"Ça reprend!" lâche amer ce vieux commerçant au visage dégoulinant de sueur, accoudé au comptoir de son échoppe en face de la célèbre pharmacie Guigon. Joignant l'acte à la parole, le vieux négociant met péniblement en marche son groupe électrogène, tout en débitant des mots que la décence nous interdit de relater.
"Tous les jours, c'est comme ça, même pas deux heures d'électricité!" renchérit ce jeune qui suivait son passage, lequel s'en prend quant à lui, au Dg de Senelec. Nous sommes en plein cœur du centre névralgique des affaires plus précisément au marché Sandaga. L'horloge affiche 13 h tapantes. Les rayons du soleil, les vrombissements assourdissants des groupes électrogènes, mais également la fumée acre qui se dégage des tuyaux d'échappement des véhicules, rendent l'atmosphère intenable.
Et le comble réside dans le fait que malgré la fourniture erratique de l'électricité, aucun service de Senelec, pas même celui de la communication, ne daigne éclairer convenablement la lanterne des consommateurs, ne serait-ce à travers un communiqué sur les raisons de cette situation frustrante, aux conséquences incalculables...
Vivement qu'une solution heureuse soit trouvée et un terme mis à cette dégradante situation!
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