Pape Seck, le Maire des HLM, suite au déguerpissement de l’avenue Cheikh Ahmadou Bamba et de l’information parue dans la presse concernant la destruction d'un lieu de culte, a voulu se prononcer pour éclairer la lanterne de ses concitoyens.
Selon lui, l'emplacement en question est plutôt un espace aménagé par une bonne dame où les gens prient occasionnellement et à côté duquel se déroulaient des activités parallèles comme le tatouage.
« On n’a pas détruit de moquée. C’est un espace arrangé par une dame, qui a voulu que les gens puissent prier là-bas. Mais c’était devenu une sorte de dépotoir, de lieu où l’on gardait des bagages. A côté on y faisait des tatouages, une moquée on en respecte les alentours. C’est un lieu que l'on utilise qu’à des heures qui arrangent la personne. Des personnes même dorment là-bas. Est-ce que cela est une mosquée ? » a manqué de s’étrangler le maire.
Selon lui, la mairie ne refuse pas de recaser les ambulants, « mais je recase ceux qui me respectent » dira-t-il. « Quand quelqu’un bafoue la loi, je n’ai pas le droit de l’héberger chez moi. S’ils sont prêts à discuter, je le suis. Avant de recaser, on doit permettre à nos populations de respirer. S’ils disent qu’ils ne bougeront pas de l’avenue, force restera à la loi. »
Le maire a nié toute concussion, demandant même aux journalistes de le dénoncer auprès des autorités si la moindre preuve était établie. « Certains vous disent qu’ils ont versé de l’argent, mais qu’ils vous disent dans quels comptes bancaires. Le compte se trouve chez le percepteur, s’ils l’ont viré dans mon compte, je suis passible de poursuites. »
Il a reconnu avoir eu des agents blessés lors du déguerpissement, sans pour autant en donner le nombre...
Selon lui, l'emplacement en question est plutôt un espace aménagé par une bonne dame où les gens prient occasionnellement et à côté duquel se déroulaient des activités parallèles comme le tatouage.
« On n’a pas détruit de moquée. C’est un espace arrangé par une dame, qui a voulu que les gens puissent prier là-bas. Mais c’était devenu une sorte de dépotoir, de lieu où l’on gardait des bagages. A côté on y faisait des tatouages, une moquée on en respecte les alentours. C’est un lieu que l'on utilise qu’à des heures qui arrangent la personne. Des personnes même dorment là-bas. Est-ce que cela est une mosquée ? » a manqué de s’étrangler le maire.
Selon lui, la mairie ne refuse pas de recaser les ambulants, « mais je recase ceux qui me respectent » dira-t-il. « Quand quelqu’un bafoue la loi, je n’ai pas le droit de l’héberger chez moi. S’ils sont prêts à discuter, je le suis. Avant de recaser, on doit permettre à nos populations de respirer. S’ils disent qu’ils ne bougeront pas de l’avenue, force restera à la loi. »
Le maire a nié toute concussion, demandant même aux journalistes de le dénoncer auprès des autorités si la moindre preuve était établie. « Certains vous disent qu’ils ont versé de l’argent, mais qu’ils vous disent dans quels comptes bancaires. Le compte se trouve chez le percepteur, s’ils l’ont viré dans mon compte, je suis passible de poursuites. »
Il a reconnu avoir eu des agents blessés lors du déguerpissement, sans pour autant en donner le nombre...
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