite. Il s’est même lu à donner des indices sur ce « hors la loi » : « Il ne fait pas partie des candidats qui sont en campagne électorale dans les régions ; sa soif de pouvoir dépasse tout ce que l’on peut imaginer ».
Ben ABASS (APPEL)
« Je n’ai pas besoin de dire c’est untel. Qui se sent morveux se mouche », ainsi le porte-parole du Président a-t-il esquivé une question d’un journaliste qui lui rappelait que ses accusations de la veille étaient commentées par l’ex-Premier ministre. Idrissa Seck déclarait hier que les propos de Serigne Mbacké Ndiaye étaient irresponsables, farfelus…
« S’il a répondu, c’est peut-être parce que c’est lui », indique le porte-parole du chef de l’Etat sans donner l’air d’être catégorique dans ses accusations. Lundi, dans les murs du Palais, devant un parterre de journalistes de la presse nationale internationale, Serigne Mbaké Ndiaye parlait d’un candidat qui aurait à sa solde 200 anciens militaires et un colonel à la retraite. Il s’est même lu à donner des indices sur ce « hors la loi » : « Il ne fait pas partie des candidats qui sont en campagne électorale dans les régions ; sa soif de pouvoir dépasse tout ce que l’on peut imaginer ».
Ben ABASS (APPEL)
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