Le ministre de l’économie et des finances, Amadou Ba, a procédé à la signature de l’accord de financement du projet d’interconnexion électrique des pays membres de l’organisation pour la mise en valeur du fleuve Gambie (OMVG), entre l’Etat du Sénégal et la Banque européenne d’investissement (BEI).
Le projet d’interconnexion électrique, qui est un volet du programme énergie de l’OMVG, vise la construction de lignes haute tension 225 kv (kilovolts) devant permettre le transport de l’électricité, des barrages hydroélectriques de Sambangalou à Kédougou et Kaléta en république de guinée, aux foyers de consommation dans ces différents pays. Ce projet est ainsi déterminant pour les pays membres de l’OMVG à savoir la Gambie, la Guinée, la Guinée Bissau et le Sénégal.
Parlant spécifiquement du Sénégal, le financement de la BEI, qui s’élève à 20 millions d’euros soit plus de 13 milliards de F cfa, représente proportionnellement le coût de la dorsale sud sur le territoire sénégalais avec les deux postes de transformation haute tension et moyenne tension, respectivement à Kaolack et à Tanaff.
Cet important financement concrétise la contribution attendue de la BEI à la mise en œuvre du plan Sénégal émergent (pse) qui a fait du secteur de l’énergie un des fondements de l’émergence.
À travers ce projet, le Sénégal se donne les moyens d’améliorer la qualité et la fourniture de l’énergie à des coûts compétitifs ; l’objectif à terme étant de porter le taux d’accès à l’électricité de 57% en 2013 à 65% en 2019.
Le projet d’interconnexion électrique, qui est un volet du programme énergie de l’OMVG, vise la construction de lignes haute tension 225 kv (kilovolts) devant permettre le transport de l’électricité, des barrages hydroélectriques de Sambangalou à Kédougou et Kaléta en république de guinée, aux foyers de consommation dans ces différents pays. Ce projet est ainsi déterminant pour les pays membres de l’OMVG à savoir la Gambie, la Guinée, la Guinée Bissau et le Sénégal.
Parlant spécifiquement du Sénégal, le financement de la BEI, qui s’élève à 20 millions d’euros soit plus de 13 milliards de F cfa, représente proportionnellement le coût de la dorsale sud sur le territoire sénégalais avec les deux postes de transformation haute tension et moyenne tension, respectivement à Kaolack et à Tanaff.
Cet important financement concrétise la contribution attendue de la BEI à la mise en œuvre du plan Sénégal émergent (pse) qui a fait du secteur de l’énergie un des fondements de l’émergence.
À travers ce projet, le Sénégal se donne les moyens d’améliorer la qualité et la fourniture de l’énergie à des coûts compétitifs ; l’objectif à terme étant de porter le taux d’accès à l’électricité de 57% en 2013 à 65% en 2019.
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