La cérémonie d’ouverture du Troisième Forum Investir en Afrique, qui se tient depuis ce matin, à Dakar, en collaboration avec la Banque mondiale, a servi de tribune au chef de l’Etat qui a milité en faveur d’ « un changement de paradigme et de vision » dans les relations entre l’Afrique et le reste du monde.
« L’Afrique ne doit pas être simplement considérée comme un continent du futur. Il faut croire à un futur radieux dans un monde où il faut se battre chaque jour et avoir sa place au soleil. Je plaide pour que l’Afrique soit considérée comme partie prenante d’un présent qui dessine les lignes du futur. Le temps de l’Afrique ce n’est pas demain, le temps de l’Afrique c’est maintenant », a déclaré le président de la République.
C’est ainsi que le Premier des Sénégalais a déploré le fait que les entreprises africaines peinent à accéder aux sources de financement. « Si nous voulons développer le partenariat public-privé, il faut que le privé international travaille avec le privé local. Le privé local n’arrive pas à lever sa part de financement. Les Etats n’ayant pas les capacités de les accompagner comme il se doit, parce que nous n’avons pas connu ces vagues de privatisations où le patrimoine a été donné à des privés. Ce qui a créé ces oligarchies ailleurs. Il nous faut travailler à accompagner le secteur privé sérieux qui est capable de valoriser cet investissement ».
«Je voudrais plaider pour le secteur privé africain… En Afrique, il y a des privés sérieux qui ont fait leurs preuves sans grands capitaux où alors qui accèdent aux financements du marché dans des conditions difficiles. Ils arrivent à faire des bénéfices et de petits empires financiers… Le secteur privé africain a besoin d’accéder à des ressources adoucies ».
« L’Afrique ne doit pas être simplement considérée comme un continent du futur. Il faut croire à un futur radieux dans un monde où il faut se battre chaque jour et avoir sa place au soleil. Je plaide pour que l’Afrique soit considérée comme partie prenante d’un présent qui dessine les lignes du futur. Le temps de l’Afrique ce n’est pas demain, le temps de l’Afrique c’est maintenant », a déclaré le président de la République.
C’est ainsi que le Premier des Sénégalais a déploré le fait que les entreprises africaines peinent à accéder aux sources de financement. « Si nous voulons développer le partenariat public-privé, il faut que le privé international travaille avec le privé local. Le privé local n’arrive pas à lever sa part de financement. Les Etats n’ayant pas les capacités de les accompagner comme il se doit, parce que nous n’avons pas connu ces vagues de privatisations où le patrimoine a été donné à des privés. Ce qui a créé ces oligarchies ailleurs. Il nous faut travailler à accompagner le secteur privé sérieux qui est capable de valoriser cet investissement ».
«Je voudrais plaider pour le secteur privé africain… En Afrique, il y a des privés sérieux qui ont fait leurs preuves sans grands capitaux où alors qui accèdent aux financements du marché dans des conditions difficiles. Ils arrivent à faire des bénéfices et de petits empires financiers… Le secteur privé africain a besoin d’accéder à des ressources adoucies ».
Autres articles
-
Saly / Agriculture : "Relever le défi du chômage des jeunes qui devient progressivement une menace pour la sécurité dans la région " (Caroline Makamto Sobgui, Expert)
-
Transport irrégulier à Guédiawaye : chauffeurs Clando et FDS ne parlent plus le même langage.
-
Gendarmerie nationale : Le Général de Division Martin FAYE remplace le Général Moussa Fall
-
Récit d'une ascension inouïe : "Bassirou Diomaye Faye : De la prison au palais présidentiel" (Alioune Ndiaye)
-
IBS / Journée de don de sang : “Il n'y pas de machine qui fabrique du sang. Ce n'est qu'à travers le don que l'on peut sauver des personnes malades” (Rouda El Sahili, DG)