Pourquoi Paul Faye ne répond pas à Dakaractu et menace un de ses collaborateurs, comme si nous étions la boîte aux lettres de ses détracteurs? Nous avons été les seuls à publier l’état de ses errements de gestion à la Sapco, et pourtant, dans son communiqué produit par ses services, il ne contredit en rien nos écrits, mais accuse un de ses collaborateurs de l’avoir trahi dans les médias.
Il nous demande, comme à des idiots, de ne point regarder la lune, mais le doigt qui la désigne. Et pour répondre de ses turpitudes, il préfère accuser son collaborateur, sur le même mode que les faits qui lui sont reprochés. Dans le genre, “il n’y a pas que moi qui fait des vilaines choses”, il lance une véritable fatwa contre cet agent soupçonné d’être un “Corbeau” qui l’a balancé à la presse. Il dénonce les supposées malversations de cet individu, dont Paul Faye préfère taire le nom.
Cet agent ferait déjà l’objet d’une plainte pour avoir vendu illégalement un terrain d’une superficie de 1 000 m2 à une dame dans la zone d’aménagement de la Sapco, sur la Petite-Côte, lit-on dans le communiqué. Poursuivi pour cet acte délictueux pour faux et usage de faux en écriture privée, pour avoir falsifié les documents de ce bail datant de 2009 et non inscrit dans le registre foncier de Sapco-Sénégal, cet agent véreux, selon les termes du texte ne dormirait plus que d’un œil.
Selon Paul Faye, il serait dans le viseur du procureur de la République depuis le 27 novembre dernier pour ce délit pour lequel il encourt une lourde peine de prison, raison suffisante pour que le mis en cause décide de se venger, selon le communiqué de la Direction Générale de Sapco-Sénégal.
Dans ses tentatives « injustifiées » d’entraîner dans sa chute le DG de la Sapco, ce cadre qui est en rupture de ban avec sa hiérarchie, a par ailleurs accusé son DG d’avoir fait main basse sur des terrains d’une superficie de 10 710 m2, dans le périmètre de Saly-Portudal, au profit d’une bonne partie des membres de sa famille.
Monsieur Paul Faye ne dément pas nos propos, il les cautionne au contraire. Voici ce qu’affirme le communiqué de sa Direction concernant les terrains qu’il s’est empressé de s’octroyer. “L’administration étant une continuité, il a décidé de s’inscrire dans cette dynamique. Dans la foulée, Sapco-Sénégal également précise que le terrain revenait de plein droit au DG, en sa qualité de membre salarié de l’entreprise.
Quant au salaire augmenté à son arrivée, le communiqué le justifie : « Quand Dr Paul Faye a été nommé DG de Sapco-Sénégal, sur proposition du Ministre en charge du Tourisme de l’époque, le Conseil d’Administration l'avait octroyé un salaire mensuel de 3 millions CFA(on laisse les fautes). Plus tard, ce salaire est passé de 3 à 5 millions CFA, à la suite de la publication du décret fixant les émoluments des DG des Agences et autres sociétés d’Etat assimilées. Pour être en conformité avec la loi, cette nouvelle disposition a été validé par le Conseil d’Administration », peut-on lire en substance, toujours en laissant les fautes grammaticales.
S’agissant de la fameuse indemnité de limogeage, en cas d’éviction du Dr Paul Faye de son poste, la Direction générale a apporté des précisions, en indiquant que “cette somme qui équivaut à quelque 30 mois de salaire, a été signée en bonne et due forme par le représentant habilité de la société et visé par l’inspection régionale du travail de Dakar”.
Pourquoi ce serait l’inspection du travail qui signe ce contrat et non le Conseil d’Administration? Pourquoi les touche-t-il au début de son mandat, et non comme cela est stipulé, au moment d’un éventuel licenciement?
Monsieur Paul Faye est en train de créer un problème dans le problème, pour noyer la question, et la seule qui lui a été posée dans notre article. En fait, il ne nie rien et se demande juste comment nous l’avons su. Triste parade, à vrai dire...
Il nous demande, comme à des idiots, de ne point regarder la lune, mais le doigt qui la désigne. Et pour répondre de ses turpitudes, il préfère accuser son collaborateur, sur le même mode que les faits qui lui sont reprochés. Dans le genre, “il n’y a pas que moi qui fait des vilaines choses”, il lance une véritable fatwa contre cet agent soupçonné d’être un “Corbeau” qui l’a balancé à la presse. Il dénonce les supposées malversations de cet individu, dont Paul Faye préfère taire le nom.
Cet agent ferait déjà l’objet d’une plainte pour avoir vendu illégalement un terrain d’une superficie de 1 000 m2 à une dame dans la zone d’aménagement de la Sapco, sur la Petite-Côte, lit-on dans le communiqué. Poursuivi pour cet acte délictueux pour faux et usage de faux en écriture privée, pour avoir falsifié les documents de ce bail datant de 2009 et non inscrit dans le registre foncier de Sapco-Sénégal, cet agent véreux, selon les termes du texte ne dormirait plus que d’un œil.
Selon Paul Faye, il serait dans le viseur du procureur de la République depuis le 27 novembre dernier pour ce délit pour lequel il encourt une lourde peine de prison, raison suffisante pour que le mis en cause décide de se venger, selon le communiqué de la Direction Générale de Sapco-Sénégal.
Dans ses tentatives « injustifiées » d’entraîner dans sa chute le DG de la Sapco, ce cadre qui est en rupture de ban avec sa hiérarchie, a par ailleurs accusé son DG d’avoir fait main basse sur des terrains d’une superficie de 10 710 m2, dans le périmètre de Saly-Portudal, au profit d’une bonne partie des membres de sa famille.
Monsieur Paul Faye ne dément pas nos propos, il les cautionne au contraire. Voici ce qu’affirme le communiqué de sa Direction concernant les terrains qu’il s’est empressé de s’octroyer. “L’administration étant une continuité, il a décidé de s’inscrire dans cette dynamique. Dans la foulée, Sapco-Sénégal également précise que le terrain revenait de plein droit au DG, en sa qualité de membre salarié de l’entreprise.
Quant au salaire augmenté à son arrivée, le communiqué le justifie : « Quand Dr Paul Faye a été nommé DG de Sapco-Sénégal, sur proposition du Ministre en charge du Tourisme de l’époque, le Conseil d’Administration l'avait octroyé un salaire mensuel de 3 millions CFA(on laisse les fautes). Plus tard, ce salaire est passé de 3 à 5 millions CFA, à la suite de la publication du décret fixant les émoluments des DG des Agences et autres sociétés d’Etat assimilées. Pour être en conformité avec la loi, cette nouvelle disposition a été validé par le Conseil d’Administration », peut-on lire en substance, toujours en laissant les fautes grammaticales.
S’agissant de la fameuse indemnité de limogeage, en cas d’éviction du Dr Paul Faye de son poste, la Direction générale a apporté des précisions, en indiquant que “cette somme qui équivaut à quelque 30 mois de salaire, a été signée en bonne et due forme par le représentant habilité de la société et visé par l’inspection régionale du travail de Dakar”.
Pourquoi ce serait l’inspection du travail qui signe ce contrat et non le Conseil d’Administration? Pourquoi les touche-t-il au début de son mandat, et non comme cela est stipulé, au moment d’un éventuel licenciement?
Monsieur Paul Faye est en train de créer un problème dans le problème, pour noyer la question, et la seule qui lui a été posée dans notre article. En fait, il ne nie rien et se demande juste comment nous l’avons su. Triste parade, à vrai dire...
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