Constatant un changement morphologique sur sa fille, A. Diédhiou a décidé d’en parler à ses amies sages-femmes. Ces dernières l’ont conseillée d’aller chez un médecin qui a finalement attesté que la jeune fille A. Marena est belle et bien enceinte. Soumise à un interrogatoire, celle-ci a avoué être violée à maintes reprises par le sieur A. Kane. Le lendemain A. Diédhiou s’est rendue à la police de Thiaroye pour ester en justice.
Interpellé par les policiers sur le déroulement des faits, le prévenu a tout bonnement nié avoir entrepris des rapports sexuels avec la jeune de fille A. Marena. Par ailleurs, il déclare aux policiers qu’il a été appréhendé par la tante de la fille qui lui a signifié d’être l’auteur du viol suivi de grossesse commis sur sa fille.
Attrait à la barre, le mis en cause persiste dans ses dénégations. Ainsi, dit-il : « Je ne reconnais pas les faits qui me sont reprochés. Je suis vendeur de lait caillé, tout le quartier me connait. Je n'ai jamais eu de problèmes avec qui que ce soit. Je connais la petite car elle fait partie de mes clientes ». Le mis en cause a fait court pour répondre aux questions du président. Mais, la jeune fille A. Marena réfute ses déclarations et revient sur les faits. «Ce n’est pas vrai tout ce qu’il raconte ! Ma tante m’envoie très souvent acheter du lait caillé chez A. Kane. Et à chaque fois que je lui tendais l’argent, il en profitait pour forcer à entrer dans sa chambre. Il m’a violée à maintes reprises », raconte-t-elle en pleurs. Malgré tout le prévenu reste constant sur ses dénégations jusqu’à se confier. « Je l’ai dit aux enquêteurs et je le répète ici. Je ne peux pas être l’auteur de son viol pour la simple raison que je suis impuissant. D’ailleurs même cela fait 2 ans que je traite cette maladie, sans succès. Je ne l’ai jamais touchée », ajoute-t-il.
Alors que victime avait déclaré avoir être âgée de 14 ans, les avocats de la défense estiment qu’il y’a une incohérence. Selon ces derniers, un certificat de naissance a été fourni par sa tante. Et sur l’acte d’état civil, il est indiqué que la jeune fille est âgée de 10 ans au lieu de 14 ans qu’elle a déclaré tantôt. Donc, pour la défense, le doute se persiste quant à la déclaration d’A. Marena. Dans son réquisitoire, le représentant du ministère public a demandé la disqualification des faits de viol commis sur une mineure de 13 ans du fait de l’acte d’état civil soumis. Mais pour lui, le viol sur une mineure est établi. Les faits de pédophilie et de détournement de mineure sont aussi constants. Et par conséquent, il a requis 2 ans de prison ferme. Les avocats de la défense ne partagent pas le réquisitoire du procureur. Ils se basent sur le fait que leur client ait déclaré qu’il est impuissant. Ils plaident la relaxe de leur client au bénéfice du doute. L’affaire est mise en délibéré au 10 mai prochain.
Interpellé par les policiers sur le déroulement des faits, le prévenu a tout bonnement nié avoir entrepris des rapports sexuels avec la jeune de fille A. Marena. Par ailleurs, il déclare aux policiers qu’il a été appréhendé par la tante de la fille qui lui a signifié d’être l’auteur du viol suivi de grossesse commis sur sa fille.
Attrait à la barre, le mis en cause persiste dans ses dénégations. Ainsi, dit-il : « Je ne reconnais pas les faits qui me sont reprochés. Je suis vendeur de lait caillé, tout le quartier me connait. Je n'ai jamais eu de problèmes avec qui que ce soit. Je connais la petite car elle fait partie de mes clientes ». Le mis en cause a fait court pour répondre aux questions du président. Mais, la jeune fille A. Marena réfute ses déclarations et revient sur les faits. «Ce n’est pas vrai tout ce qu’il raconte ! Ma tante m’envoie très souvent acheter du lait caillé chez A. Kane. Et à chaque fois que je lui tendais l’argent, il en profitait pour forcer à entrer dans sa chambre. Il m’a violée à maintes reprises », raconte-t-elle en pleurs. Malgré tout le prévenu reste constant sur ses dénégations jusqu’à se confier. « Je l’ai dit aux enquêteurs et je le répète ici. Je ne peux pas être l’auteur de son viol pour la simple raison que je suis impuissant. D’ailleurs même cela fait 2 ans que je traite cette maladie, sans succès. Je ne l’ai jamais touchée », ajoute-t-il.
Alors que victime avait déclaré avoir être âgée de 14 ans, les avocats de la défense estiment qu’il y’a une incohérence. Selon ces derniers, un certificat de naissance a été fourni par sa tante. Et sur l’acte d’état civil, il est indiqué que la jeune fille est âgée de 10 ans au lieu de 14 ans qu’elle a déclaré tantôt. Donc, pour la défense, le doute se persiste quant à la déclaration d’A. Marena. Dans son réquisitoire, le représentant du ministère public a demandé la disqualification des faits de viol commis sur une mineure de 13 ans du fait de l’acte d’état civil soumis. Mais pour lui, le viol sur une mineure est établi. Les faits de pédophilie et de détournement de mineure sont aussi constants. Et par conséquent, il a requis 2 ans de prison ferme. Les avocats de la défense ne partagent pas le réquisitoire du procureur. Ils se basent sur le fait que leur client ait déclaré qu’il est impuissant. Ils plaident la relaxe de leur client au bénéfice du doute. L’affaire est mise en délibéré au 10 mai prochain.
Autres articles
-
L'Afrique, enfin prête à organiser les Jeux Olympiques ? L'Égypte entrevoit de poser sa candidature pour 2036
-
Boulaye Dia, en conflit avec son club : « Je n'ai jamais refusé de jouer ! »
-
FC Barcelone : Le défenseur Mikayil Faye, en passe de prolonger son contrat et de rejoindre l’équipe A !
-
Ministère des Sports : Conflit explosif entre le ministre Khady Diène Gaye et une responsable contestataire !
-
Sommet de la jeunesse des Nations Unies 2024 : Sadio Mané encourage l’utilisation de l'IA pour le développement