Alors qu'il était venu à Sanar pour animer la conférence publique de la coordination des étudiants rewmiswtes et de la cellule des cadres de Rewmi de Saint-Louis, le Docteur Abdourahmane Diouf, par ailleurs porte parole du parti Rewmi n'a pas été tendre avec les sept sages du Conseil constitutionnel.
Selon lui, il y a une implication de la plus haute autorité du pays dans cette décision rendue par ses pairs juristes. Ce qui est une honte pour le pays et pour tout juriste. "Ce qui est en train de se passer au niveau du Conseil constitutionnel n'est pas du droit. Tous les professeurs d'université qui ont l'habitude d'apprendre à leurs étudiants de façon orthodoxe le droit constitutionnel ont du mal au cœur", soutient le juriste. Avant de poursuivre : "C'est une honte et je l'assume parce que le Conseil constitutionnel a été manipulé", déplore le responsable rewmiste.
Selon toujours Abdourahmane Diouf, "le Conseil constitutionnel a travaillé sur des bases informatiques suivant un logiciel qu'il ne maitrise pas du tout. Ils sont des juristes, ils ne sont pas des informaticiens. Leur travail est biaisé à la base et pour le moins la machine sort un résultat qu'on a déjà paramétré et qui est conforme aux intérêts du ministre de l'intérieur qui travaille pour satisfaire le président Macky Sall."
Par ailleurs, il dit n'être point surpris par la position de ses pairs juristes. "Cela ne surprend guère, car à chaque fois que le Conseil constitutionnel est dans une logique de donner une réponse, la réponse est toujours favorable au président de la République."
Au porte parole de Rewmi de clamer que "la situation politique du pays est difficile et nous retourne sept ans en arrière, lorsqu'on brûlait des pneus pour dire que le président Abdoulaye Wade n'a pas le droit de se présenter à la présidentielle."
Abdourahmane Diouf regrette par ailleurs le fait que le régime en place s'inscrit maintenant dans la "manipulation et les fake news" pour faire face aux potentiels candidats à la présidentielle du 24 Février prochain. "Nous aurions aimé être dans un processus électoral dominé par l'offre programmatique, mais nous constatons que le débat démocratique ne vient pas du camp du pouvoir. Car, ils sont dans les invectives et maintenant ils se lancent dans les fake news", conclut-il dans un ton ferme.
Selon lui, il y a une implication de la plus haute autorité du pays dans cette décision rendue par ses pairs juristes. Ce qui est une honte pour le pays et pour tout juriste. "Ce qui est en train de se passer au niveau du Conseil constitutionnel n'est pas du droit. Tous les professeurs d'université qui ont l'habitude d'apprendre à leurs étudiants de façon orthodoxe le droit constitutionnel ont du mal au cœur", soutient le juriste. Avant de poursuivre : "C'est une honte et je l'assume parce que le Conseil constitutionnel a été manipulé", déplore le responsable rewmiste.
Selon toujours Abdourahmane Diouf, "le Conseil constitutionnel a travaillé sur des bases informatiques suivant un logiciel qu'il ne maitrise pas du tout. Ils sont des juristes, ils ne sont pas des informaticiens. Leur travail est biaisé à la base et pour le moins la machine sort un résultat qu'on a déjà paramétré et qui est conforme aux intérêts du ministre de l'intérieur qui travaille pour satisfaire le président Macky Sall."
Par ailleurs, il dit n'être point surpris par la position de ses pairs juristes. "Cela ne surprend guère, car à chaque fois que le Conseil constitutionnel est dans une logique de donner une réponse, la réponse est toujours favorable au président de la République."
Au porte parole de Rewmi de clamer que "la situation politique du pays est difficile et nous retourne sept ans en arrière, lorsqu'on brûlait des pneus pour dire que le président Abdoulaye Wade n'a pas le droit de se présenter à la présidentielle."
Abdourahmane Diouf regrette par ailleurs le fait que le régime en place s'inscrit maintenant dans la "manipulation et les fake news" pour faire face aux potentiels candidats à la présidentielle du 24 Février prochain. "Nous aurions aimé être dans un processus électoral dominé par l'offre programmatique, mais nous constatons que le débat démocratique ne vient pas du camp du pouvoir. Car, ils sont dans les invectives et maintenant ils se lancent dans les fake news", conclut-il dans un ton ferme.
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