PDS : le début de l’éclatement (Par Cheikh Yérim Seck).


PDS : le début de l’éclatement (Par Cheikh Yérim Seck).
DAKARACTU.COM - Le Parti démocratique sénégalais (PDS) va mourir avec l’entreprise politique de celui qui l’a créé en 1974. Cette formation ne survivra pas à Abdoulaye Wade qui l’incarne jusqu’à la caricature. Seule « constante » du parti, entouré de « variables » dont il use et abuse, les jette s’il n’en a plus besoin, Wade a réussi à couper toutes les têtes qui dépassent pour imposer une autorité exempte de contestation. Mais aussi à diviser son camp en factions antagoniques qui n’ont que lui comme trait d’union.
Au crépuscule de sa vie politique, alors que la force et le pouvoir le quittent, Abdoulaye Wade commence à lâcher peu à peu le gouvernail du PDS qu’il tenait d’une main de fer. Signe des temps, la simple nomination au poste de ministre de l’Action sociale et de la Solidarité de sa rivale politique Aminata Lô a poussé Daour Niang Ndiaye, député et président de commission à l’Assemblée nationale, à critiquer ouvertement la décision du « frère secrétaire général » et à suspendre son activité au sein du parti.
Pire, l’héritage a commencé à être liquidé alors que le pater familias n’a pas encore rendu l’âme. Le 24 août, à l’occasion de l’assemblée générale de « Rewmi », Omar Sarr a déclaré que des ministres et députés du PDS vont le quitter avec armes et bagages pour soutenir la candidature d’Idrissa Seck, un dissident renvoyé du parti pour délit de contestation de la recevabilité d’une candidature à un troisième mandat d’Abdoulaye Wade !
Omar Sarr annonce un « toxxu » (« déménagement », en wolof) de la maison du père vers le nouvel antre du fils d’emprunt. Ce mouvement, qui n’a rien de spontané, est le fruit de tractations menées en coulisses depuis au moins sept mois. Dakaractu est en mesure de révéler que quatorze députés, trois sénateurs et diverses personnalités du premier cercle du pouvoir sont concernés. Un ancien ministre, un ministre d’Etat, deux personnalités détenant des responsabilités dans l’appareil du PDS ont donné leur parole pour rejoindre « Rewmi ». D’autres (un membre du cabinet présidentiel, un ministre d’Etat et deux ministres) sont dans des discussions avancées qui les rapprochent chaque jour davantage de la porte de sortie du parti de Wade.
Idrissa Seck, qui se considère comme étant l’un des deux actionnaires majoritaires du PDS, manœuvre pour prendre sa part en perspective de l’échéance électorale de février 2012. Il n’est pas le seul.
Un membre éminent du cabinet présidentiel, un ministre d’Etat doté d’une solide base politique et un ministre sont aujourd’hui prêts à rejoindre Macky Sall avec qui ils ont tout calé. Pour mettre les formes dans leur départ du PDS, ils attendent un alibi qui peut être un des remous en vue au sein du parti. Ou l’entêtement de Wade à maintenir sa candidature en dépit des contraintes liées à son âge et des arguments juridiques qui s’y opposent.
Abdoulaye Wade est-il au courant de tout ce qui se trame et qui menace de faire imploser sa famille politique ? De source proche de son entourage, le chef de l’Etat est informé de toutes les manœuvres depuis plusieurs semaines mais laisse faire pour pouvoir « prendre » tous ceux qui y sont impliqués.
Sa riposte sera à la mesure de ce qu’il prend au mieux pour une trahison au pire pour un affront. La vendetta judiciaire étant le jeu favori présidentiel, ceux qui ont géré le moindre centime public en auront pour leurs frais s’ils sortent du bois. Vont-ils le faire tout de suite ou à un moment où il ne restera point de marge judiciaire à Wade compte tenu de la proximité de l’échéance électorale de février 2012 ?
Une seule certitude : il y a loin de la coupe aux lèvres, et nombre d’exodes annoncés par le passé ont produit des résultats décevants. Au plus fort de sa brouille avec Abdoulaye Wade, en 2004, Idrissa Seck, qui avait reçu des assurances de 37 députés, n’a pu compter que sur la fronde de 12 députés. Il est vrai que le contexte est différent. Et que l’âge avancé du capitaine ainsi que les obstacles juridiques au renouvellement de sa licence de navigation incitent davantage les passagers à débarquer pour échapper au naufrage.
Ceux qui restent à bord vont être soumis à de forts remous. Les fortes têtes qui se détestent comme Souleymane Ndéné Ndiaye et Mamadou Seck vont s’entre-déchirer. Les historiques vont se séparer des transhumants et autres opportunistes emmenés par la Génération du concret. Grandeur et décadence... Après la période du pouvoir triomphant, l’heure de l’éclatement a sonné au PDS. 
Vendredi 26 Août 2011



Du plus récent au plus ancien | Du plus ancien au plus récent

33.Posté par idy012 le 26/08/2011 12:28
Aux PINO de tout bord,

C''est faire preuve de malhonnêteté intellectuelle, de méchanceté et par-dessus tout, de défiance vis-à-vis de l''Autorité judiciaire de notre Cher Etat que de vouloir coûte que coûte entonner toujours la même trompette du genre : vol de milliards etc…
Ce débat, a été clos par les EMINENTS JUGES SENEGALAIS de la Haute Cour de Justice: le Président de la Haute Cour de Justice Monsieur Cheikh Tidiane Diakhaté assisté des Messieurs Bara Niang, Gallo Syr Diagne, Ousmane Kane, Souleymane Kane et Ababacar Ndao tous membres de la Commission.
Andeleen ak dal té am né TAL BOU YALLA TAL MEUNESSOU KO FAY KOUDOUL SOUNOU BOROM.
Le créateur ALLAH, pour nous croyants, de par sa Science Exclusive et de par son Pouvoir Discrétionnaire attribut à qui Il veut Ses Bienfaits et sa Grâce.
EN CES MOMENTS DE PURETE liés en ce mois béni de RAMADAN MOUBARAK, QU''ALLAH-LE-TOUT-PUISSANT,Distributeur de Bienfaits, accorde à notre Leader Idrissa SECK les moyens d''accèder à la magistrature suprême en nous y associant pour le bénéfice des TOUS.
Aminnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn YA ALLAH!

32.Posté par idy012 le 26/08/2011 12:20
Aux PINO de tout bord,

C'est faire preuve de malhonnêteté intellectuelle, de méchanceté et par-dessus tout, de défiance vis-à-vis de l'Autorité judiciaire de notre Cher Etat que de vouloir coûte que coûte entonner toujours la même trompette du genre : vol de milliards etc…
Ce débat, a été clos par les EMINENTS JUGES SENEGALAIS de la Haute Cour de Justice: le Président de la Haute Cour de Justice Monsieur Cheikh Tidiane Diakhaté assisté des Messieurs Bara Niang, Gallo Syr Diagne, Ousmane Kane, Souleymane Kane et Ababacar Ndao tous membres de la Commission.
Andeleen ak dal té am né TAL BOU YALLA TAL MEUNESSOU KO FAY KOUDOUL SOUNOU BOROM.
Le créateur ALLAH, pour nous croyants, de par sa Science Exclusive et de par son Pouvoir Discrétionnaire attribut à qui Il veut Ses Bienfaits et sa Grâce.
EN CES MOMENTS DE PURETE liés en ce mois béni de RAMADAN MOUBARAK, QU'ALLAH-LE-TOUT-PUISSANT,Distributeur de Bienfaits, accorde à notre Leader Idrissa SECK les moyens d'accèder à la magistrature suprême en nous y associant pour le bénéfice des TOUS.
Aminnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn YA ALLAH!


31.Posté par LePeuple le 26/08/2011 12:18
Seul Le Règne de Dieu Le Tout Puissant EST Éternel !

30.Posté par babs le 26/08/2011 12:12
Le Tokhou tant chanté n'aura pas pas lieu et n'aura jamais . Depuis 2004 on nous parle de ce vaste mouvement de déménagement qui tarde à se réaliser. Donc de grâce arrêtez de nous tympaniser avec votre fameux Tokhou

29.Posté par liliane le 26/08/2011 11:58
et pendant qu'on y est pourquoi ne pas annoncé le départ de Wade vers l'APR ou le Rewmi. Vraiment c'est un article ridicule attendez d'avoir des noms au lieu de verser dans l'intox

28.Posté par taywo le 26/08/2011 11:56
Pino je pense que tu as un probleme personnel avec le gars et tu te trompes de cible aussi.Enfin on te connais maintenant APERISTE,y'a mème pas photo entre les deux anciens PM .IDY est un garçon .attaquè de partout li n'est jamais aller demander l'intervention de feu alaji bara pour garder ses strampontins.

27.Posté par IDY012 le 26/08/2011 11:54
PINO,
C'est faire preuve de malhonnêteté intellectuelle, de méchanceté et par-dessus tout, de défiance vis-à-vis de l'Autorité judiciaire de notre Cher Etat que de vouloir coûte que coûte entonner toujours la même trompette du genre : vol de milliards etc… Et pour clore ce débat, je vous rafraîchis la mémoire en vous invitant à relire les EMINENTS JUGES SENEGALAIS de la Haute Cour de Justice:

AVIS D’ARRET RENDU D’abord dans l’avis d’arrêt rendu il est précisément écrit : «En exécution de l’article 177 du Code de procédure pénale, il est donné connaissance à Maître Boucounta Diallo Avocat à la Cour, Président du Collectif des avocats constitués pour le compte de Monsieur Idrissa Seck, inculpé de faux, d’usage de faux, de soustraction, de détournement et de recel de deniers publics, d’usurpation de titre, de manœuvres tendant à obtenir des sommes ou des avantages matériels indus et de prise illégale d’intérêts que» la Commission d’Instruction vient de rendre ce jour même un arrêt.: «Dit n’y avoir lieu à suivre davantage contre Monsieur Idrissa Seck des chefs d’inculpation résultant de la résolution de mise en accusation numéro 03/2005». Le Greffier en Chef, Maître Ababacar Ndao rédacteur de cet avis , conclue en demandant au Président du Collectif des Avocats de Défense, «d’en informer les membres» de ce pool d’avocats.

ARRET DE NON-LIEU C’est un document détaillé qui fait un large tour d’horizon sur l’affaire d’Idrissa Seck de 2005 à janvier 2006, mois de sa libération. Dans ledit arrêt la Commission d’Instruction prés de la Haute Cour de Justice, en sa séance du 4 mai 2009, à laquelle siégeaient Messieurs : Cheikh Tidiane Diakhaté, Président, Bara Niang, Galo Syr Diagne, Ousmane Kane et Souleymane Kane tous membres de cette commission a rendu l’arrêt dont la teneur est la suivante : «Vu la loi organique n°10-2002 du 22 février 2002 portant Loi organique sur la Haute Cour de Justice en ses articles 23,24 et 25 notamment, vu la résolution 03-2005 en date du 3 août 2005, vu la procédure suivie contre Monsieur Idrissa Seck, né le 9 août 1959 à Thiès, ancien Premier Ministre, inculpé de faux, usage de faux, soustraction, détournement, recel de deniers publics, d’usurpation de titre, de manœuvres tendant à obtenir des sommes ou des avantages matériels indus et de prise illégale d’intérêt, vu l’article 171 al 2 du code de procédure pénale, vu l’arrêt de non lieu partiel n° 4 du 07/02/2006, après en avoir délibéré conformément à la loi, considérant qu’il résulte de l’information que par une résolution n° 03/2005 portant mise en accusation devant la Haute Cour de Justice, l’Assemblée Nationale, se fondant notamment sur les rapports n° 2 et 14/2005 complétés par un rapport final de l’Inspection Générale d’Etat, retenait contre Monsieur Idrissa Seck comme infractions à la loi pénale dans l’exercice de ses fonctions de Premier Ministre, divers griefs articulés autour des faits» poursuit l’arrêt de la Commission. Dans le même document produit par la Haute Cour de Justice, il est indiqué que dans «le premier trimestre de l’année 2003, le Président de la République,pour promouvoir le développement des communes, dépourvues pour la plupart d’infrastructures, avait posé le principe de la rotation des festivités de la fête de l’indépendance du 4 avril entre les capitales régionales et Dakar». A cet effet, «une enveloppe de 15 milliards devait être prévue pour chaque commune organisatrice, somme qui devait être tirée des ressources nationales et faire l’objet d’une gestion transparente suivant les instructions du Président de la République». «Sur proposition de Monsieur Idrissa Seck, alors Premier Ministre, la première célébration était confiée à la commune de Thiès et une somme de 20 milliards Cfa était allouée exceptionnellement par le Président de la République pour les dépenses de cette commune dont le sieur Seck était en même temps le maire» poursuit l’arrêt. «Cette enveloppe fut cependant rapidement dépassée et l’Inspection Générale d’Etat (IGE) fut saisie par le Président de la République pour vérifier non seulement le volume des investissements réalisés dans la ville de Thiès dans le cadre de l’organisation de la fête de l’indépendance de 2004, mais aussi les conditions de passation des marchés et d’exécution des travaux» ajoute-elle. Par ailleurs, «le rapport de l’Ige conclut à un volume d’investissement de 46 milliards non autorisés par l’Assemblée nationale et ayant servi principalement à financer non pas la décision prise par le Président de la République, mais plutôt une matrice d’actions prioritaires et de projets spontanés élaborés par le sieur Seck pour sa commune» révèle le document de la Haute Cour de Justice. «D’après le rapport de l’IGE, ce programme a été financé à travers un détournement des objectifs du Programme Triennal d’Investissements Publics (PTIP) consistant à transférer aux chantiers de Thiès, par des décisions ministérielles irrégulières, des crédits initialement votés par l’Assemblée Nationale pour le financement d’autres programmes destinés à d’autres localités du Sénégal» note l’arrêt qui ajoute que «ces travaux étaient exécutés à la suite de marchés conclus par entente directe, en violation des dispositions du code des marchés publics». En plus, poursuit l’arrêt, «le rapport a noté également la pratique généralisée de surfacturations élevées de la part des entreprises adjudicataires».

«Le 3 août 2005, l’Assemblée nationale adoptait une résolution portant mise en accusation de Monsieur Idrissa Seck pour la gestion du financement des chantiers de Thiès et pour des détournement commis dans la gestion des fonds secrets alloués au Président de la République. Ainsi, le 10 août 2005, le sieur Idrissa Seck fut inculpé, sur la base des incriminations tirées de la résolution précitée, des infractions de faux, usage de faux, soustraction, détournements et recel de deniers publics, usurpation de titre, manœuvres tendant à obtenir des services ou des avantages matériels indus, prise illégale d’intérêt, faits prévus et punis par les articles 132, 135, 136, 152, 153, 157, 163 bis, 226, 430, 45, 46 du code pénal (CP) 140 du code de procédure pénale (CPP)» rappelle l’arrêt. «Considérant que sur la gestion des fonds secrets, l’inculpé a déjà bénéficié d’un arrêt de non lieu en date du 7/02/2006 pour les faits d’usurpation de titre et de détournement de derniers publics» précise la Haute Cour de Justice. ENRICHISSEMENT ILLICITE

Sur l’infraction d’enrichissement illicite (article 163 bis CP). «Considérant que le sieur Idrissa Seck n’a pas fait l’objet d’une inculpation pour enrichissement illicite. Qu’en effet, cette infraction n’a pas fait l’objet d’une incrimination spécifique dans la résolution de renvoi de l’inculpé, seule la disposition qui la prévoit et la sanctionne ayant été visée. Que pourtant l’article 17 de la loi organique sur la Haute Cour de Justice prévoit l’énoncé sommaire des faits reprochés à la personne poursuivie. Que de surcroît et de façon décisive, l’infraction requiert une mise en demeure de la personne soupçonnée afin qu’elle justifie l’origine de ses biens conformément aux dispositions de l’article 163 bis CP. Qu’ainsi la mise en demeure est un élément constitutif de l’infraction dont l’absence a rendu l’inculpation du sieur Seck de ce chef impossible» argue l’arrêt. SUR LA COMPLICITE

«Considérant que, comme pour le délit d’enrichissement illicite, l’inculpé n’a pas été poursuivi pour complicité, la simple citation des articles 45 et 46 CP, en l’absence d’une incrimination précise de la résolution de renvoi, n’étant pas suffisante pour conduire à son inculpation » note l’arrêt. SUR LES 7 DELITS

Sur le faux, l’usage de faux, la soustraction, le détournement et le recel de deniers publics, les manœuvres tendant à obtenir des avantages matériels indus, la prise illégale d’intérêt. «Considérant que l’inculpé a toujours nié avec véhémence les faits qui lui sont reprochés, son niveau d’implication dans les chantiers de Thiès étant exclusivement, à ses dires, celui de Premier Ministre chargé de recevoir la volonté et des décisions du Président de la République et de les faire exécuter par son Gouvernement. Que d’après ses différentes déclarations, il n’est jamais intervenu dans la passation des marchés dont le montant total était de 40 milliards, mais les a simplement approuvés en vertu d’une prérogative dont il était investi de par ses fonctions et qu’il avait par la suite transmise au ministre des Finances. Que le Ministre de l’Economie et des Finances, celui du Budget et le Président de la Commission nationale des contrats administratifs (CNCA) entendus, ont tous reconnu que certains travaux avaient été effectués sans couverture budgétaire préalable, mais sans relever la moindre irrégularité dans les paiements ou la passation des marchés. Que de même, les entreprises, au premier rang desquels Bara Tall, principal bénéficiaire des marchés, ont nié toute collusion avec le Sieur» précise la Haute Cour. Par ailleurs, le compte rendu de la Commission a évoqué les investigations commanditées par l’Etat sur les fonds secrets. LES COMMISSIONS ROGATOIRES

Des enquêtes «menées tant au plan nationale qu’international par la voie de commissions rogatoires, il est impossible d’asseoir des charges contre lui relativement aux surfacturations supposées» dit l’arrêt. «Considérant qu’au regard de l’arrêt de non lieu partiel du 7 février 2006 en faveur de l’inculpé et de tout ce qui précède, il échet de dire qu’il n’y a pas lieu à suivre davantage contre Idrissa Seck, ancien Premier Ministre, des chefs d’inculpation résultant de la résolution de mise en accusation N°3/2005 » note l’arrêt et « par ces motifs, poursuit la Haute Cour de Justice, dit n’y avoir lieu à suivre davantage contre Monsieur Idrissa Seck des chefs d’inculpation résultant de la résolution de mise en accusation numéro 03/2005. Ont signé cet arrêt : le Président de la Haute Cour de Justice Monsieur Cheikh Tidiane Diakhaté assisté des Messieurs Bara Niang, Gallo Syr Diagne, Ousmane Kane, Souleymane Kane et enfin Ababacar Ndao tous membres de la Commission.

Bref, cette affaire est derrière nous et ce ne sont pas vos affabulations qui nous empécheront d'avancer et de proposer un programme alternatif crédible et qui mettra fin aux souffrances multiples et indescriptibles des sénégalais. Par ailleurs, la réaffirmation de votre appartenance à la famille libérale ne souffre d'aucun doute, seulement, allusion est faite à la vraie entité Libérale et non à celle incarnée par Abdoulaye WADE et sa coterie.

En effet, par opposition à la gestion familiale et clanique aussi bien des affaires publiques que politiques, le Président Idrissa SECK propose la doctrine de ceux qui sont les vrais partisans des libertés individuelles dans un Etat, de la libre entreprise, de la liberté économique et de la tolérance à l'égard des opinions d'autrui mais aussi une réelle approche participation inclusive de toutes les forces vives de la nation sénégalaise.

Comme en 2007, nous y croyons toujours!

Mamadou Alassane WAGUE
Gestionnaire du blog idy012

26.Posté par weedi le 26/08/2011 11:48
Idy est le seul candidat qui a la poigne. c'est un homme de valeur et de caractere qu'il nous faut apres wade. il est le seul capable à mon avis de faire travailler tous les sénégalais et de faire respecter la loi. moi je vote pour lui incha Allah

25.Posté par Lazar le 26/08/2011 11:47
On aura beau parler, mais nul candidat n'arrive à la cheville de Idy, que Wade soit candidat ou non, Idy ira au 2nd tour et aura à coup sur le soutien de tous les autres partis politiques. Si Idy est investi par la famille libérale, il remportera l'election au 1er tour à plus de 55%. A coup sur, il sera 4ème président du Sénégal.
Aux jaloux et autres idiots qui squattent seneweb, je vous rappelle que '' LA BAVE DU CRAPAUD N'ATTEINT PAS LA BLANCHE COLOMBE''

24.Posté par Thelion1470 le 26/08/2011 11:28
"L'homme n'est pas bon dans sa bouche" disent mes parents Bambara;quant à mes parents Ouolof,ils disent:"mana mana dio guiss,dou moom". Idrissa Seck dou kénn,sinon affabulateur,tartuffe doublé d'un voleur qui a abusé de la confiance,en lui placée, par Wade.Badola xamoul ndiowaan et Idrissa est de la pire espéce d'arriviste opportuniste.Fall ,Taywo,Jombaniaw,nous vous savons vivre des maigres subsides que vous alloue Idrissa pour rester derrière vos moniteurs,pour chanter ses louanges et dénigrer ceux qui,à l'image de Pino,font des contributions édifiantes sur votre mentor voleur,hypocrite qu'est Idrissa.IDY président?dans vos rêves uniquement.

23.Posté par taywo le 26/08/2011 11:27
En tout cas je vais voter pour lui in cha ALLAH car j'aime les garçons qui n'ont seulement osent mais aussi savent dirent non aussi et puis c'est le plus charismatique vraiment y'a pas son 2.

22.Posté par discret le 26/08/2011 10:53
POURQOI JE CHOISI IDRISSA SECK !

Avec le valse des futurs candidats à l’élection présidentielle de 2012, plus fantaisistes les uns que les autres, il s’avère nécessaire de procéder à un choix éclairé tendant à mettre les tenants actuels du pouvoir hors d’état de nuire et de rebâtir notre cher Sénégal.
Pour ce faire, il est judicieux d’intégrer les avis unanimes des observateurs avertis de la vie politique qui s’accordent à souligner que la qualité d’un candidat à la Présidence de la République ne s’improvise pas.
Dans la même foulée, il est admis que :
 Pour avoir le profil adéquat, il faut une très bonne expérience politique et si possible d’avoir déjà été confronté au verdict des urnes ;
 Ceux qui comptent sur le plan politique ont tous été Ministre, Premier Ministre ou ont occupé de hautes responsabilités dans un Parti
 Une longue phase d’apprentissage est aussi nécessaire avant de présider aux destinées d’un pays
Par ailleurs, il a toujours été constaté qu’un nouveau venu sur la scène politique, quelque soit ses idées, ne fera pas plus de 1% des voix.
Après analyse de ces facteurs clés de succès, l’éventail de candidats susceptibles de nous conduire à une nouvelle alternance se réduit.
Par conviction, M. Idrissa SECK ancien PM et ancien numéro 2 du PDS dont il se réclame actionnaire majoritaire, avec son noble score lors des dernières échéances présidentielles me paraît avoir le meilleur profil.
Monsieur Idrissa SECK, de part son parcours, est un symbole, par ce qu’il porte, par son engagement, son indépendance d’esprit et sa personnalité.
Il incarne l’ouverture qui nous est nécessaire pour réconcilier le peuple Sénégalais dans son ensemble d’autant qu’il est à cheval entre le pouvoir et l’opposition.
Je n’ai jamais eu de contact direct avec lui, mais j’ai toujours perçu à travers ses prises de position un homme déterminé et doté d’une réelle capacité de leadership. Je trouve surtout en lui, un homme à l’écoute de ses concitoyens.
Ce que je retiens de son passage du gouvernement au-delà des chantiers de Thiès et de son discours de politique générale mémorable, est que le Sénégal allait de l’avant, et les dérives notées actuellement ne faisaient pas légion… à méditer.

21.Posté par Pino le 26/08/2011 10:34
Un article pertinent d''un sénégalais lambda sur IDy. La vérité rien que la vérité:

« Les seules ressources que mon passage au pouvoir a mises à ma disposition et qui renforcent mes moyens d’intervention politique et sociale sont les fonds politiques que le Président lui-même m’a discrétionnairement alloués.». «J’ai déjà indiqué le code qui préside, chez moi, à leur redistribution : mes proches, les orphelins, les indigents, les lourdement endettés, les voyageurs en détresse, ceux dont les cœurs sont à gagner pour notre cause…». L''aveu est de taille...

Il fallait qu’on en arrive là, pas au bout de l’énigme représentée par la fortune subite présumée de Monsieur Idrissa Seck, plutôt à un premier pas vers ce qui serait le moyen d’identification de l’origine des biens allégués de l’ancien Premier ministre. Acculé par une rumeur intenable, lui-même sans doute mal à l’aise sur cette question dans un environnement fait de misère et de pauvreté, il s’est jeté à l’eau. « Les seules ressources que mon passage au pouvoir a mises à ma disposition et qui renforcent mes moyens d’intervention politique et sociale sont les fonds politiques que le Président lui-même m’a discrétionnairement alloués.» Mais à la place de la purification attendue, ce sont des salissures qui ont émergé, accolées à l’image décevante que renvoie le candidat déclaré à l’exercice des charges suprêmes au Sénégal. C’est peut-être à son honneur de cracher publiquement ce qui se susurrait dans les grands-places, salons feutrés ou gargotes mal famées de Dakar. Mais lorsqu’il dit avoir puisé dans les fonds politiques (il n''existe aucun poste "fonds politiques" dans le budget sénégalais!), des montants d’ailleurs non déclarés, pour assouvir ses propres ambitions et peut-être garnir ses comptes bancaires, l’ancien chef du gouvernement descend bien bas dans l’échelle de la crédibilité. Professeur de morale religieuse et politique à ses grandes heures de communication, Idrissa Seck, incontestablement talentueux, habile, sachant ce qu’il veut, où il va, révèle où confirme une grande cupidité face à l’argent. Ce n’est pas trop rassurant, cette perte de sang-froid manifeste face aux espèces sonnantes et trébuchantes. Il confirme ainsi s’être rempli les poches à partir de la station de travail privilégiée dans laquelle sa proximité d’avec le président de la République lui a permis de s’installer.
Il le dit froidement, calmement, sans regret, comme si cela allait de soi ou comme si ne pas toucher à l’argent aurait été un acte de faiblesse de sa part. C’est cela le plus inquiétant, ne pas se rendre compte de ses propres turpitudes au risque de banaliser de grandes forfaitures. Un jour ou un autre. On devient brigand pilleur le plus normalement du monde. On n’en est pas peu fier. «J’ai déjà indiqué le code qui préside, chez moi, à leur redistribution : mes proches, les orphelins, les indigents, les lourdement endettés, les voyageurs en détresse, ceux dont les cœurs sont à gagner pour notre cause…».
C’est vrai, il faut être fort pour rester insensible à un pactole annuel d’environ 1,5 milliard de francs CFA à portée de doigts.

Seule L''association sénégalaise de défense des consommateurs, avec l''appui d''avocats, entend porter plainte contre Idrissa Seck pour detournement de deniers publics. Selon les membres de cette association, l''ancien Premier ministre Idrissa Seck a avoué avoir consciemment et librement effectué un détournement. Dans un communiqué, cette association dirigée par Me Massokhna Kane se réfère à la dernière sortie médiatique de M. Idrissa Seck durant laquelle l''ancien Premier ministre explique avoir utilisé « les fonds politiques de la Présidence pour s''enrichir personnellement ».
Cette association considère donc que « l''immense richesse de Idrissa Seck provient de ces fonds politiques et que M. Seck avoue consciemment et librement avoir commis un détournement de deniers publics »...

20.Posté par Pino le 26/08/2011 10:31
Idy s'est fait tout,seul laissé moi rire. Idy brillant intellectuel? quest ce qu'il a produit intellectuellement? Rien. Blabla bla rek et il ne parle que de lui. Sur son cursus il n'a qu'à produire ses diplômes et le débat sera clos. Il n'aurait pas eu de diplômes, ce n'était pas grave en soi mais comme il a le complexe du diplôme, il s'invente une vie.
sondages ne lui donnent rien du tout, on comprend la stratégie. Il n'a rien fais politiquement pour organiser son parti et comme l'échéance approche il joue sur la désinformation et coups médiatiques pour s'imposer à l'opinion. Le reveil sera brutal.

19.Posté par samba le 26/08/2011 10:28
idy est le gentlman des presidents . on doit tt faire pour l'amener au palais.............

18.Posté par samba le 26/08/2011 10:26
idriisa est le meilleur candidat en 2012/ nous allons voter pour lui

17.Posté par Rewmi Saintlouis le 26/08/2011 10:23
pino est un aigri .mais sache que IDY moy fallou inchallah ...nous allons tt faire pour l'installer en 2012

16.Posté par Pino le 26/08/2011 10:23
Je ne vais pas me taire car nous ne sommes pas dans votre parti ou la seule voix autorisée et celle d'Idy. Vous autres avez le choix entre vous taire ou chantez ses louanges. Idy est le meilleur menteur, pour avoir regarder les sénégalais dans les yeux et se prévaloir d'un CV qu'il n'a pas. L'un des caractéristique 1ere de la médiocrité c'est le complexe, le complexe du diplôme dans le cas d'Idy. La médiocrité et la bassesse c'est d'avoir enregistré à l'insu de son "père" des conversations dans un cadre privé afin de le faire chanter (c'est petit).

Comment voulez vous confier le pays à un homme qui a avoué avoir volé les deniers publics profitant d'un vide juridique sur la gestion des fonds politiques. Il a dit lui même
« Les seules ressources que mon passage au pouvoir a mises à ma disposition et qui renforcent mes moyens d’intervention politique et sociale sont les fonds politiques que le Président lui-même m’a discrétionnairement alloués.». «J’ai déjà indiqué le code qui préside, chez moi, à leur redistribution : mes proches, les orphelins, les indigents, les lourdement endettés, les voyageurs en détresse, ceux dont les cœurs sont à gagner pour notre cause…».

C'est du vol à l'état pur.
Dougnou bay un tartuffe, un voleur prendre les destinées pays.

15.Posté par NDEYE FATIM SEYE le 26/08/2011 10:17
en tout cas au Walo nous avons fait nos deubeuus le moindre signal d omar sarr on s en va et on quitte ce parti de merdre
omar sarr a existé avant l lalternance

14.Posté par ibc1 le 26/08/2011 10:11
Que de l'intox!!!!Histoire à faire dormir debout! dur, dur sera le réveil pour l'opposition et ses valets... dakarcatu.com en tête.

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