Malgré les déclarations des uns et des autres, au moins trois faits constants ressortent de l’enquête de la division des investigations criminelles (dic) qui conduit à l’arrestation de Tombon Oualy sur qui pèsent des indices graves et concordants.
Selon le journal Libération, premièrement, Tombon Oualy a reconnu lui-même qu’il s’est rendu à l’université Cheikh Anta Diop (Ucad), le jour des faits, de son propre gré.
Comment les enquêteurs ont-il pu remonter à lui ?
C’est en auditionnant tous les policiers qui étaient déployés sur les lieux que l’intrus a été identifié avec l’aide de certains de ses collègues qui l’ont vu sur le terrain, alors que les recoupements faits par la dic ont montré que son nom n’était pas sur le registre des effectifs, ce jour-là.
Selon toujours nos confrères, deuxièmement, une balle manquait dans l’arme du présumé tireur qui devait la rendre depuis qu’il a quitté le Groupement mobile d’intervention (Gmi).
Interrogé, Tombon Oualy a argué qu’il a effectué avec un tir d’essai sans plus de précision.
Enfin troisièmement, la Dic a établi que le surplus de munitions que détenait Tombon Oualy s’expliquait par un...vol.
En effet, le meurtrier présumé de Bassirou Faye avait attendu qu’un de ses amis exerçant au commissariat du Point E le laisse seul dans son bureau pour commettre son forfait.
Déféré vendredi dernier, Tombon Oualy avait bénéficié d’un retour au parquet. C’est, aujourd’hui, qu’il sera sans doute édifié sur son sort.
Selon le journal Libération, premièrement, Tombon Oualy a reconnu lui-même qu’il s’est rendu à l’université Cheikh Anta Diop (Ucad), le jour des faits, de son propre gré.
Comment les enquêteurs ont-il pu remonter à lui ?
C’est en auditionnant tous les policiers qui étaient déployés sur les lieux que l’intrus a été identifié avec l’aide de certains de ses collègues qui l’ont vu sur le terrain, alors que les recoupements faits par la dic ont montré que son nom n’était pas sur le registre des effectifs, ce jour-là.
Selon toujours nos confrères, deuxièmement, une balle manquait dans l’arme du présumé tireur qui devait la rendre depuis qu’il a quitté le Groupement mobile d’intervention (Gmi).
Interrogé, Tombon Oualy a argué qu’il a effectué avec un tir d’essai sans plus de précision.
Enfin troisièmement, la Dic a établi que le surplus de munitions que détenait Tombon Oualy s’expliquait par un...vol.
En effet, le meurtrier présumé de Bassirou Faye avait attendu qu’un de ses amis exerçant au commissariat du Point E le laisse seul dans son bureau pour commettre son forfait.
Déféré vendredi dernier, Tombon Oualy avait bénéficié d’un retour au parquet. C’est, aujourd’hui, qu’il sera sans doute édifié sur son sort.
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