DAKARACTU.COM Le fait à la fois insolite et pathétique a failli échapper à nos radars, qui adorent se mêler de choses qui ne les regardent pas.
Figurez-vous que l'ex administratrice du FPE (rebaptisée BNDE) vient récemment de perdre un de ses petits frères. Ce dernier répondant au patronyme de Boubacar Guèye a donc rendu l'âme le jeudi dernier. Et sur instruction venant du sommet de l'Etat, nous tenons de bonnes sources que pour "une question de bon sens", Ndèye Khady Guèye a eu la permission de retourner, brièvement, au domicile familial sis à Ouakam aux fins de partager le deuil avec les siens. C'était le vendredi dernier.
Il fallait voir l'émotion lorsqu'elle a débarqué, avec une escorte discrète de matons en civil. Certains, particulièrement ses proches, peinés, n'ont pu retenir leurs larmes. Et d'aucuns la serraient fort contre eux, d'autres, poussant des cris stridents, sanglotaient comme ce n'est pas permis.
Mais, l'émotion atteindra son paroxysme lorsque Ndèye Khady devait quitter pour rejoindre la maison d'arrêt pour femmes sise à Liberté 6.
Tout simplement pathétique ! Mais comme disait l'autre: le destin est parfois cruel !
Figurez-vous que l'ex administratrice du FPE (rebaptisée BNDE) vient récemment de perdre un de ses petits frères. Ce dernier répondant au patronyme de Boubacar Guèye a donc rendu l'âme le jeudi dernier. Et sur instruction venant du sommet de l'Etat, nous tenons de bonnes sources que pour "une question de bon sens", Ndèye Khady Guèye a eu la permission de retourner, brièvement, au domicile familial sis à Ouakam aux fins de partager le deuil avec les siens. C'était le vendredi dernier.
Il fallait voir l'émotion lorsqu'elle a débarqué, avec une escorte discrète de matons en civil. Certains, particulièrement ses proches, peinés, n'ont pu retenir leurs larmes. Et d'aucuns la serraient fort contre eux, d'autres, poussant des cris stridents, sanglotaient comme ce n'est pas permis.
Mais, l'émotion atteindra son paroxysme lorsque Ndèye Khady devait quitter pour rejoindre la maison d'arrêt pour femmes sise à Liberté 6.
Tout simplement pathétique ! Mais comme disait l'autre: le destin est parfois cruel !
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