Le réseau des femmes de l’Alliance pour la République, avec à leur tête leur Présidente Marième Badiane, ont indiqué cet après-midi lors d’un point de presse que Me Wade devait, vu sa fonction d’ancien Chef d’Etat, éviter de semer le trouble chez les populations.
Mme Ndiéguène Diouf, PCA du Petit Train Bleu de Banlieue de rappeler que « comme par hasard Abdoulaye Wade veut se refaire une légitimité politique. Les Sénégalais n’ont pas la mémoire courte, il a été combattu au bout de 12 ans de gabegie, de concussion et de mal gouvernance. Il a été remplacé actuellement et sa place est dans une maison de retraite. » Selon la responsable politique toujours « Wade est grabataire sénile, il doit aller prendre sa natte et prier pour ses ouailles ».
La Présidente des femmes Marième Badiane quant à elle, a noté que la constitution reconnait le droit de marche à tout individu. Cependant a-t-elle ajouté le « Président, gardien de la constitution tient à protéger les populations ».
« Le 25 mars les populations ont réglé le problème de l’ancien président, il ne s’agit pas de peur de Wade, mais de s’inscrire dans le rôle régalien de l’état, c’est-à-dire de veiller sur la sécurité des populations et des biens »a-t-elle ajouté, réfutant l’idée d’une peur de l’Etat à l’égard de l’ancien Chef d’Etat.
Mme Ndiéguène Diouf, PCA du Petit Train Bleu de Banlieue de rappeler que « comme par hasard Abdoulaye Wade veut se refaire une légitimité politique. Les Sénégalais n’ont pas la mémoire courte, il a été combattu au bout de 12 ans de gabegie, de concussion et de mal gouvernance. Il a été remplacé actuellement et sa place est dans une maison de retraite. » Selon la responsable politique toujours « Wade est grabataire sénile, il doit aller prendre sa natte et prier pour ses ouailles ».
La Présidente des femmes Marième Badiane quant à elle, a noté que la constitution reconnait le droit de marche à tout individu. Cependant a-t-elle ajouté le « Président, gardien de la constitution tient à protéger les populations ».
« Le 25 mars les populations ont réglé le problème de l’ancien président, il ne s’agit pas de peur de Wade, mais de s’inscrire dans le rôle régalien de l’état, c’est-à-dire de veiller sur la sécurité des populations et des biens »a-t-elle ajouté, réfutant l’idée d’une peur de l’Etat à l’égard de l’ancien Chef d’Etat.
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