Au moment où nous écrivons ces lignes, les frères Mboup sont toujours à la division des investigations criminelles pour confrontation. Il ressort de cette confrontation que Serigne Mboup qui avait porté plainte contre son frère Moussa Mboup, est aujourd’hui dans de sales draps pour avoir opéré un véritable bouleversement de tout ce qui a été convenu et écrit dans l’héritage de leur père.
Non seulement, il n’a jamais donné aux enfants leurs actions comme convenu, mais pire, il a modifié l’actionnariat du Groupe en réduisant considérablement les actions de chacun. Ainsi Moussa Mboup passe de 15 % à 1,5 %, Makhtar de 10 % à 01 %, Aminata dite Lota de 05 % à 0,5 % et lui Serigne, il s’adjuge plus et passe ainsi de 40 % à 65 %. Il chasse après tous ses frères et sœurs en confisquant leurs actions, en les réduisant à sa plus simple expression sur la base de faux procès-verbaux de Conseil d’administration. Sur ces faux PV, il signe à la place des actionnaires véritables et fait avaliser et légaliser lesdits documents par ses amis notaires qui n’ont pas pris le soin d’authentifier les signatures comme le veut la procédure, en l’espèce. Il a fait du Groupe CCBM, un groupe qui appartient à une seule personne : Serigne Mboup
Joint au téléphone, l’avocat de Moussa Mboup, Me Mbaye Jacques Ndiaye précise « qu’il s’agit d’un conflit entre les héritiers Serigne Mboup et Moussa Mboup, tous deux fils de feu Bara Mboup dont les biens successoraux ont exclusivement permis la création de CCBM, entreprise familiale qui doit être géré dans l’intérêt exclusif des héritiers. Le litige porte sur l’héritage et le partage des biens entre les enfants issus du même lit que Serigne Mboup à qui Moussa Mboup reproche les délits de recel successoral, faux et usage de faux et abus de biens sociaux dans le cadre du partage des biens et notamment dans la répartition du capital qui fonctionne dans une opacité sans précédent. La saisine des tribunaux est en cours pour l’application de la règle qui veut que l’égalité est l’âme du partage ». Pour Me Mbaye Jacques Ndiaye « les auditions en cours à la Dic ont trait à des faits étrangers au véritable litige qui oppose les héritiers dans la mesure où il s’agit d’une plainte fantaisiste dirigée contre Moussa Mboup pour tenter un camouflet »
Joint au téléphone, Serigne Mboup n’a ni nié ni confirmé l’information, nous demandant simplement si nous avions une copie de la plainte. Répondant par la négative, Serigne Mboup d’enchaîner en nous indiquant qu'en tant que journaliste, « nous avions le droit, si nous avons les bons éléments de publier notre article. »
« C’est une affaire de famille et actuellement c’est moi qui ai porté plainte. Maintenant je ne peux rien dire de plus, sauf si vous avez des éléments clairs. Sinon tout ce qu’ils disent est faux. « S'ils ont des dossiers, ils doivent plutôt aller devant la justice et non en parler à travers la presse», dira-t-il avant de prendre congé de nous...
Non seulement, il n’a jamais donné aux enfants leurs actions comme convenu, mais pire, il a modifié l’actionnariat du Groupe en réduisant considérablement les actions de chacun. Ainsi Moussa Mboup passe de 15 % à 1,5 %, Makhtar de 10 % à 01 %, Aminata dite Lota de 05 % à 0,5 % et lui Serigne, il s’adjuge plus et passe ainsi de 40 % à 65 %. Il chasse après tous ses frères et sœurs en confisquant leurs actions, en les réduisant à sa plus simple expression sur la base de faux procès-verbaux de Conseil d’administration. Sur ces faux PV, il signe à la place des actionnaires véritables et fait avaliser et légaliser lesdits documents par ses amis notaires qui n’ont pas pris le soin d’authentifier les signatures comme le veut la procédure, en l’espèce. Il a fait du Groupe CCBM, un groupe qui appartient à une seule personne : Serigne Mboup
Joint au téléphone, l’avocat de Moussa Mboup, Me Mbaye Jacques Ndiaye précise « qu’il s’agit d’un conflit entre les héritiers Serigne Mboup et Moussa Mboup, tous deux fils de feu Bara Mboup dont les biens successoraux ont exclusivement permis la création de CCBM, entreprise familiale qui doit être géré dans l’intérêt exclusif des héritiers. Le litige porte sur l’héritage et le partage des biens entre les enfants issus du même lit que Serigne Mboup à qui Moussa Mboup reproche les délits de recel successoral, faux et usage de faux et abus de biens sociaux dans le cadre du partage des biens et notamment dans la répartition du capital qui fonctionne dans une opacité sans précédent. La saisine des tribunaux est en cours pour l’application de la règle qui veut que l’égalité est l’âme du partage ». Pour Me Mbaye Jacques Ndiaye « les auditions en cours à la Dic ont trait à des faits étrangers au véritable litige qui oppose les héritiers dans la mesure où il s’agit d’une plainte fantaisiste dirigée contre Moussa Mboup pour tenter un camouflet »
Joint au téléphone, Serigne Mboup n’a ni nié ni confirmé l’information, nous demandant simplement si nous avions une copie de la plainte. Répondant par la négative, Serigne Mboup d’enchaîner en nous indiquant qu'en tant que journaliste, « nous avions le droit, si nous avons les bons éléments de publier notre article. »
« C’est une affaire de famille et actuellement c’est moi qui ai porté plainte. Maintenant je ne peux rien dire de plus, sauf si vous avez des éléments clairs. Sinon tout ce qu’ils disent est faux. « S'ils ont des dossiers, ils doivent plutôt aller devant la justice et non en parler à travers la presse», dira-t-il avant de prendre congé de nous...
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