La pratique barbare qui consiste à repasser les seins naissants des jeunes filles dans le but de dissimuler leur développement est née en Afrique mais se propage aujourd'hui en Angleterre.
Les seins des fillettes d'à peine dix ans sont aplatis avec des fers à repasser, le plus souvent par leurs mères, pour cacher les signes de la puberté et ainsi les protéger contre le viol et les grossesses non désirées. Mais en plus d'une douleur folle, cette pratique peut mener à des abcès, une incapacité d'allaiter plus tard, des kystes, une défiguration permanente.
Selon la CAMEWomen's and Girls' Development Organisation, cette coutume douloureuse et dangereuse se passe en Angleterre "mais comme partout ailleurs, personne ne veut en parler."
Une Camerounaise témoignait fin septembre dans les pages du Daily Mail: "Ça se passe dans ma communauté mais personne n'en parle. Les mères le font à leurs filles et leur disent que c'est pour leur bien. C'est mal mais on nous dit que c'est une pratique culturelle. C'est ce qu'on disait aussi sur les mutilations génitales féminines au début mais aujourd'hui, on sait que c'est faux. Nous avons besoin de la même chose pour le repassage des seins." Au Cameroun, des pierres et des coquilles de noix de coco brûlantes sont utilisées. Effrayant.
Les seins des fillettes d'à peine dix ans sont aplatis avec des fers à repasser, le plus souvent par leurs mères, pour cacher les signes de la puberté et ainsi les protéger contre le viol et les grossesses non désirées. Mais en plus d'une douleur folle, cette pratique peut mener à des abcès, une incapacité d'allaiter plus tard, des kystes, une défiguration permanente.
Selon la CAMEWomen's and Girls' Development Organisation, cette coutume douloureuse et dangereuse se passe en Angleterre "mais comme partout ailleurs, personne ne veut en parler."
Une Camerounaise témoignait fin septembre dans les pages du Daily Mail: "Ça se passe dans ma communauté mais personne n'en parle. Les mères le font à leurs filles et leur disent que c'est pour leur bien. C'est mal mais on nous dit que c'est une pratique culturelle. C'est ce qu'on disait aussi sur les mutilations génitales féminines au début mais aujourd'hui, on sait que c'est faux. Nous avons besoin de la même chose pour le repassage des seins." Au Cameroun, des pierres et des coquilles de noix de coco brûlantes sont utilisées. Effrayant.
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