Macky Sall lors de l'ouverture du forum pharmaceutique International, s’est prononcé sur les enjeux de la souveraineté pharmaceutique africaine et sur les médicaments de la rue. Dans son discours le Président Macky Sall considérant que rien n'est possible sans la bonne santé et que celle-ci reste une composante essentielle de l'axe 2 du Pse, rappelé que la pandémie de Covid-19 a brutalement montré combien le monde dans sa globalité, reste encore marqué par les défis sanitaires. D’où l’importance de faire avancer dans la charte de l'innovation pour mieux prendre en charge les crises sanitaires. La pandémie avait aussi montré la grande dépendance de l'Afrique vis-à -vis de l'extérieur des produits médicaux et pharmaceutiques. La production du continent pour moins de 1% de ces besoins en vaccins et représente moins de 4%des chiffres d'affaires du marché pharmaceutique mondial estime en 2022 a plus de 1,5 milliard de dollars.
L'impératif de souveraineté médicale et pharmaceutique, selon le chef de l’Etat, se pose avec acuité dans nos pays en voie de développement. Il faut donc revisiter les textes qui englobent la profession et les mettre à jour et s’ouvrir à l'investissement privé. Pour Macky Sall, l’un des défis majeurs pour le Sénégal est de relever aujourd'hui c'est la production des vaccins, l'accès aux plateformes de commercialisation pour participer à la lutte contre les menaces sanitaires du futur. Pour réussir ce pari, il faut s'appuyer sur 5 leviers notamment la formation et le développement du capital humain dans le secteur pharmaceutique pour disposer de personnel qualifié et en nombre suffisant. « Au Sénégal, pour la production des vaccins, le besoin en ressources humaines est estimée entre 9000 et 12000 professionnels pour atteindre l'objectif de 60% de production locale à l'horizon 2040 » a précisé le chef de l’Etat qui insiste aussi sur la recherche et la préparation des produits d'avenir qui permettent en même temps d'évaluer et de rendre disponible l'expérience de la pharmacopée . De gros efforts doivent être faits dans ce secteur de la pharmacopée traditionnelle en développant des capacités des énergies comme partie intégrante du système de santé.
L'impératif de souveraineté médicale et pharmaceutique, selon le chef de l’Etat, se pose avec acuité dans nos pays en voie de développement. Il faut donc revisiter les textes qui englobent la profession et les mettre à jour et s’ouvrir à l'investissement privé. Pour Macky Sall, l’un des défis majeurs pour le Sénégal est de relever aujourd'hui c'est la production des vaccins, l'accès aux plateformes de commercialisation pour participer à la lutte contre les menaces sanitaires du futur. Pour réussir ce pari, il faut s'appuyer sur 5 leviers notamment la formation et le développement du capital humain dans le secteur pharmaceutique pour disposer de personnel qualifié et en nombre suffisant. « Au Sénégal, pour la production des vaccins, le besoin en ressources humaines est estimée entre 9000 et 12000 professionnels pour atteindre l'objectif de 60% de production locale à l'horizon 2040 » a précisé le chef de l’Etat qui insiste aussi sur la recherche et la préparation des produits d'avenir qui permettent en même temps d'évaluer et de rendre disponible l'expérience de la pharmacopée . De gros efforts doivent être faits dans ce secteur de la pharmacopée traditionnelle en développant des capacités des énergies comme partie intégrante du système de santé.
Autres articles
-
Thiès- Tabaski 2024: " les prix des moutons varieront entre 80.000 et 150.000 Fcfa"( vendeur)
-
Ordre des architectes du Sénégal: 31 nouveaux entrants ont officiellement embrassé la fonction
-
Gestion ONFP (2013/2017), Sanoussy Diakité se lave a grande eau : « Vous ne verrez aucune faute de gestion, aucun détournement ni malversations… Je suis propre ! »
-
Déguerpissement tous azimuts : La plateforme des associations du secteur informel interpelle les autorités
-
Économie informelle : Une nouvelle organisation voit le jour