Pour le porte-parole du gouvernement, Alain-Claude Bilie Bi Nzé, ce registre est un énième élément qui devrait mettre un terme aux allégations de ceux qui contestent les origines d'Ali Bongo, en particulier ses concurrents à la prochaine présidentielle.
« Je pense qu’avec ce registre, ceux qui voulaient encore continuer un débat qui n’a plus aucun sens, devraient se taire définitivement. Ali Bongo est le fils d'Omar Bongo Ondimba. Il l’a toujours affirmé, les preuves, elles existent et là aujourd’hui encore une fois, au-delà de ce que la France a apporté comme éléments, au-delà de ce que Brazzaville a apporté comme éléments, nous avons maintenant un registre paroissial. Donc ceux qui continueront à le contester n’auront qu’à s’en prendre au Vatican. L’authenticité de ce registre ne peut faire aucun doute. Le nom d’Ali Bongo n’est pas le seul nom sur ce registre, et il y a des milliers de noms avant et des milliers de noms après, et tout est numéroté. Donc les numéros se suivent parfaitement, il n’y a aucun doute possible. »
Une polémique qui n'en finit plus
Au contraire, le journaliste Pierre Péan, auteur de Nouvelles affaires africaines : mensonges et pillages au Gabon, dans lequel il soutient qu'Ali Bongo serait un orphelin biafrais adopté par Omar Bongo, remet en cause l'authenticité de ce registre. Et pas seulement à cause du fait que le nom Bongo soit orthographié avec un M initial « Mbongo ».
« Je n’accorde aucune crédibilité à ce registre. On fait baptiser en même temps Alain qui est devenu Ali, et Albertine Amissa Bongo en 1961. Or Albertine Amissa Bongo est née en 1964. Il suffit d’aller à la fois dans les sites officiels sur internet pour voir qu’elle est née en 1964, mais dans son acte de décès officiel, elle est aussi née en 1964. C’est dans la lignée de tous les faux actes qui sont produits depuis 2009 par Ali Bongo. S’il est véritablement ce qu’il dit, qu’il fasse un test ADN. »
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« Je pense qu’avec ce registre, ceux qui voulaient encore continuer un débat qui n’a plus aucun sens, devraient se taire définitivement. Ali Bongo est le fils d'Omar Bongo Ondimba. Il l’a toujours affirmé, les preuves, elles existent et là aujourd’hui encore une fois, au-delà de ce que la France a apporté comme éléments, au-delà de ce que Brazzaville a apporté comme éléments, nous avons maintenant un registre paroissial. Donc ceux qui continueront à le contester n’auront qu’à s’en prendre au Vatican. L’authenticité de ce registre ne peut faire aucun doute. Le nom d’Ali Bongo n’est pas le seul nom sur ce registre, et il y a des milliers de noms avant et des milliers de noms après, et tout est numéroté. Donc les numéros se suivent parfaitement, il n’y a aucun doute possible. »
Une polémique qui n'en finit plus
Au contraire, le journaliste Pierre Péan, auteur de Nouvelles affaires africaines : mensonges et pillages au Gabon, dans lequel il soutient qu'Ali Bongo serait un orphelin biafrais adopté par Omar Bongo, remet en cause l'authenticité de ce registre. Et pas seulement à cause du fait que le nom Bongo soit orthographié avec un M initial « Mbongo ».
« Je n’accorde aucune crédibilité à ce registre. On fait baptiser en même temps Alain qui est devenu Ali, et Albertine Amissa Bongo en 1961. Or Albertine Amissa Bongo est née en 1964. Il suffit d’aller à la fois dans les sites officiels sur internet pour voir qu’elle est née en 1964, mais dans son acte de décès officiel, elle est aussi née en 1964. C’est dans la lignée de tous les faux actes qui sont produits depuis 2009 par Ali Bongo. S’il est véritablement ce qu’il dit, qu’il fasse un test ADN. »
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