Où va Macky Sall ?

Par El Hadj Hamidou KASSE Conseiller spécial du Président de la République


Où va Macky Sall ?
 
Enquête a ouvert son édition du mercredi 8 août 2012 avec la question cruciale : « Mais où va Macky Sall ? ». Je propose de partager une réponse avec l’auteur de l’article, le talentueux journaliste Momar Dieng, et l’ensemble des lectrices et lecteurs, étant convaincu que le débat démocratique est plus que nécessaire pour le devenir de notre pays.
Je peux dire, d’emblée, que le dessein du Président Sall est de construire méthodiquement et sereinement un Sénégal où chaque citoyen bénéficie d’un Minimum social obligatoire (MISO) pour vivre décemment et dignement. Le parti-pris pour le bien-être des Sénégalais est manifeste dans cette vision du Sénégal à l’horizon des dix prochaines années. Plus, le bien-être de chaque Sénégalais est au cœur du projet Yoonu Yokkute qui postule sans ambages la finalité humaine du développement.
La source  de cette vision, ce ne sont pas les modes conceptuelles en vogue. La source, c’est le vécu quotidien des Sénégalais des villes et des campagnes, jeunes, femmes, personnes du troisième âge, ouvriers, paysans, intellectuels, cadres des secteurs privé et public, opérateurs économiques, investisseurs étrangers et partenaires au développement, sans emploi, émigrés, entre autres.  
En effet, le Président Sall a cumulé, entre 2009 et 2011, plus de soixante mille kilomètres au plus profond du pays et noué un contact permanent avec la diaspora. Il a rencontré environ trois millions de personnes directement à travers assemblées villageoises et de quartier, petites réunions, meetings, visites de proximité, audiences personnalisées. Il a recueilli les attentes des Sénégalais dans des centaines de fiches et capitalisé son expérience de gestion des affaires publiques. C’est sur la base de cette activité soutenue qu’il a établi fermement une telle perspective pour le Sénégal.
Sur ce chemin difficile mais à l’horizon prometteur, le Chef de l’Etat s’appuie sur trois leviers qui sont de nouveaux paradigmes: un nouvel ordre de priorités (1), la primauté de la patrie sur le parti (2) et une nouvelle gouvernance sobre, vertueuse et efficace (3).
La réponse à la question « Où va Macky Sall » s’éclaire ainsi d’une réponse à trois temps corrélatifs et solidaires que je propose de déplier en partant de l’expérience que nous vivons depuis quatre mois que Sall est au pouvoir.
Premier levier : Du Nouvel Ordre de Priorités (NOP)
Le Nouvel ordre de priorités a été formulé par le Président Sall au contact de toutes les couches de la population comme souligné ci-dessus. La santé, l’eau potable, les infrastructures routières à l’intérieur du pays, l’éducation, l’emploi et l’alimentation saine constituent, entre autres,  des préoccupations fixes des Sénégalais.
C’est à la lumière de ce levier de pensée et d’action qu’il faut lire les mesures volontaristes dès les premiers jours de la nouvelle alternance politique : accès à la santé pour tous (couverture maladie universelle dont les bases seront créées dès 2013), baisse des prix des denrées première  nécessité (option permanente), annonce de la baisse de la fiscalité sur les salaires (janvier 2013), hausse des pensions de retraite, appui au monde rural (semences, engrais, vivres de soudure, aliments de bétail), soutien aux familles démunies (bourse familiale à 250 000 ménages environ), reprise en main du processus de paix en Casamance avec une nouvelle approche, désengorgement des universités, pôles régionaux de formation professionnelle, etc...
La finalité humaine constitue le cœur de la stratégie de développement véritable proposée par Sall.
Il sied, pour réaliser ces objectifs, que l’économie sénégalaise soit à la fois ouverte (pour accueillir bénéfiquement les mutations et s’ajuster en permanence à la modernité), dynamique (pour prétendre à la compétitivité)  et durable (pour veiller sur les intérêts des générations d’aujourd’hui et de demain). Sa croissance doit être soutenue grâce à la maîtrise de plusieurs facteurs en matière de développement (formation, énergie, eau, population, terroirs, etc), à la mutation agricole (mécanisation, appui aux producteurs, recherche agricole finalisée…) et au développement des services et de l’industrie.
Aussi, le Ministère de l’Economie et des Finances doit retrouver ses « deux jambes » qui doivent supporter la marche de notre pays vers la prospérité : les finances et l’économie. En d’autres termes, autant il est essentiel de veiller aux équilibres financiers, autant il est impératif d’assumer la dimension économique de la manière la plus soutenue, notamment en tenant fermement le cap des investissements dans les secteurs prioritaires et de la stimulation de la croissance.
L’enjeu du NOP proposé par le Président Sall est de réhabiliter le citoyen dans la définition et le choix raisonné des priorités. Pendant longtemps, les Organisations non gouvernementales, et la société civile en général, ont insisté sur la nécessaire participation citoyenne dans l’élaboration et la mise en œuvre des politiques publiques. C’est un moyen pour réduire l’écart entre la vision stratégique de l’Etat et les urgences de la demande citoyenne. Il s’agit, en somme, de donner de nouveaux contours à l’action publique qui épouse les attentes, les aspirations et les inspirations de celles et ceux qui, en dernière analyse, constituent le centre de gravité de toute stratégie de développement véritable : les citoyens dans la diversité de leurs intérêts et de leurs rêves les plus intimes.
Voilà pourquoi le Président Sall prône la territorialisation des politiques publiques, approche qui renvoie à l’exigence de partir des besoins réellement exprimés par les terroirs à la base pour formuler des offres pertinentes de services publics. L’approche réconcilie l’Etat central (forcément général et impersonnel) et les collectivités locales (forcément plurielles et spécifiques). Elle défait la centralité de la capitale qui, depuis l’indépendance, a été le quasi-unique réceptacle de tous les progrès économiques et sociaux du pays. La territorialisation des politiques publiques est une nouvelle stratégie de redistribution des ressources, des rôles et responsabilités des différents acteurs. Elle intègre donc et illustre à souhait le Nouvel ordre de priorités qui rompt avec les pratiques népotiques, le parti-pris arbitraire et les intérêts claniques. D’où, en parfaite cohérence, le second principe de la primauté de la patrie sur le (s) parti (s).
Deuxième levier : De la primauté de la patrie sur le(s) parti (s)
Assumer un Nouvel ordre de priorités, c’est assumer le souci du pays dont les intérêts priment sur les logiques partisanes. C’est articuler l’action politique autour de l’essentiel, et l’essentiel, c’est le devenir de la communauté dans son ensemble et non un destin individuel.
Le 25 mars est, entre autres, une critique radicale de la politique centrée sur les intérêts de clan. C’est ainsi que s’éclaire l’option du Président Sall pour une vaste coalition des forces vives de la Nation dont Benno Bokk Yaakaar est, aujourd’hui, une expression admirable. Ce rassemblement politique n’est pas un choix de circonstance. Il résulte d’une conviction forte que la politique implique une très bonne part de partage ou, alors, elle est vouée aux jeux et enjeux entre acteurs uniquement mus par leurs intérêts particuliers.
Le Sénégal est, en effet, un pays en construction, confronté à des défis primaires : minimum social pour chaque citoyen, infrastructures de base, soins de santé, eau potable, déficit alimentaire, faible niveau d’industrialisation, gap scolaire, très lente évolution de l’agriculture vers la modernité… Sur une période plus ou moins longue, le pays devra faire face à ces gaps qui ont une forte dose d’historicité car étant historiquement datés. Jamais on n’entendra des candidats dans une élection aux Etats Unis, en Allemagne, au Japon, en France ou en Belgique aborder ce genre de questions sinon sous l’angle de la qualité. Dans tous ces pays, ces questions ont historiquement trouvé des solutions.
Ainsi, il est impératif de réaliser des consensus forts sur la base de convergences minimales assumées autour desquelles l'ensemble des sénégalais se retrouvent. Cette approche va au-delà des forces politiques. Elle interpelle également les forces sociales et la société civile.
Dans cette perspective, la politique ne peut plus être considérée uniquement comme la confrontation permanente ente majorité et minorité. Elle requiert, dans certaines circonstances, une concentration maximale sur des objectifs communs, des objectifs qui transcendent les clivages et surplombent les différences.
Il est donc impératif de tenir ferme sur la logique Benno Bokk Yaakaar, de ne pas céder à la tentation sectaire, de consolider l’alliance stratégique, de s’ouvrir à tous les souffles féconds, y compris aux bastions démocratiques de l’ancien parti au pouvoir qui ont participé à l’événement crucial du 25 mars 2012. Le Président Sall construit ainsi les bases d’une action collective cohérente et riche de la diversité de ses acteurs qui doivent apprendre à travailler ensemble, à identifier ensemble les convergences minimales et à bâtir ensemble les consensus nécessaires à la paix et la stabilité du pays engagé dans la voie du développement véritable.
Une telle option n’altère en rien l’autorité du Président de la République. Elu confortablement par 65.8% des Sénégalais, il a une légitimité incontestable et une base populaire solide pour exercer toutes ses prérogatives constitutionnelles, décider et impulser les réformes indispensables. Il reste ainsi le centre ultime de décision dont l’éthique est soutenue par un projet de gouvernance sobre, vertueuse et efficace.
Troisième Levier : De la gouvernance sobre, vertueuse et efficace
La rationalisation des structures de l’Etat par la suppression d’une soixantaine d’agences et de directions sous fond de mise en cohérence, la synergie des corps de contrôle de l’Etat, la réactivation de la Cour de répression de l’enrichissement illicite et plusieurs mécanismes prévus dans la prévention et la lutte contre la corruption inscrivent l’Etat dans une nouvelle trajectoire faite de sobriété, de vertu et d’efficacité.
La nouvelle gouvernance vise aussi, opportunément, à faire émerger un appareil administratif performant et efficace, soucieux de la qualité des services offerts aux usagers et apte à se hisser à la hauteur des appareils productifs pour le développement.
Une telle manière de considérer la gouvernance est inséparable de l’impératif de porter la démocratie au plus haut des normes standard qui consacrent pleinement les libertés collectives et individuelles, l’ancrage d’institutions fortes, la participation active des citoyens à la vie de leur pays.
Il est évident que la qualité de la gouvernance, dont la règle d’or est la transparence, induit des performances certaines dans la mise en œuvre des stratégies de développement. Elle rassure, en effet, les investisseurs nationaux comme étrangers, les partenaires au développement et les milieux financiers.
Dans cette perspective, l’Etat devient à la fois un régulateur, un stimulateur, un garant de l’équité et de l’égalité de tous devant la loi, un gardien vigilant du bien commun, un agent distributeur de justice, soucieux de la gestion rigoureuse des ressources publiques et sobre dans son fonctionnement. C’est le contraire même de l’Etat dispendieux, interventionniste à souhait, dominé par les logiques partisanes et incapable de prendre de la hauteur pour incarner l’intérêt général, l’unité de la nation et la cohésion de la société.
Pour conclure
Un Nouvel ordre de priorités, la primauté de la patrie sur le parti et le projet de nouvelle gouvernance : tel est le tracé de pensée et d’action du Président Sall. Adossé à ces trois leviers, le Sénégal  peut renforcer la reconnaissance internationale dont il bénéficie et, par conséquent, la légitimité de sa voix partout où se décide le devenir du monde. En somme, le Sénégal affirme davantage sa posture d’allié stratégique et de partenaire crédible dans la construction d’un espace sous-régional et international de paix  et de sécurité.
 
 
 
 
 
 
Dimanche 12 Août 2012
El Hadj Hamidou KASSE



Du plus récent au plus ancien | Du plus ancien au plus récent

22.Posté par CAP_Récupération des Biens Mal Acquis le 22/08/2012 12:37
Questions et réponses auxquelles s'adresse le Projet : Coalition de Conscience Citoyenne et Civique pour la Récupération des Biens Mal Acquis. (CAP_ Récupération des biens mal acquis).

La mal gouvernance dont l'enrichissement illicite, les détournements de deniers publics et les abus de biens sociaux a, chose incontestable et incontestée, un impact négatif sur le développement. La mal gouvernance freine le développement économique, réduit les services sociaux et opère des prélèvements sur les investissements destinés à l’infrastructure, aux institutions et aux services sociaux. En outre, elle favorise l’établissement d’un environnement antidémocratique caractérisé par l’incertitude, l’imprévisibilité, l’érosion des valeurs morales et le manque de respect pour les institutions constitutionnelles et l’autorité.

Fort de ce constat, des experts en matière de bonne gouvernance sont convaincus que les pauvres, premiers victimes de l'enrichissement illicite, du détournement des deniers publics et de l'abus des biens sociaux ont droit à la protection. A cet effet, les citoyens ont le devoir d’agir individuellement et collectivement, pour dénoncer cette pratique fort décriée et forcer les fautifs vers des voies menant pour une forme de bien faire la chose publique au bénéfice du peuple et à la satisfaction totale des bailleurs de fonds et partenaires au développement engagés dans la bonne gouvernance en luttant contre l'enrichissement illicite et ses dérivés.

Dans la dynamique de cette approche participative inclusive et à fort dose de citoyenneté dans la lutte contre les biens mal acquis au détriment du peuple, les populations doivent s'ériger en sentinelles pour exiger le recouvrement, le rapatriement des deniers publics placés dans les paradis fiscaux ou partout ailleurs.

Tel acte d'engagement citoyen responsable constitue le bien fondé et enveloppe la quintessence de la Coalition de Conscience Citoyenne et Civique pour la Récupération des Biens Mal Acquis (CAP_ Récupération des Biens Mal Acquis).

Repère :
« Mon action et celle du gouvernement s’inscrivent dans la mouvance d’une gouvernance vertueuse, sobre, intégrée et performante. Ce combat est incontournable, si nous voulons donner de l’espoir aux sénégalais(…).La transparence et l’obligation de rendre compte constituent un chantier de première importance.»
Source : Propos de S.E.M Macky Sall, Président de la République du Sénégal, publié dans le journal en ligne senenews.com.

Association Initiative et Action Citoyenne des Jeunes pour la Bonne Gouvernance au Sénégal (IACJBG)
Le comité de management
jeunesssebonnegouvernance@yahoo.fr

http://www.caprecuperationbiensmalacquis.0rg.fr/

21.Posté par maalik (maalik.savane@gmail.com) le 15/08/2012 02:03
ssayons, par les symboles, de "raccourcir " ce que le philosophe-communicateur a developpé :

Nouvel Ordre PRIORITE (1) : Cette cime coupée = > PR coupé du peuple i.e à (2) se
* * substitue le Parti= promesses non tenues! Alors vivement 2014 et 17
* * = > car (3) reste dans le discours politicien!
* *
* *
* *
* *
(2) PATRIE_____________________________________________ (3)
Si mis en avant (3) requis ---------------------------------------------------------- BONNE GOUV (3)
pour mise en oeuvre (1) --------------------------------------------------------- Ok si "Gérer ensemble" est appliqué = > (2) --------------------------------------------------------------------------------------------- est est vraiment avant le Parti!
--------------------------------------------------------------------------------------------- et donc (1) est mis en oeuvre sur "Yoonu
----------------------------------------------------------------------------------------------Yokkute" = > CREATION EMPLOIS !


Partez de l'angle qui vous convient : vous arriverez toujours à (1) qui sera VRAI (c'est l'Espoir ) et alors tant mieux), ou FAUX (on ne le souhaite ni pour nous ni pour le PR et ses alliés), alors on remet la musique car (3) sera faussé du fait que (2) a été oubliée au profit de ....

Du moins, ceci en est mon interprétation

LI CI KANAM RAWUL BEUT wala bok HA YEESSO KO LAAWOL = WAIT AND SEE!

Apprenons à nous écouter!

20.Posté par maalik (maalik.savane@gmail.com) le 15/08/2012 01:55
Essayons, par les symboles, de "raccourcir " ce que le philosophe-communicateur a developpé :

Nouvel Ordre PRIORITE (1) : Cette cime coupée = > PR coupé du peuple i.e à (2) se
* * substitue le Parti= promesses non , * * tenues! Alors vivement 2014 et 17
* * = > car (3) reste dans le discours politicien!
* *
* *
* *
* *
(2) PATRIE________________ BONNE GOUV (3) Ok si "Gérer ensemble" est appliqué = > (2) est
Si mis en avant (3) requis est vraiment avant le Parti!
pour mise en oeuvre (1) et donc (1) est mis en oeuvre sur "Yoonu
Yokkute" = > CREATION EMPLOIS !


Partez de l'angle qui vous convient : vous arriverez toujours à (1) qui sera VRAI (c'est l'Espoir ) et alors tant mieux), ou FAUX (on ne le souhaite ni pour nous ni pour le PR et ses alliés), alors on remet la musique car (3) sera faussé du fait que (2) a été oubliée au profit de ....

Du moins, ceci en est mon interprétation

LI CI KANAM RAWUL BEUT wala bok HA YEESSO KO LAAWOL = WAIT AND SEE!

Apprenons à nous écouter!


19.Posté par Hum le 14/08/2012 16:23
Ce que je constate c'est qu'il n'ya jamais eu autant de posts suite à un article. Qu'est ce que cela dénote.

18.Posté par Wonewonebé le 14/08/2012 14:43
En tout cas pour moi le signal fort serait de supprimer le SENAT. IL N'A AUCUNE UTILITE SINON BOUFER NOS MAIGRES RESSOURCES. ISH arréter de nous berner avec du très beau français. Cela ne suffit plus. Il faut poser des actions concrêtes !!!

17.Posté par kathia le 14/08/2012 04:24
alcoolo bi il faut meme pas l'écouter un grand compléxé

16.Posté par DiaPullo le 13/08/2012 10:53
Beaucoup de MOTS pour nos MAUX !

15.Posté par slipsakhmotouko le 13/08/2012 06:03
bof , les 250 véhicules pour les" applaudisseurs" c'est une rupture?pale copie du maître oui!

14.Posté par BENAWAAY le 13/08/2012 01:10
oui,mr kassé vient et avec brio de defricher le champs socio politique sous le regne de macky mais là n'est pas let ne sera pas le problème.
entre ce qui se fait et ce qui se dit ,se trouve le chemin des hommes politiques.
entre l'ambition et les pesants d'une societé comme la nôtre,servir le peuple est la seule voie.

où va macky? en tous cas,les jalons posés jusque là vont dans le bon sens.
et que pour les audits,on dirait que ça cloche quelque part ou pas assez de lits pour les futurs prisonniers.

où va macky?,il y a un bon gouvernement,une assemblée et un futur senat. va t-il servir le peuple?

13.Posté par madiodio le 13/08/2012 00:18
Quelqu'un a-t-il compris quelque chose à ce charabia ? Ce type est le roi de la langue de bois. Si vous voulez nous convaincre commencez par supprimer le sénat !

12.Posté par baba le 12/08/2012 23:54
C'est que Kasse est un adepte du verbe, mais il constatera que les écoles théoriques ont toutes mute dans le pragmatisme de l'action vécue et visible.C'est bien de se délecter de mots et de constructions sémantiques bien articulées ...mais on a faim et on veut du travail ,moins d'accidents sur les routes une éducation plus efficaces et moins populistes...etc etc... réponse par l'action ....on a trop explique le Senegal il s'agit de le changer.......

11.Posté par baba le 12/08/2012 23:53
C'est que Kasse est un adepte du verbe, mais il constatera qu'il les écoles théoriques ont toutes mute dans le pragmatisme de l'action vécue et visible.C'est bien de se délecter de mots et de constructions sémantiques bien articulées ...mais on a faim et on veut du travail ,moins d'accidents sur les routes une éducation plus efficaces et moins populistes...etc etc... réponse par l'action ....on trop explique le Senegal il s'agit de le changer.......

10.Posté par kheuch le 12/08/2012 23:20
Je trouve que le discours est bien structurée et renvoie à une volonté
Maintenant il est clair qu'entre al volonté et la réalité, il y a tout un chemin à parcourir

Je parle du domaine que le connais le mieux, le sport
Depuis l'installation de Sall, rien de concret n'est esquissé comme programme de développement sportif
Le Sport, c'est ce formidable machin qui va pourvoir des milliers d'emplois
pour peu qu'on sache ou on veut aller

9.Posté par Siweul le 12/08/2012 23:19
Parlez nous du SENAT et de sa suppression ,des millions envoyés à Touba, des pilleurs que vous protégez,des lobbyeurs que vous entretenez, Macky c'est un chef de bandit, vous faites partie de son groupe

8.Posté par OBJECTIF le 12/08/2012 23:15
DE AKIL AU DOCTEUR BASSIROU....JE ME POSE LA QUESTION DE SAVOIR SI VOUS N’ÊTES PAS ATTEINTS DE CÉCITÉ INTELLECTUELLE....??? A L'ANALYSE DE LA CONTRIBUTION DE MONSIEUR KASSE VOUS VOUS APERCEVEZ DANS VOTRE INTIME CONVICTION QUE LA TRAME QUI SOUTEND SES IDEES ALLIE COHÉRENCE, OBJECTIVITÉ ET RIGUEUR INTELLECTUELLE SUR TOUS LES ASPECTS ABORDES POUR RENDRE COMPTE DE LA VISION CLAIRE DE MONSIEUR LE PR MACKY SALL ET AINSI INDIQUER LA VOIE A SUIVRE VERS DES PERSPECTIVES RASSURANTES....SOIT VOUS ÊTES INTELLECTUELS DANS L'ACCEPTION PLEINE DU TERME ET DANS CE CAS FAITES PLUTOT DES CRITIQUES OBJECTIVES ET CONSTRUCTIVES, SOIT VOUS ÊTES DES MERCENAIRES DE L'ANCIEN RÉGIME PEUPLANT "L'ARMéE" DES PRÉDATEURS DU CLAN DES WADES ET AUTRES AIGRIS QUI EMPOISONNENT LE FORUM DES SITES EN LIGNE !!! ARRETEZ CE "TERRORISME" NE PROSPERERA PAS FACE CE PEUPLE SOUVERAIN DÉTERMINÉ A ACCOMPAGNER ET PROTÉGER SON SOBRE, VERTUEUX ET EFFICACE PRÉSIDENT MACKY SALL !!!

7.Posté par Dr Bassirou NIANG le 12/08/2012 22:21
Bonsoir grand!!
Avec tout le respect qui sied à votre rang et votre expertise, je me permettrai en tant que citoyen sénégalais de vous dire STOP. Arretez vos chorégraphies du verbe et de l'écrit. Ce que nous voyons depuis 4 mois c'est un partage éhonté du pouvoir entre copains et coquins. Une promotion de jeunes filles qui ne sont compétentes que dans la fourche caudine. Des parents du sine aux comportements perfides sont bombardés DG dans des entreprises qui regorges de compétences. STOP , le peuple n'est plus dupe et refuse que l'on diffère la satisfaction de leurs besoins. LE PEUPLE VAINCRA UN JOUR!!!

6.Posté par rama le 12/08/2012 21:03
BLA BLA ? ALIGNEMENT DE MOTS LES UNS APRES LES AUTRES . RIEN DE CONCRET .

5.Posté par Blabla le 12/08/2012 20:31
Du blabla communiste valable en tout lieu et en tout temps. Il suffit de changer le nom du pays et du Président. Vraiment pitié à ces saligauds de connards d'intellectuels klepto, pourvu qu'on ne touche pas a leurs privilèges.

4.Posté par hugo le 12/08/2012 20:21
Je n'ai absolument rien pigé de ce discours d'étudiant.
Il aurait fallu ne pas communiquer du tout pour éviter de faire des ampoules et faire douter les crédules.
En somme, Ce Garçon est vide et nul.

3.Posté par Discours le 12/08/2012 20:02
Ce n' est pas en philosophant qu on saura ou va Macky sall.Ce n est pas avec des discours creux qu on va construire ce senegal.Je suis de l apr mais quand on me dit que la patrie est au dessus du parti et parallelement on prend une etudiante qui n a pas encore termine ces etudes et a qui on confie une direction nationale je ne peux pas comprendre.

1 2


Dans la même rubrique :

AIDA CHERIE - 22/05/2015