A la suite de l'Inspection générale d'Etat (IGE), la Cour des comptes a remis hier son rapport public au président de la République Macky Sall.
Parmi les structures visitées par les Vérificateurs, figurent l’Autorité de régulation des postes et des télécommunications (Artp), la Direction des bourses, la Caisse de sécurité sociale (Css), la Société nationale de réparation navale (Sirn), le Programme nationale de lutte contre la tuberculose (Pnlt) etc... Au fil des missions, la Cour des Comptes a révélé plusieurs cas de mal gouvernance.
Mais de toutes, c’est sûrement celle concernant la gestion 2008-2011 de l’Artp, sous N'dongo Diao, qui témoigne du braquage en règle qui a été effectué sur les deniers publics. Selon Libération, des sources autorisées de la Cour des comptes renseignent que les Vérificateurs ont découvert, qu’à la date du 31 janvier 2012, la somme de 3.739.908.120 milliards F Cfa a été détournée en toute illégalité du Fonds de développement universel des télécommunications (Fdsut) afin de permettre à l’Artp de financer des activités autres que celles qui entrent dans sa mission. Pourtant, cette délinquance financière n’est que l’arbre qui cache la forêt de magouilles à l'ARTP.
Car la mission de la Cour des comptes a remis au grand jour, l'affaire Sudatel, du nom du troisième opérateur de téléphonie qui aurait versé des commissions à des tiers pour décrocher une licence. En effet, la Cour des comptes signale que l’Artp a, dans la parfaite illégalité, abandonné des créances de plusieurs milliards de F Cfa que lui devait Expresso.
Que dire des relations affairistes douteuses entre l’Artp et François Bakou, le milliardaire ivoirien.
Libération révèle que , la mission de la Cour des comptes a fortement mis en cause «les nombreuses irrégularités et la nébulosité qui caractérisent ces deux transactions». En effet, le 06 mars 2008, l’Artp a placé 5 milliards de F Cfa à Amsa comme un contrat de retraite complémentaire, sans la moindre garantie.
Ce que la Cellule nationale de traitement des informations financières (Centif) avait, à son époque, qualifié de blanchiment de capitaux d’autant que l’intermédiaire dans cette affaire, Chérif Sène, s’est retrouvé avec une prime d’un milliard de F Cfa. Au lieu d’exiger le remboursement de cette somme, l’Artp a préféré l’échanger avec un immeuble d’Amsa qui se trouve en ville. Et ce, sans une procédure concurrentielle d’autant que, pour beaucoup, l’immeuble en question ne valait pas 5 milliards de F Cfa.
Parmi les structures visitées par les Vérificateurs, figurent l’Autorité de régulation des postes et des télécommunications (Artp), la Direction des bourses, la Caisse de sécurité sociale (Css), la Société nationale de réparation navale (Sirn), le Programme nationale de lutte contre la tuberculose (Pnlt) etc... Au fil des missions, la Cour des Comptes a révélé plusieurs cas de mal gouvernance.
Mais de toutes, c’est sûrement celle concernant la gestion 2008-2011 de l’Artp, sous N'dongo Diao, qui témoigne du braquage en règle qui a été effectué sur les deniers publics. Selon Libération, des sources autorisées de la Cour des comptes renseignent que les Vérificateurs ont découvert, qu’à la date du 31 janvier 2012, la somme de 3.739.908.120 milliards F Cfa a été détournée en toute illégalité du Fonds de développement universel des télécommunications (Fdsut) afin de permettre à l’Artp de financer des activités autres que celles qui entrent dans sa mission. Pourtant, cette délinquance financière n’est que l’arbre qui cache la forêt de magouilles à l'ARTP.
Car la mission de la Cour des comptes a remis au grand jour, l'affaire Sudatel, du nom du troisième opérateur de téléphonie qui aurait versé des commissions à des tiers pour décrocher une licence. En effet, la Cour des comptes signale que l’Artp a, dans la parfaite illégalité, abandonné des créances de plusieurs milliards de F Cfa que lui devait Expresso.
Que dire des relations affairistes douteuses entre l’Artp et François Bakou, le milliardaire ivoirien.
Libération révèle que , la mission de la Cour des comptes a fortement mis en cause «les nombreuses irrégularités et la nébulosité qui caractérisent ces deux transactions». En effet, le 06 mars 2008, l’Artp a placé 5 milliards de F Cfa à Amsa comme un contrat de retraite complémentaire, sans la moindre garantie.
Ce que la Cellule nationale de traitement des informations financières (Centif) avait, à son époque, qualifié de blanchiment de capitaux d’autant que l’intermédiaire dans cette affaire, Chérif Sène, s’est retrouvé avec une prime d’un milliard de F Cfa. Au lieu d’exiger le remboursement de cette somme, l’Artp a préféré l’échanger avec un immeuble d’Amsa qui se trouve en ville. Et ce, sans une procédure concurrentielle d’autant que, pour beaucoup, l’immeuble en question ne valait pas 5 milliards de F Cfa.
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