La presse n’est pas épargnée par les « Panama papers ». Nous ne parlons pas du journal argentin «La Nation» dont les journalistes qui enquêtaient sur les «Panama papers» sont tombés sur le nom de leur… boss. Plus près de nous, un autre journal, fréquemment cité par la presse sénégalaise, est éclaboussé par les «Panama papers».
Du moins, disons que le propriétaire du canard a été formellement identifié dans les fichiers dérobés au cabinet panaméen Mossack Fonseca. Selon les informations de Libération, le directeur de publication du journal «Les Afriques», le Marocain, Abdelrazzak Sitail apparaît dans les fichiers comme étant le bénéficiaire économique d’une société offshore. Pour rester avec le Maroc, sachez que deux sociétés très présentes au Sénégal sont citées d’une certaine manière dans les «Panama papers ». Ce n’est pas le groupe Soham qui nous démentira. A un de ces quatre...
Du moins, disons que le propriétaire du canard a été formellement identifié dans les fichiers dérobés au cabinet panaméen Mossack Fonseca. Selon les informations de Libération, le directeur de publication du journal «Les Afriques», le Marocain, Abdelrazzak Sitail apparaît dans les fichiers comme étant le bénéficiaire économique d’une société offshore. Pour rester avec le Maroc, sachez que deux sociétés très présentes au Sénégal sont citées d’une certaine manière dans les «Panama papers ». Ce n’est pas le groupe Soham qui nous démentira. A un de ces quatre...
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