Le Premier ministre, Mahammed Boun Abdallah Dionne, compte tenir sa promesse de se présenter chaque mois devant les députés pour répondre aux questions d’actualité.
Le chef du gouvernement et son équipe seront à l’Assemblée nationale, jeudi prochain, pour édifier les parlementaires et le peuple sur des sujets qui défraient ces temps ci la chronique comme la crise scolaire. Le Parlement constitue une tribune idéale pour l’exécutif de s’adresser au-delà des députés, aux Sénégalais qui veulent être édifiés sur certaines questions d’actualité. Ce qui encourage sûrement le Gouvernement à faire face au Parlement, c’est la liberté des ministres à répondre aux questions sans être contredits par les députés. Les parlementaires se limitent à poser des questions et à écouter religieusement les réponses du gouvernement sans pouvoir répliquer ou démentir.
Le chef du gouvernement, cible d’attaques nourries ces derniers jours, devra bien avoir du mordant, car l’actualité est assez fournie. Au-delà de la polémique autour de la transhumance qui passionne les débats, il y a la crise scolaire, mais aussi la polémique autour de la 4G où apparemment Orange bénéficie de soutiens solides. Surtout avec la révélation du Dg de l’Artp. En effet, si l’on en croit Abdou Karim Sall, alors qu’on parle de la 4G, Orange n’a même pas encore versé un rond pour la 3G. Orange doit verser 3 % de son chiffre d’affaires et comme l’État veut désormais savoir combien exactement, la bataille fait rage entre l’opérateur de téléphonie et les autorités du Sénégal. Et d’ailleurs, selon nos sources, l’État a saisi l’Armp pour lancer une étude pour le recrutement d’un cabinet qui va évaluer le coût de la licence 4G. De plus en plus, l’État pense à une alternative, l’idée de la remettre à Senelec est en étude dans certains milieux. Reste à savoir si le puissant lobby France Télécom aura raison sur le chef de l’État.
L’As
Le chef du gouvernement et son équipe seront à l’Assemblée nationale, jeudi prochain, pour édifier les parlementaires et le peuple sur des sujets qui défraient ces temps ci la chronique comme la crise scolaire. Le Parlement constitue une tribune idéale pour l’exécutif de s’adresser au-delà des députés, aux Sénégalais qui veulent être édifiés sur certaines questions d’actualité. Ce qui encourage sûrement le Gouvernement à faire face au Parlement, c’est la liberté des ministres à répondre aux questions sans être contredits par les députés. Les parlementaires se limitent à poser des questions et à écouter religieusement les réponses du gouvernement sans pouvoir répliquer ou démentir.
Le chef du gouvernement, cible d’attaques nourries ces derniers jours, devra bien avoir du mordant, car l’actualité est assez fournie. Au-delà de la polémique autour de la transhumance qui passionne les débats, il y a la crise scolaire, mais aussi la polémique autour de la 4G où apparemment Orange bénéficie de soutiens solides. Surtout avec la révélation du Dg de l’Artp. En effet, si l’on en croit Abdou Karim Sall, alors qu’on parle de la 4G, Orange n’a même pas encore versé un rond pour la 3G. Orange doit verser 3 % de son chiffre d’affaires et comme l’État veut désormais savoir combien exactement, la bataille fait rage entre l’opérateur de téléphonie et les autorités du Sénégal. Et d’ailleurs, selon nos sources, l’État a saisi l’Armp pour lancer une étude pour le recrutement d’un cabinet qui va évaluer le coût de la licence 4G. De plus en plus, l’État pense à une alternative, l’idée de la remettre à Senelec est en étude dans certains milieux. Reste à savoir si le puissant lobby France Télécom aura raison sur le chef de l’État.
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