Ce Mardi 25 Mai a connu le lancement du Rapport Alternatif Sur l’Afrique (RASA). Cette nouvelle initiative essentielle d’institutions africaines et internationales de renom (Enda Tiers-Monde, Codesria, Trustafrica, Legsafrica...) entre dans le cadre d’une contribution à la consolidation des transformations à l’œuvre dans les sociétés et institutions africaines vers l’autonomie et la souveraineté.
Le RASA articulé autour de 7 grands axes, notamment la souveraineté économique, veut par le biais de ce rapport, redre visibles les dynamiques et mutations à l’œuvre sur le continen, notamment celles qui sont portées par les africains dans leur majorité et leur diversité.
C’est le lieu pour Cheikh Guèye, secrétaire permanent du RASA de revenir sur l’importance de ce nouveau rapport qui vise à repositionner l’Afrique dans la production d’un savoir autonome et souverain.
« Le but c’est d’avoir un rapport par l’Afrique et pour l’Afrique », déclare-t-il lorsqu’il est interpellé sur la question de l’objectif de ce rapport. Il affirme à cet effet, que ledit rapport a été élaboré sous le prisme de la souveraineté qu’elle soit culturelle, politique ou économique dans une démarche d’unicité et de mise en avant du panafricanisme.
Par ailleurs, il souligne que le rapport entend doter les pays africains d’indicateurs nouveaux, différents de ceux qu’on a élaborés au niveau international et vise à mieux mesurer ce qui est important pour l’Afrique. Il termine en rappelant que le rapport cherche en priorité à influencer les politiques à tous les niveaux.
Le RASA articulé autour de 7 grands axes, notamment la souveraineté économique, veut par le biais de ce rapport, redre visibles les dynamiques et mutations à l’œuvre sur le continen, notamment celles qui sont portées par les africains dans leur majorité et leur diversité.
C’est le lieu pour Cheikh Guèye, secrétaire permanent du RASA de revenir sur l’importance de ce nouveau rapport qui vise à repositionner l’Afrique dans la production d’un savoir autonome et souverain.
« Le but c’est d’avoir un rapport par l’Afrique et pour l’Afrique », déclare-t-il lorsqu’il est interpellé sur la question de l’objectif de ce rapport. Il affirme à cet effet, que ledit rapport a été élaboré sous le prisme de la souveraineté qu’elle soit culturelle, politique ou économique dans une démarche d’unicité et de mise en avant du panafricanisme.
Par ailleurs, il souligne que le rapport entend doter les pays africains d’indicateurs nouveaux, différents de ceux qu’on a élaborés au niveau international et vise à mieux mesurer ce qui est important pour l’Afrique. Il termine en rappelant que le rapport cherche en priorité à influencer les politiques à tous les niveaux.
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