Nos confrères de Xibaru n’ont pas tort de s’interroger sur le rôle des Renseignements Généraux dans leur rôle d’alerte et de veille. Quand les scandales éclatent et salissent des corps aussi prestigieux que la Police et la Gendarmerie, les gouvernants l’apprennent en même temps que la population, à travers la presse.
Pourtant explique Xibaru, le Commissaire de Police Keïta, avant sa sortie, s’en était ouvert à travers une lettre à sa hiérarchie qui n’a pas suivi. Itou, pour le Colonel N'daw qui avait écrit une correspondance au Président de la République, demeurée là encore sans suite.
Selon le constat de nos confrères, nos renseignements généraux ne fonctionnent plus, du fait que les infos ne sont pas centralisées et chaque agent de ce service travaille pour sa petite chapelle.
« La présidence a son agent de renseignement, un « James Bond » du nom de I.D. Bien que très renseigné, ce dernier ne contrôle pas les agents des Services de renseignement de la Direction Générale de la Sûreté Nationale (DGSN). Ensuite, la Direction de la Documentation et de la Sécurité Extérieure (DDSE) a son canal de transmission qui est assez efficace : c’est le contre-espionnage » ont-ils constaté.
Enfin, l’autre manquement noté et déploré par nos confrères est que la DRT (Division des renseignements et transmissions de la Gendarmerie) et les Services de renseignement de la Direction Générale de la Sûreté Nationale ne centralisent pas leurs renseignements, car aussi bien le commissaire Keïta que le colonel N'daw aurait pu être dissuadé avant que l’irréparable ne se produise.
Pourtant explique Xibaru, le Commissaire de Police Keïta, avant sa sortie, s’en était ouvert à travers une lettre à sa hiérarchie qui n’a pas suivi. Itou, pour le Colonel N'daw qui avait écrit une correspondance au Président de la République, demeurée là encore sans suite.
Selon le constat de nos confrères, nos renseignements généraux ne fonctionnent plus, du fait que les infos ne sont pas centralisées et chaque agent de ce service travaille pour sa petite chapelle.
« La présidence a son agent de renseignement, un « James Bond » du nom de I.D. Bien que très renseigné, ce dernier ne contrôle pas les agents des Services de renseignement de la Direction Générale de la Sûreté Nationale (DGSN). Ensuite, la Direction de la Documentation et de la Sécurité Extérieure (DDSE) a son canal de transmission qui est assez efficace : c’est le contre-espionnage » ont-ils constaté.
Enfin, l’autre manquement noté et déploré par nos confrères est que la DRT (Division des renseignements et transmissions de la Gendarmerie) et les Services de renseignement de la Direction Générale de la Sûreté Nationale ne centralisent pas leurs renseignements, car aussi bien le commissaire Keïta que le colonel N'daw aurait pu être dissuadé avant que l’irréparable ne se produise.
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