Les partis politiques du FDS/MWS ont cet après-midi au cours d’un point de presse et sur la refonte du fichier électoral, dit qu'ils soupçonnent une volonté de triche de la part du gouvernement qui veut radier « le stock mort ».
Selon Omar Sarr du PDS, membre du Front qui lisait la déclaration produite à cet effet, l’entêtement du gouvernement, soutenu par sa majorité au parlement, à vouloir radier automatiquement tous ceux qui figurent dans le fichier et qui n'auront pas confirmé leur volonté d'y demeurer, fait peser un lourd soupçon sur sa volonté de procéder à une radiation de grande ampleur d'électeurs dans les zones réputées favorables à l'Opposition et à des incorporations massives d'électeurs dans les zones réputées être favorables aux partis de la majorité.
« Le vote n’étant pas obligatoire, le citoyen qui s’inscrit sur les listes électorales dans le cadre de l’exercice des libertés publiques ne peut en être radié aux termes de l’article L42 sans une décision motivée et dûment justifiée. C’est ce verrou que le gouvernement vient de faire sauter en modifiant unilatéralement la loi pour permettre ainsi la radiation d’office des électeurs de l’opposition. »« De telles manipulations d’envergure altéreraient substantiellement la fiabilité du fichier électoral et porteraient gravement atteinte à la sincérité des scrutins à venir », fera savoir Omar Sarr.
>Sur la carte électorale ou la répartition géographique des lieux de vote, l’opposition de révéler des bureaux de vote fictifs fortifiés par la dernière consultation électorale portant sur le référendum. « Il faut ajouter que dans certaines localités, il y a des incohérences manifestes qui font douter de la fiabilité même du fichier. »
Fort de cela, Omar Sarr et ses camarades de rejeter l’organisation des élections par le ministre de l’intérieur.
« Dans un système où les soupçons de fraude sont permanents et le consensus fragile, entraînant l’instauration d’organes de régulation, de supervision ou de contrôle avec la participation d’observateurs étrangers, il ne fait aucun doute que l’organisation des élections par une personnalité consensuelle peut constituer une garantie assurant davantage de transparence pour rassurer et éviter les tensions », fera savoir l’opposition.
« Il s’y ajoute qu’il est connu de tous, démontré et confirmé par l’organe de contrôle des élections, que l’actuel ministre de l’intérieur ainsi que ses services et partisans sont impliqués dans des fraudes et tentatives grotesques de fraude confirmant les craintes de l’incapacité par une autorité politique d’organiser des élections transparentes dans le contexte actuel », conclura-t-elle...
Selon Omar Sarr du PDS, membre du Front qui lisait la déclaration produite à cet effet, l’entêtement du gouvernement, soutenu par sa majorité au parlement, à vouloir radier automatiquement tous ceux qui figurent dans le fichier et qui n'auront pas confirmé leur volonté d'y demeurer, fait peser un lourd soupçon sur sa volonté de procéder à une radiation de grande ampleur d'électeurs dans les zones réputées favorables à l'Opposition et à des incorporations massives d'électeurs dans les zones réputées être favorables aux partis de la majorité.
« Le vote n’étant pas obligatoire, le citoyen qui s’inscrit sur les listes électorales dans le cadre de l’exercice des libertés publiques ne peut en être radié aux termes de l’article L42 sans une décision motivée et dûment justifiée. C’est ce verrou que le gouvernement vient de faire sauter en modifiant unilatéralement la loi pour permettre ainsi la radiation d’office des électeurs de l’opposition. »« De telles manipulations d’envergure altéreraient substantiellement la fiabilité du fichier électoral et porteraient gravement atteinte à la sincérité des scrutins à venir », fera savoir Omar Sarr.
>Sur la carte électorale ou la répartition géographique des lieux de vote, l’opposition de révéler des bureaux de vote fictifs fortifiés par la dernière consultation électorale portant sur le référendum. « Il faut ajouter que dans certaines localités, il y a des incohérences manifestes qui font douter de la fiabilité même du fichier. »
Fort de cela, Omar Sarr et ses camarades de rejeter l’organisation des élections par le ministre de l’intérieur.
« Dans un système où les soupçons de fraude sont permanents et le consensus fragile, entraînant l’instauration d’organes de régulation, de supervision ou de contrôle avec la participation d’observateurs étrangers, il ne fait aucun doute que l’organisation des élections par une personnalité consensuelle peut constituer une garantie assurant davantage de transparence pour rassurer et éviter les tensions », fera savoir l’opposition.
« Il s’y ajoute qu’il est connu de tous, démontré et confirmé par l’organe de contrôle des élections, que l’actuel ministre de l’intérieur ainsi que ses services et partisans sont impliqués dans des fraudes et tentatives grotesques de fraude confirmant les craintes de l’incapacité par une autorité politique d’organiser des élections transparentes dans le contexte actuel », conclura-t-elle...
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