Bien qu’ils soient théoriquement libres du fait du non-lieu que leur a accordé le doyen des juges d’instruction, les policiers Tombong Oualy et Saliou Ndao sont toujours en prison. Ils y sont au même titre que leur collègue et coïnculpé, Mouhamed Boughaleb, renvoyé en jugement pour le meurtre de l’étudiant Bassirou.
Cette situation plonge toujours les proches des prévenus dans l’expectative. Car, Tombong Oualy et Saliou Ndao sont maintenus en prison par le procureur qui peut faire appel. Le Parquet pour qui Tombong Oualy est le suspect et non Boughaleb, a un délai de six jours francs qui commence à partir de la date de notification de l’ordonnance du juge (le 20 août passé), pour saisir la Chambre d’accusation. Jusqu’à hier, il n’a pas introduit de recours. Mais si tel est le cas, les deux inculpés blanchis vont rester en prison.
Cependant, des sources proches du dossier ne veulent pas trop croire à cette hypothèse du Parquet qui pousserait le président de la République à faire du « wax waxeet ». En fait, en cas de saisine de la Chambre d’accusation, le procès ne pourrait pas se tenir au mois d’octobre comme promis par le Chef de l’Etat. Car, le dossier pourrait même atterrir en cassation si l’une des parties n’est pas satisfaite. D’ailleurs les parents de Mouhamed Boukhaled font face à la presse aujourd’hui. C’est pour réagir à l’ordonnance de renvoi en jugement devant la Chambre criminelle que le juge a délivrée contre leur fils. Si l’ordonnance du juge est suivie, le policier Boukhaled devra répondre de la mort de l’étudiant Bassirou Faye, tué le 14 août 2014, lors d’échauffourées entre étudiants et forces de l’ordre dans le campus social.
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Cette situation plonge toujours les proches des prévenus dans l’expectative. Car, Tombong Oualy et Saliou Ndao sont maintenus en prison par le procureur qui peut faire appel. Le Parquet pour qui Tombong Oualy est le suspect et non Boughaleb, a un délai de six jours francs qui commence à partir de la date de notification de l’ordonnance du juge (le 20 août passé), pour saisir la Chambre d’accusation. Jusqu’à hier, il n’a pas introduit de recours. Mais si tel est le cas, les deux inculpés blanchis vont rester en prison.
Cependant, des sources proches du dossier ne veulent pas trop croire à cette hypothèse du Parquet qui pousserait le président de la République à faire du « wax waxeet ». En fait, en cas de saisine de la Chambre d’accusation, le procès ne pourrait pas se tenir au mois d’octobre comme promis par le Chef de l’Etat. Car, le dossier pourrait même atterrir en cassation si l’une des parties n’est pas satisfaite. D’ailleurs les parents de Mouhamed Boukhaled font face à la presse aujourd’hui. C’est pour réagir à l’ordonnance de renvoi en jugement devant la Chambre criminelle que le juge a délivrée contre leur fils. Si l’ordonnance du juge est suivie, le policier Boukhaled devra répondre de la mort de l’étudiant Bassirou Faye, tué le 14 août 2014, lors d’échauffourées entre étudiants et forces de l’ordre dans le campus social.
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