La polémique enfle à propos de la menace de boycott brandie par le Groupe Futurs médias (GFM) qui s’offusque de la dévolution des moyens en vue de la couverture médiatique du XVe sommet de la Francophonie. Et ce sont les Cadres de la RTS qui réagissent pour recadrer le débat.
Dans un communiqué parvenu à EnQuête, l’amicale des cadres de la RTS fait savoir que, « chaque fois que de besoin, l’Etat met à la disposition de la RTS des équipements et moyens nécessaires à la réalisation de la mission de service public qui lui est assignée », puisque l’Etat du Sénégal en est l’actionnaire unique. Et compte tenu du fait que la RTS « doit être aux normes Haute Définition (HD) pour assurer une diffusion mondiovision des cérémonies d’ouverture et de clôture ainsi que la conférence de presse finale » du sommet, entre autres obligations, « il est du devoir de l’Etat de doter la RTS d’équipements techniques lui permettant d’être en phase avec les évolutions technologiques du moment ».
Et les cadres de la RTS d’asséner : « Si un privé décide d’investir, à des fins économiques, dans une société à 100% privée, il ne doit pas compter sur l’Etat pour le financement de ses investissements qui relève de l’entière responsabilité de ses actionnaires ».
Dans un communiqué parvenu à EnQuête, l’amicale des cadres de la RTS fait savoir que, « chaque fois que de besoin, l’Etat met à la disposition de la RTS des équipements et moyens nécessaires à la réalisation de la mission de service public qui lui est assignée », puisque l’Etat du Sénégal en est l’actionnaire unique. Et compte tenu du fait que la RTS « doit être aux normes Haute Définition (HD) pour assurer une diffusion mondiovision des cérémonies d’ouverture et de clôture ainsi que la conférence de presse finale » du sommet, entre autres obligations, « il est du devoir de l’Etat de doter la RTS d’équipements techniques lui permettant d’être en phase avec les évolutions technologiques du moment ».
Et les cadres de la RTS d’asséner : « Si un privé décide d’investir, à des fins économiques, dans une société à 100% privée, il ne doit pas compter sur l’Etat pour le financement de ses investissements qui relève de l’entière responsabilité de ses actionnaires ».
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