Quand la peur conduit à la terreur... (Elhadji Hamidou Kassé, porte-parole du candidat de la coalition Macky 2012)


Quand la peur conduit à la terreur... (Elhadji Hamidou Kassé, porte-parole du candidat de la coalition Macky 2012)
Je suis frappé par leur manque de retenue. La peur, chez eux, prend les allures de la terreur. Désormais, ils sont prêts à tout. A tout, y compris le mensonge. Y compris les méthodes fascistes. Y compris la plongée dans les égouts pour chercher l’argument fourre tout.
Attention, ils ont devenus dangereux.

Au départ, ils ont sorti de leur imagination déficitaire l’étonnante et inacceptable accusation de l’ethnicisme. Les résultats du premier tour ont attesté de la capacité des Sénégalais à discerner le vrai du faux. Dakar, Kaolack, Nioro, Tamba, Fatick, Thiès, entre autres, par les résultats qui y ont été enregistrés, donnent la preuve tangible de leur fourvoiement. Ils glissèrent de terrain.

Ce furent, ensuite, la désinformation et l’intoxication. Ils mirent dans la bouche d’un candidat, honteusement, des propos que ce dernier n’a jamais tenus sur les marabouts. Là aussi, ils n’ont pas eu de scrupule à recourir aux contrevérités. Les Sénégalais rejettent ces procédés ignobles. Les cervelles de moineau qu’ils incarnent jusqu’à la caricature changèrent de fusil d’épaule.

Ils crurent trouver que le mensonge grossi à souhait pouvait prospérer. Alors, dans les esprits étroits des piètres stratèges de la défaite, fleurit l’inconscient de l’homosexualité ! L’opinion sait parfaitement que ces « communicants » incompétents n’ont prouvé que l’ampleur de leur carence et l’extrême pauvreté de leur pensée. Car ils savent au moins, d’un savoir éprouvé, que le candidat qu’ils visent porte la lucidité de la manière la plus authentique.

Mais j’ai bien peur que les intermittents de l’élection perdue sont des gens qui passent. Pas hélas des « animaux de luxe » qui pensent.

Voilà donc les inconsolables wado-sceptiques réduits à chercher, dans le feug djaay argumentaire, les oripeaux de leurs espérances en lambeaux. Rage ! Désespoir !

Où sont-ils, les héros des aubes difficiles ?
Où sont-ils, les clandestins des années 70 ?
Où sont-ils, les insurgés pacifiques du 19 mars 2000 ?
Où sont-ils, les manifestants inventifs du Sopi des années de braise ?
Ils sont devenus les Invisibles de leur propre histoire car de pseudo-intellectuels prébendiers les ont liquidés auprès du MAITRE.
Ils sont devenus les pestiférés du Parti démocratique car des politiciens insensibles à la constance les ont « clashés » auprès du GRAND MAITRE.
Où sont-ils, les gardiens du rêve de la première alternance ?
Ils sont devenus des ombres d’eux-mêmes, déçus et désenchantés car des briseurs de songe, jadis, sont à présent les champions des batailles qu’ils n’ont jamais menées.

Rideaux ! Car les orphelins du wadisme périmé n’ont plus où déposer leur doléance. Et pourtant, Benno Bokk Yakaar signe la re-présence de ce qui nous anime comme inspiration et aspiration, depuis 1957 avec le Pai, Mai 68 avec les jeunesses progressistes, 1974 avec le Pds au « D » authentique, le 19 mars avec le Front pour l’alternance (FAL inaugural), le 22 mars avec les alternances locales et le 26 février avec un second tour référendaire… Enfin !

El Hadj Hamidou KASSE

PS : Salut tolérant et compréhensif à ceux qui n’ont que l’insulte à la bouche et qui, dans les égouts, se débattent pour chercher les victuailles du jour.
Lundi 12 Mars 2012
El Hadj H. KASSE




1.Posté par PAL le 12/03/2012 08:45
donc tu sais que tes paroles ne mérites que des insultes bayil kou falou gua dioutou ka sa toune gui

2.Posté par arame le 12/03/2012 10:28
JOURNAL LA CROIX
Votre premier réflexe a été de vous rendre à Touba, la ville sainte des mourides où le président Wade vous a précédé. Les confréries sont-elles un passage obligé au Sénégal pour gagner les élections ?
MACKY SALL
On ne peut pas se rendre à Touba sans aller saluer le khalife général des mourides. Certes, les chefs religieux jouent un rôle – social – très important au Sénégal. Sur le plan politique, toutefois, ce sont des citoyens comme tous les autres. Dans le domaine religieux, privé, le marabout peut être l’autorité du président ou son chef spirituel, mais pas dans la vie publique. Si je suis allé à Touba, c’est parce qu’il s’agit d’un immense réservoir électoral. Mais, en ce qui me concerne, il est exclu d’accorder des faveurs ou un statut particulier aux marabouts.

ET CA C ETAIT HIER ! MACKY L A BEL ET BIEN DIT ET INSISTE EN TRAITANT TOUBA DE SIMPLE GRENIER ELECTORAL ...COMME IL PARLAIT A UN JOURNAL FRANCAIS !!! il l a dit monsieur le porte parole et répété ..www.lacroix.com.

VOUS VOUS COMMENCEZ A FLIPPER DE VOUS MEMES PAR VOS PROPRES ERREURS

3.Posté par MOM le 12/03/2012 10:36
oui et la trouvaille du jour est le pretendu cheval borgne,maconnique. moi j'ai envie de leur dire un peu de retenue messieurs des souteneurs plus qu'interesses.

4.Posté par lol le 12/03/2012 11:09
les marabouts doivent rester dans le domaine religieux, point final !

5.Posté par bayeniang le 12/03/2012 17:14
vous avez parfaitement raison,seul le est abilité a élir son president et il adéjà choisi Macky.
Vive un changement avec Macky.



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