"Plus d'un milliard d'euros d'aide" a été promis à la Guinée-Bissau lors d'une conférence internationale organisée à Bruxelles, a annoncé jeudi la Commission européenne, qui va fournir 160 millions d'euros pour y "consolider la démocratie".
Ces promesses d'aide, pour des projets visant à "renforcer les secteurs de l'éducation, de la santé, des infrastructures, de l'agriculture, de la gouvernance et de l'Etat de droit", émanent de 70 délégations qui participaient mercredi à cette conférence organisée par l'Union européenne, l'ONU et la Guinée-Bissau.
"Cette promesse importante montre que la communauté internationale est déterminée à aider la Guinée-Bissau dans son nouveau départ. J'espère que cette aide massive va encourager le gouvernement à poursuivre ses réformes", a commenté dans un communiqué le commissaire européen au Développement, Neven Mimica.
L'Union européenne s'était déjà engagée mercredi à fournir une aide supplémentaire de 160 millions d’euros à la Guinée-Bissau pour y "consolider la démocratie" et doper la reprise économique au sortir d'années d'instabilité. Ces nouveaux fonds sont destinés "à l’appui de
la politique de la pêche, de la société civile, des droits de l’Homme et de la démocratie", ainsi qu'à la "gouvernance foncière en Guinée-Bissau" et au "programmes régionaux", avait indiqué la
Commission européenne dans un communiqué.
Cette enveloppe s'ajoute à une aide de 127 millions d'euros engagés en faveur du pays d'ici 2020 dans le cadre du Fonds européen de développement, qui doivent être "prioritairement consacrés aux secteurs de la gouvernance, du développement rural et de la santé".
L'UE a définitivement levé mardi les restrictions qu'elle avait imposées sur la coopération avec la Guinée-Bissau en juillet 2011, en réaction à une mutinerie militaire en avril 2010. Celle-ci avait
préludé à une période d'instabilité qui s'est achevée avec la tenue, en mai 2014, d'élections jugées "libres et crédibles" par l'UE.
La Guinée-Bissau s'est dotée le 4 juillet 2014 d'un gouvernement dominé par le parti du président José Mario Vaz, dernière étape du retour à la légalité institutionnelle.
Agence France-Presse
Ces promesses d'aide, pour des projets visant à "renforcer les secteurs de l'éducation, de la santé, des infrastructures, de l'agriculture, de la gouvernance et de l'Etat de droit", émanent de 70 délégations qui participaient mercredi à cette conférence organisée par l'Union européenne, l'ONU et la Guinée-Bissau.
"Cette promesse importante montre que la communauté internationale est déterminée à aider la Guinée-Bissau dans son nouveau départ. J'espère que cette aide massive va encourager le gouvernement à poursuivre ses réformes", a commenté dans un communiqué le commissaire européen au Développement, Neven Mimica.
L'Union européenne s'était déjà engagée mercredi à fournir une aide supplémentaire de 160 millions d’euros à la Guinée-Bissau pour y "consolider la démocratie" et doper la reprise économique au sortir d'années d'instabilité. Ces nouveaux fonds sont destinés "à l’appui de
la politique de la pêche, de la société civile, des droits de l’Homme et de la démocratie", ainsi qu'à la "gouvernance foncière en Guinée-Bissau" et au "programmes régionaux", avait indiqué la
Commission européenne dans un communiqué.
Cette enveloppe s'ajoute à une aide de 127 millions d'euros engagés en faveur du pays d'ici 2020 dans le cadre du Fonds européen de développement, qui doivent être "prioritairement consacrés aux secteurs de la gouvernance, du développement rural et de la santé".
L'UE a définitivement levé mardi les restrictions qu'elle avait imposées sur la coopération avec la Guinée-Bissau en juillet 2011, en réaction à une mutinerie militaire en avril 2010. Celle-ci avait
préludé à une période d'instabilité qui s'est achevée avec la tenue, en mai 2014, d'élections jugées "libres et crédibles" par l'UE.
La Guinée-Bissau s'est dotée le 4 juillet 2014 d'un gouvernement dominé par le parti du président José Mario Vaz, dernière étape du retour à la légalité institutionnelle.
Agence France-Presse
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