Réponse de la famille de Baye Lahad au ‘’collectif’’ « Cheikh Amar vient de faire tomber ses masques … »


Réponse de la famille de Baye Lahad au ‘’collectif’’ « Cheikh Amar vient de faire tomber ses masques … »
DAKARACTU.COM La sortie du porte-parole d’un collectif dénommé ‘’les jeunes marabouts de Touba’’ contre Serigne Modou Mbacké a soulevé un tollé dans la ville Sainte de Touba. La famille de Serigne Abdou Lahat Mbacké, le regretté 3é khalife générale des mourides, n’y est pas allée par quatre chemins pour désigner Cheikh Amar, le célèbre homme d’affaire sénégalais, comme instigateur principal de cette ignominie. Représentée par son fils Serigne Khadim Mbacké, elle a ouvert le ballet des conférences de presse prévues pour dénoncer vaillamment les propos injurieux et sans fondement portés sur le dos de leur frère. Pour elle, quand il faut trouver un pur ennemi de Touba à la solde de bandits voulant cultiver la discorde entre la famille Mbacké, il ne faut dépasser… Cheikh Amar
Dans la cité religieuse, l’homme d’affaire Cheikh Amar gagnerait à surveiller ses arrières. Deux rencontres, presque en chevauchement, ont lieu dans deux localités différentes, mais le discours n’a pas changé d'un iota. Durant ces face à face avec les journalistes, les initiateurs ont eu en commun, la ferme réaction de condamner le comportement et les propos déshonorables d’un homme qu’il catalogue comme un sbire de Cheikh Amar contre la famille de Serigne Touba.
Sur cette même lancée, il a aussi soutenu qu’à travers cet acte posé par ses sbires « Cheikh Amar vient de faire tomber ses masques, faisant découvrir son vrai visage de détracteur invertébré de Serigne Touba à la solde des bandits ».
D’ailleurs Serigne Sidy Mbacké Cheikhouna porte-parole pour l’occasion de la famille de Baye Lahad, de Serigne Souahibou et de Serigne Saliou, a tiré à l’arme lourde sur l’homme d’affaires Cheikh Amar. Selon lui, il est à l’origine de ces attaques gravissimes et infondées.
Après lui, la virulence n’a pas baissé d’un cran. Au contraire, l’homme d’affaire en a pris pour son grade, car ces fils et petits-fils de Baye Lahad ont même tenu à avertir Cheikh Amar.
Dans ce combat, ils ont en soutien l’observatoire pour la défense des valeurs de l’Islam. Cette dernière, d’après les renseignements reçus, regroupe en son sein les fils et petits-fils de Cheikh qui ont comme mission la défense des intérêts de la voie mouride.

« Cheikh Amar est coutumier des faits à Touba, mais qu’il sache que la famille de Serigne Abdou Lahad Mbacké n’est pas là pour le caresser. Nous nous suffisons au legs de notre grand père et aucun pouvoir, même d’un milliardaire ne peut nous secouer », a tonné Serigne Sidy Mbacké Cheikhouna.
Les frères de Serigne Modou Mbacké ont aussi promis de ne négliger aucun recours pour répliquer à cette sortie qu’ils n’ont nullement hésité à attribuer à l’homme d’affaire Cheikh Amar. Dans cette logique de riposte, les trois familles (Serigne Abdou Lahat, Serigne Souhinbou et Serigne Saliou) comptent ratisser large. Une guerre semble être déclarée.
Vendredi 18 Octobre 2013



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1.Posté par touba le 18/10/2013 21:47
Cheikh Amar cest un voleur,il a volé tout l'argent de Touba ce soulard

2.Posté par mbekh le 18/10/2013 21:48
Cheikh nak yangui commencé yakoulé. Guisngeu niit souy def ay magouilles si genre you ndaw yi lay tiolé adouna ak allahira. Grand ressaisit toi gnilay diay soy daniou niouy dem démal balou ak wa touba ténga bayi mandi bi yow ak marie

3.Posté par Diogoye le 18/10/2013 21:51
Yow mom cheikh dingeu alkou doméramù dji amoléneu loy def loudoul mordre la main ki ta nourri. Warnga di yoni ay niit niouy saga wakeur serigne touba naneu daniouy mandi di toukh yamba. Mandi seu keur la fek bakh, toi, ta femme, tes amis et ton fils. Yéneu yéna mom mot mandi doméram

4.Posté par fatima le 18/10/2013 22:00
cheikh amar est un délinquant financier qui a détourné les denier publics par le biais des marches fictifs de l(ARTP). il est entrain d'instrumentalisé la communauté mouride pour se tirer d'affaire des casseroles judiciaires. il manipule serigne sidy mokhtar mbacké ainsi -que de quelque barons mbackes et proches du khalife.
il veut toujours se barricader du paravent du célèbre talibé de serigne touba pour pouvoir bénéficier de la parapluie de Touba.
il y a aussi un grand bandit qui le dicte sa conduite c'est le très "wéssaaroo" et mythomane cheikh mbacké sakho qui conspire de façon malsaine et mal inspiré pour le compte de macky sall, il suffit juste de lire les contributions d'un "intellectuels soufi" pour s’en convaincre de la turpitude de ce voyou en proximité des mbacké mbacké. ses medisances sont si devastateur que macky ne respecte plus aucun mbacké. c'est un grand complexé qui adule ABDOUL AZIZ SY AL AMIN lui et sa clique de mbacke-mbacké en panne de wilaaya.

5.Posté par Daddy Diop le 18/10/2013 22:13
Cheikh amar wor ngeu Touba wayé dingako réthiou dé... On va te liquider mystiquement tu vas tout perdre je te le jure

6.Posté par vrai le 18/10/2013 23:15
CHEIKH BETHIO vous avez prévenu..............................

7.Posté par Abdou AMAR le 19/10/2013 00:21
Cette conférence de presse de Cheikh gadiagua a été planifié par Cheikh AMAR depuis la France où il séjourne en ce moment. C'est Kader NDIAYE en personne qui a rémi l'argent devant servir à payer la location de la salle et les perdiems des journalistes a Gadiagua.
Nous petits fils de Serigne Touba appelons à une grande mobilisation les 26, 27 et 28 Octobre à Khelcom pour corriger Cheikh AMAR, Kader NDIAYE et Cheikh GADIAGA. Message à faire circuler.
Cheikh AMAR ne sait meme pas à qui il a affaire, son entourage est entrain de lui creuser une grande tombe et rien, ni personne ne pourra empécher sa chute.
Notre Khalife Serigne Sidy est dans tous ses états suite aux insultes de GADIAGA

8.Posté par TSe // tre le 19/10/2013 01:35
Cheikh amar c un grand bandit salté say say woyou voleur kathiour toute la famille de serigne Touba paré n'annoncent guir diammarlouk mr amar son goor djiguén c lawbé gadiaga kou deugg ndeuyammla ce cheikh amar è son goor djiguén sont des pèrsone non gratta à Touba

9.Posté par rogerred le 19/10/2013 01:39
Cheikh Amar est un vaurien. Il ne respecte aucum Mbacke Mbacke. Je suis tidiane et sais ce que je vous dis. Sortez-le de Touba, conseil de frere.

10.Posté par tala le 19/10/2013 03:04
Je lis là des commentaires très dangeureux pour notre cher Sénégal que nous partageons tous ensemble. Les gars cultivons la paix pas la haine. Là vous ne suivez pas les préceptes de Serigne Touba, aussi bien vous que certains de ses petits enfants. Vous êtes tous guidés par l'argent en vous cachant derrière le mouridisme. Serigne Touba a toujours proné la paix, raison pour laquelle il n'a levé une arme contre les toubabs. DIAM tHI LA LEP KHATH. Donc attention au fanatisme. Réfléchissez ne vous comportez pas en idiotd fabatiques.

11.Posté par Maya le 19/10/2013 03:54
Marie Amar mom li mouy nane tchi sangara dou agem bou bayiwoul Delphine ak villa cristal legui mou dé! Kanam bi sakh mi ngui change!

12.Posté par Gadiagua yalla nga trokh bathiagou ndarra kambu le 19/10/2013 04:28
Gadiagua dinagne katte sa Ndaye di nga trokh . yaw nak Amar Kou bonne nga wayé fai très attention y'a Ngi dièma diakhassé Mbacke Mbacke yi fotollou waayé lèppu dina keuppu sisakaw kouma tontou walla ngamay khalata tontou heur bo kheuyè rék sa taati ndaye.

13.Posté par MONI le 19/10/2013 07:36
maky degage et place à karim

14.Posté par WEIKH TAL le 19/10/2013 08:51
TOUT CELA N'EST QUE L'EFFET COLLATÉRAL DE L'AFFAIRE DANGOTE. PRENONS NOS RESPONSABILITES BOUTONS CET NIGÉRIAN DES CHAMPS DE SERIGNE SALIOU AVANT QU'IL NE BRULE LE PAYS. C'EST KOI LE PB?
SERIGNE MOUSTAPHA DONNE UN POINT DE PRESSE POUR DÉNONCER L' ACHARNEMENT DONT FAIT L'OBJET DE LA PART DE DANGOTE ET DE L'ETAT.

LATIF COULIBALY POUR LE DÉMENTIR S'ATTAQUE A SERIGNE SALIOU. SERIGNE MODOU RÉPLIQUE ET DÉNONCE LE PRÉSIDENT, ET CHEIKH AMAR. CHEIKH GADIA INSULTE SERIGNE MODOU EN LUI DÉNIANT LE TITRE DE MBACKE POUR DÉFENDRE CHEIKH AMAR.
VOILA COMMENT L'AFFAIRE DANGOTE CONDUIT LE PAYS DANS UN CONFLIT AUX CONSÉQUENCE INNOMBRABLES. ARRÊTONS DANGOTE AVANT QUE LE FLEUVE NE TOUCHE D'AUTRE SECTEUR . AU DIABLE CE NIGÉRIAN QUI MINE DE RIEN FOUT LA MERDE PARTOUT OU IL PASSE AVEC SES MILLIARDS

15.Posté par rogerred le 19/10/2013 09:05
Le Nigerian n'est pas fautif. Les fautifs sont Amar pour sa trahison envers Touba et le President pour avoir pris de l'argent de Dangote et trahi sa parole envers la famille de Serigne Saliou.

16.Posté par rogerred le 19/10/2013 10:42
Les gens de Touba ne connaissent pas Cheikh Amar. C'est un virus!!!!!

17.Posté par DANGOTE CAMEROUN le 19/10/2013 12:20
Cameroun - Un autre scandale à Douala : RODEO et DANGOTE même combat :: CAMEROON

Après la scandaleuse implantation de la Cimenterie Dangote sur base de corruption des membres du gouvernement et de certaines élites locales, la ville de Douala et ses habitants vivent actuellement un autre scandale sur le plan environnemental. Douala présente désormais le visage d’une ville à la dérive: une cité sans foi ni loi, gangrénée par la pollution, où le désordre est généralisé, le civisme absent, la corruption rampante, les industries polluantes et dangereuses implantées illégalement, les agressions quotidiennes, les incendies à répétition, les accidents meurtriers récurrents, les immeubles instables écrasant leurs occupants, les restaurants sur le trottoir, la gestion des déchets approximative, les transports en commun inexistants … Mais rassurons-nous selon le Délégué du Gouvernement cela ira mieux en 2025.

Encore une promesse. On nous avait promis la santé pour tous en l’an 2000, et pendant que nous attendons toujours, on nous annonce que le Cameroun sera émergeant en 2035. Quelle dérision.

C’est surement pour atteindre cette émergence que la société RODEO DEVELPPMENT LTD, dont le capital se répartit entre deux sociétés américaines et la SNH, construit un gazoduc traversant la ville. Sans respecter la législation environnementale en vigueur, exactement comme DANGOTE : on distribue des enveloppes et dès lors, on se croit tout permis. C’est également pour cette raison que le Ministre de l’Environnement HELLE Pierre a décidé de faire la guerre aux sacs en plastique, en rappelant que tout contrevenant sera puni d’une forte amende et d’emprisonnement à partir de …. 2014.

Comment peut-il se moquer ainsi des populations ? Comment une loi qui est bafouée par son propre département ministériel dans les cas de l’implantation de l’usine de cimenterie et de la construction du gazoduc connaîtra-t-elle un meilleur sort dans celui de la gestion des déchets ? Comment peut-il penser motiver les opérateurs économiques et les ménages sur ce sujet, quand il donne par ailleurs un mauvais exemple de non respect de la loi qu’il est chargé de faire appliquer ?

Dans l’affaire du gazoduc comme dans celle de la cimenterie, les travaux ont commencé alors que la phase de discussions visant à aplanir les préoccupations des populations n’était pas terminée. Alors que pour NDOGPASSI III, les familles déguerpies du site n’étaient pas encore indemnisées. Contrairement aux promesses du Ministre des Mines, Badel NDANGA NDINGA, celui-là même qui a orchestré en toute illégalité, la pose de la première pierre de la cimenterie DANGOTE, avec ses collègues Bello BOUBA MAÏGARI et Louis Paul MOTAZE.

Enveloppes pour les décideurs, intimidations et menaces pour les populations, lorsqu’elles veulent faire valoir leurs droits à être consultées pour les projets industriels et dangereux initiés dans leur voisinage. Conformément à la loi. A NDOGPASSI III, lieu d’implantation de l’usine RODEO, l’eau potable reste une denrée rare, l’électricité est accessible seulement au tiers des ménages, la collecte des ordures est inexistante et la connexion téléphonique irrégulière. A tous ces désagréments vécus quotidiennement, les populations non déguerpies doivent faire face en plus, aux dangers liés à la proximité de cette usine de gaz érigée sans délimitation d’un périmètre de sécurité : on y trouve des habitations jusqu’au niveau de la guérite !

Mais il y a pire. Si l’Etude d’Impact Environnemental du site de NDOGPASSI III a été escamotée, celle de la construction de son gazoduc de plus de 15 km, devant relier l’usine à ses clients dans les zones portuaire et industrielle de BONABERI, n’a tout simplement pas été réalisée. Les travaux à ce jour sont largement avancés. Les tuyaux jonchent les bords de la chaussée. Les employés et leurs machines s’activent chaque jour tout au long du tracé, à enfouir les tuyaux près des habitations, des écoles, des stations services, du chemin de fer, des immeubles de bureaux, des routes largement fréquentées, sans aucune information et sensibilisation des populations riveraines au tracé.

En guise d’exemple, le pipeline Tchad-Cameroun qui pourtant ne transporte que du pétrole brut difficilement inflammable et explosif, a été construit hors des zones habitées, dans des tranchées de 2 mètres de profondeur, avec une emprise de 10 à 15 mètres de part et d’autre du tracé, interdite à tout accès. Pour le gazoduc traversant Douala aucune de ces précautions n’a été prise. Aucune disposition légale n’est respectée.

Or le gazoduc, au même titre que la cimenterie, est une installation classée dangereuse - en raison du gaz qui est un produit qui peut facilement s’enflammer et exploser - soumise à la réalisation d’une Etude d’Impact Environnemental au cours de laquelle les populations doivent être consultées selon une procédure clairement définie par la loi, d’une Etude de Dangers et d’une enquête publique avec une nouvelle fois l’obligation de recueillir l’avis des populations. Toutes choses qui ne sont pas effectives dans ces deux projets.

Le Groupe DANGOTE s’entête à construire son usine de ciment à la Base Elf, refusant un autre site dont les travaux d’aménagements nécessiteraient des coûts supplémentaires. Pourtant on nous le présente comme un Groupe milliardaire. Il devient soudain fauché comme des blés, quand il peut faire des économies sur le dos des populations. De même pour RODEO, dont l’une des variantes du projet consistait à faire passer les tuyaux de gaz par les drains de la ville.

Trop cher pour les américains, pourtant milliardaires en dollars. Et la SNH ayant financé deux fois un avion sans que celui-ci soit livré et sans savoir quelle destination a prise l’argent, n’a plus un sou de plus à mettre dans un projet, uniquement pour les beaux yeux d’une population qui du reste, ne sera pas mise au courant.

Il faut pourtant rappeler que Douala a parfois frôlé la catastrophe ces dernières années : les couvercles des cuves de la SCDP près du Pont sur le Wouri ont sauté, créant une panique générale parmi les passants ; idem à la suite d’un écoulement important de produits au carrefour Agip ; le Chef de l’Etat a failli être la victime d’un grave incident d’origine électrique lors d’un discours Place du Gouvernement, les câbles électriques ayant été sectionnés lors des fouilles réalisées pour l’installation de sa tribune ; tout dernièrement, d’autres fouilles effectuées pour les travaux de pose de la fibre optique ont causé le sectionnement de la canalisation chargée d’alimenter l’aéroport de Douala en kérosène, répandant ce produit entre les habitations dont les occupants ont été déguerpis en catastrophe.

La prévention des risques n’est jamais intégrée aux différents travaux et projets réalisés dans la ville. C’est à chaud, lorsque les risques latents se sont déjà réalisés sous forme d’accidents, que les décisions sont prises, dans la précipitation, et toujours au détriment des populations. Or, des mesures de précaution élémentaires auraient l’avantage de pallier à l’avance, aux dérisoires moyens de protection civile de la ville, à l’inorganisation administrative et à l’absence de coordination entre les différents services de la ville.

Face à une administration aux ordres, aux élus serviles et atones, aux gestionnaires de la ville amorphes et incompétents en matière de gestion des risques urbains, il s’agit pour les populations de reconquérir la parole et d’exiger que les droits que leur confère la législation environnementale soient respectés. Seules leur réelle implication dans tous les processus en cours et leur forte mobilisation autour de ces enjeux pourraient mettre fin aux manquements, aux irrégularités et aux actes illicites posés par des opérateurs économiques véreux avec la complicité des autorités locales.

18.Posté par DANGOTE CAMEROUN le 19/10/2013 12:21
Les premiers sacs de ciment de Dangote annoncés pour janvier 2014

Le milliardaire nigérian Aliko Dangote produira avant la fin de cette année 1 500 000 tonnes de ciment par an au Cameroun. De jour comme de nuit, des ouvriers s’activent sur le site de l’usine situé sur les berges du fleuve Wouri à Douala. Selon un contrôleur du chantier, l’usine de broyage de clinker en construction progresse bien et sera opérationnel d’ici la fin de l’année. Soit avec environ six mois de retard selon les premières prévisions qui étaient fixés au deuxième trimestre de 2013. Ce retard est dû aux nombreuses oppositions des riverains et des associations de défense de l’environnement qui n’avaient pas hésité à ester le géant nigérian en justice.

En effet, attiré par le leadership du Cameroun dans la sous région d’Afrique centrale, Aliko Dangote avait crée Dangote Industries (Cameroun) Ltd, une filiale de son groupe basé au Nigéria. Inoni Ephraim, l’ancien premier ministre va solliciter du milliardaire au cours d’une rencontre en 2008, la construction d’une usine de ciment au Cameroun pour juguler la pénurie que connaît le pays. L’homme d’affaire qui compte de nombreuses cimenteries ailleurs dans son portefeuille en Afrique accède à la demande. Il crée alors la Dangote Cement Plc qui est intégré à Dangote Industries (Cameroun) Ltd. Le 19 septembre 2011 trois conventions sont signées avec le ministère camerounais des mines et du développement technologique. Le site de la base Elf situé sur les berges du Wouri lui est proposé sur recommandation du président Paul Biya. Celui-ci est situé tout juste en face des Cimenterie du Cameroun, une propriété du groupe français Lafarge. Dangote s’engage alors à investir 57 milliards de Fcfa dans la construction d’une unité moderne de production de ciment.

Alors que les travaux sont lancés, il va subir des oppositions des communautés riveraines et des hommes politiques qui vont aboutir à des arrêts de travaux. L’arbitrage des tribunaux et l’aval du président Paul Biya lui donne raison, ouvrant la voie à la reprise des travaux. Aliko Dangote promet de livrer les premiers sacs de ciments produits au Cameroun en 2014.

19.Posté par ibra deguene keung le 19/10/2013 14:09
Cheikh Amar est un voyou de pire acabit, doublé d'un passif. Wawaw, passif la. Les gens le murmurent tout bas, mais gnou wakh ko té dé nak. Quel intérêt il a entretenir des gens, des vauriens que je me méprise mais connus de tous? Et puis c'est un samba alar, ces proches souffrent grave au moment où il distribue à tour de bras de l'argent. A preuve, une de ses soeurs était à la veille à dakar venant de saint louis, ndeyssane la pauvre elle a tout fait pour rencontrer son frère. Elle ne savait même pas que wadji dafa dem adji néna, c'est à dire qu'il est soit disant allé faire son pélérinage alors que dafa door marteau ben prince bou siiw bou nekeu maka. Je vous en dirais encore, damay nani ben leuweul rek

20.Posté par ba le 19/10/2013 14:16
et abdoulaye wade dans tout ca il ete ou quand l autoriser de s intaler

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