En conférence de presse ce matin, le réseau national des prestataires du transfert d'argent a déploré les pratiques scandaleuses auxquelles s’adonnent les banques.
"Nous dénonçons depuis 2012 les fâcheuses conséquences découlant de la non prise en charge correcte des problèmes liés à cette activité, qui se traduit par la faillite des opérateurs de transfert d'argent qui perdent des sommes colossales, des clients qui ne savent plus quel saint se vouer", se désole Khalil Guèye, le président du réseau.
Khalil Guèye explique la source du mal par le simple fait que "les autorités font la sourde oreille devant les incessantes interpellations du Renepta qui exige le respect de la réglementation, notamment l'instruction 13 de la BCEAO entrée en vigueur depuis 2016, mais qui n'a jamais été appliquée." Alors que, poursuit toujours le président, "tout ce qui intéresse les banques ce sont les commissions tirées des transactions, mais elles refusent que son sous-agent puisse faire des retraits IBAN dans leurs agences".
Avec cette pratique qu'ils jugent scandaleuse, Khalil Guèye de souligner que "ce sont plus de 300 emplois directs et 60 000 emplois indirects qui sont menacés". C’est pourquoi il exhorte les autorités à s'autosaisir de cette question. "Nous demandons à l'État de prendre ses responsabilités pour éviter de donner un mauvais signal aux investisseurs et de se soucier des menaces sur le climat social", conclut le président Khalil Guèye.
"Nous dénonçons depuis 2012 les fâcheuses conséquences découlant de la non prise en charge correcte des problèmes liés à cette activité, qui se traduit par la faillite des opérateurs de transfert d'argent qui perdent des sommes colossales, des clients qui ne savent plus quel saint se vouer", se désole Khalil Guèye, le président du réseau.
Khalil Guèye explique la source du mal par le simple fait que "les autorités font la sourde oreille devant les incessantes interpellations du Renepta qui exige le respect de la réglementation, notamment l'instruction 13 de la BCEAO entrée en vigueur depuis 2016, mais qui n'a jamais été appliquée." Alors que, poursuit toujours le président, "tout ce qui intéresse les banques ce sont les commissions tirées des transactions, mais elles refusent que son sous-agent puisse faire des retraits IBAN dans leurs agences".
Avec cette pratique qu'ils jugent scandaleuse, Khalil Guèye de souligner que "ce sont plus de 300 emplois directs et 60 000 emplois indirects qui sont menacés". C’est pourquoi il exhorte les autorités à s'autosaisir de cette question. "Nous demandons à l'État de prendre ses responsabilités pour éviter de donner un mauvais signal aux investisseurs et de se soucier des menaces sur le climat social", conclut le président Khalil Guèye.
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