Les observateurs ont peut-être remarqué que les photographes Sénégalais de la Présidence ont disparu comme par enchantement du champ d’action. A leur place, on a plutôt vu un Européen, Lionel Mandeix, ressortissant français.
Une petite enquête a permis de savoir que nos compatriotes ont été mis en quarantaine et remplacés provisoirement par cet «expert». Un expert, tout de même plutôt connu dans la planète People que dans une sphère aussi importante que celle de la Présidence. Motif de leur mise à l’écart : « piètre qualité des photos, absence de maîtrise de certains logiciels de traitement de photos, défaut de maîtrise de la fonction sous certains de ses aspects…» selon Mandeix .
Autrement dit, il a quand même fallu un peu moins de trois ans pour remarquer ce manque de professionnalisme et cette médiocrité des productions. Bref, la Présidence ou mieux la cellule de communication de la Présidence a jugé utile d’aller se trouver "une expertise occidentale". Encore un simple jeu de mots pour justifier une décision bien surprenante, même s’il est laissé croire que « la mise à l’écart est momentanée » et qu’il n’a jamais été question de licenciement.
Mais ce qui se semble perturber tout le monde dans cette affaire, c’est que les photographes Sénégalais sont envoyés à l’école sans disposer d’une autorisation d’accéder dans les salles de classe. Autrement dit, ils vont subir un séminaire de formation en restant à la maison ( ou sans jamais être sur le terrain) comme si la pédagogie par l’exemple ne parait nullement efficace pour la cellule de communication de la Présidence.
Ce qu’il faut retenir, nous dit-on, c'est que cette décision est la suite logique d’une gestion naturelle de stratégies internes, d’une démarche scientifique normale qui a abouti à la conclusion de chercher des compétences extérieures pour améliorer en qualité les photos du Chef de l’Etat.
Interpellée sur la question, cette cellule de communication que conduit Mamadou Thiam a mis en rapport Dakaractu avec le principal concerné …le photographe Lionel Mandeix. Ce dernier, dont l’épouse est Sénégalaise, se limitera à dire qu’il est juste venu accompagner et former les photographes Sénégalais dans le cadre d’un audit et diagnostic de la fonction de photographe. « Je suis un prestataire de services! » arguera Lionel. Détenteur d’un "badge visiteur" pendant que les photographes Sénégalais disposent de "badges d’agents", notre interlocuteur assure avec un capital expérience de plus de 25 ans étalés comme suit : 10 ans en France, 5 ans en Chine et 10 ans au Sénégal. (Dakaractu se réservant le droit de vérifier la véracité de telles informations.)
Mandeix de préciser qu’il est venu juste apporter sa touche personnelle, non sans rappeler qu’il gère sa propre entreprise, dont l’expertise est sollicitée par bien des sociétés locales, notamment celles évoluant dans la téléphonie mobile qu'il accompagne lors de leurs tournées...
Une petite enquête a permis de savoir que nos compatriotes ont été mis en quarantaine et remplacés provisoirement par cet «expert». Un expert, tout de même plutôt connu dans la planète People que dans une sphère aussi importante que celle de la Présidence. Motif de leur mise à l’écart : « piètre qualité des photos, absence de maîtrise de certains logiciels de traitement de photos, défaut de maîtrise de la fonction sous certains de ses aspects…» selon Mandeix .
Autrement dit, il a quand même fallu un peu moins de trois ans pour remarquer ce manque de professionnalisme et cette médiocrité des productions. Bref, la Présidence ou mieux la cellule de communication de la Présidence a jugé utile d’aller se trouver "une expertise occidentale". Encore un simple jeu de mots pour justifier une décision bien surprenante, même s’il est laissé croire que « la mise à l’écart est momentanée » et qu’il n’a jamais été question de licenciement.
Mais ce qui se semble perturber tout le monde dans cette affaire, c’est que les photographes Sénégalais sont envoyés à l’école sans disposer d’une autorisation d’accéder dans les salles de classe. Autrement dit, ils vont subir un séminaire de formation en restant à la maison ( ou sans jamais être sur le terrain) comme si la pédagogie par l’exemple ne parait nullement efficace pour la cellule de communication de la Présidence.
Ce qu’il faut retenir, nous dit-on, c'est que cette décision est la suite logique d’une gestion naturelle de stratégies internes, d’une démarche scientifique normale qui a abouti à la conclusion de chercher des compétences extérieures pour améliorer en qualité les photos du Chef de l’Etat.
Interpellée sur la question, cette cellule de communication que conduit Mamadou Thiam a mis en rapport Dakaractu avec le principal concerné …le photographe Lionel Mandeix. Ce dernier, dont l’épouse est Sénégalaise, se limitera à dire qu’il est juste venu accompagner et former les photographes Sénégalais dans le cadre d’un audit et diagnostic de la fonction de photographe. « Je suis un prestataire de services! » arguera Lionel. Détenteur d’un "badge visiteur" pendant que les photographes Sénégalais disposent de "badges d’agents", notre interlocuteur assure avec un capital expérience de plus de 25 ans étalés comme suit : 10 ans en France, 5 ans en Chine et 10 ans au Sénégal. (Dakaractu se réservant le droit de vérifier la véracité de telles informations.)
Mandeix de préciser qu’il est venu juste apporter sa touche personnelle, non sans rappeler qu’il gère sa propre entreprise, dont l’expertise est sollicitée par bien des sociétés locales, notamment celles évoluant dans la téléphonie mobile qu'il accompagne lors de leurs tournées...
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