L’information a échappé aux radars de la presse nationale. Pourtant, le mois passé, de la tribune de l’Assemblée générale des Nations Unies à New-York, le chef de l’Etat avait révélé l’option du Sénégal à engager la deuxième phase du Pudc (Programme d’urgence de développement communautaire) sans le PNUD (Programme des Nations Unies pour le développement).
Cette mesure s’explique par le fait que l’Etat a, en deux ans, acquis « l’efficacité » qu’il recherchait aux côtés du PNUD.
Ainsi, le gouvernement va, à partir de février 2018, gérer « souverainement » ce programme.
« C’est pourquoi le Pudc n’est plus géré par un secrétaire d’Etat. Il est dorénavant géré par un ministre plein, en l’occurrence Souleymane Jules Diop (qui a bénéficié d’une promotion à la faveur du dernier remaniement)», informe notre source.
Pour mémoire, la première phase du Pudc entamée en février 2016, dure deux ans et se termine en février 2018.
Cette mesure s’explique par le fait que l’Etat a, en deux ans, acquis « l’efficacité » qu’il recherchait aux côtés du PNUD.
Ainsi, le gouvernement va, à partir de février 2018, gérer « souverainement » ce programme.
« C’est pourquoi le Pudc n’est plus géré par un secrétaire d’Etat. Il est dorénavant géré par un ministre plein, en l’occurrence Souleymane Jules Diop (qui a bénéficié d’une promotion à la faveur du dernier remaniement)», informe notre source.
Pour mémoire, la première phase du Pudc entamée en février 2016, dure deux ans et se termine en février 2018.
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