Ce lundi, notre confrère « L’Observateur » a partagé avec ses lecteurs les conclusions du rapport portant sur le crash de l’appareil de « Senegalair », entré en collision avec un Boing de la « Ceiba » en septembre 2015.
Ledit rapport, documenté par les perspicaces investigateurs du Bureau d’enquête et d’analyse, relève que l’avion en question, l’unique dont disposait la compagnie, était « surexploité ». A ce rayon toujours, il est mentionné que « l’appareil n’était pas régulièrement entretenu…en dépit de plusieurs recommandations fournies au terme d’inspections techniques ». « Le co-pilote de l’appareil ne remplissait pas les conditions préalables pour piloter sous immatriculation sénégalaise… l’altimètre de l’avion était défectueux », ajoute-t-on. En un mot, comme en mille, des « légèretés » imputables à « Senegalair », sont à l’origine du crash.
Paradoxalement, toutes les défaillances mises en exergue supra impliquent la responsabilité de l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (ANACIM).
Qui plus est, ce rapport a été publié tardivement ; malgré la tenue de plusieurs réunions comme si on voulait aider l’ANACIM à se débarrasser d’une patate chaude.
Dans d’autres pays, des têtes seraient tombées au plus haut sommet de l’Etat. Comme c’est le cas avec la Pologne, où le ministre de la Défense a démissionné, en 2011, suite à un rapport gouvernemental consécutivement au crash de Smolensk.
Ledit rapport, documenté par les perspicaces investigateurs du Bureau d’enquête et d’analyse, relève que l’avion en question, l’unique dont disposait la compagnie, était « surexploité ». A ce rayon toujours, il est mentionné que « l’appareil n’était pas régulièrement entretenu…en dépit de plusieurs recommandations fournies au terme d’inspections techniques ». « Le co-pilote de l’appareil ne remplissait pas les conditions préalables pour piloter sous immatriculation sénégalaise… l’altimètre de l’avion était défectueux », ajoute-t-on. En un mot, comme en mille, des « légèretés » imputables à « Senegalair », sont à l’origine du crash.
Paradoxalement, toutes les défaillances mises en exergue supra impliquent la responsabilité de l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (ANACIM).
Qui plus est, ce rapport a été publié tardivement ; malgré la tenue de plusieurs réunions comme si on voulait aider l’ANACIM à se débarrasser d’une patate chaude.
Dans d’autres pays, des têtes seraient tombées au plus haut sommet de l’Etat. Comme c’est le cas avec la Pologne, où le ministre de la Défense a démissionné, en 2011, suite à un rapport gouvernemental consécutivement au crash de Smolensk.
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