Libération est en mesure de révéler que les recherches ont été finalement abandonnées après le naufrage du ‘’Senefand 1’’ qui a coulé au large de Dakar. Malgré les intenses moyens mis en œuvre, les secouristes n’ont pu retrouver ni l’épave du bateau encore moins les trois marins - le capitaine espagnol José Vicente Pazos et deux Sénégalais - portés disparus.
Comme nous l’écrivions, les recherches immédiatement déclenchées après le signalement du naufrage avaient permis de secourir huit survivants - cinq Sénégalais, un Espagnol, un Bissau-guinéen et un Cap-verdien - ont dû passer deux nuits dans un canot de sauvetage.
Les témoignages recueillis auprès des survivants indiquent que le navire a coulé à cause d’une surcharge. Tout est allé très vite puisque le drame n’aura duré que trois minutes. Mais les recherches étaient d’autant plus difficiles que la balise de sécurité du navire ne s’est pas automatiquement déclenchée. Ce qui compliquait la mission des secouristes qui peinent à localiser l’épave du navire.
Les Forces françaises s’étaient jointes aux autorités sénégalaises et espagnoles pour intensifier les recherches. Deux avions ont été mobilisés à cet effet en même temps qu’un bateau et un hélicoptère. Le navire «Senefand 1» (IMO : N/A, MMSI : 663134000) de type Fishing Vessel naviguait sous le pavillon Sénégal. Il affichait une longueur hors tout de 24m et un maître-bau de 7m.
Le fait que la balise de sécurité ne se soit pas déclenchée nourrit les interrogations. Aujourd’hui, certains spécialistes expliquent que Senefand qui exploitait le bateau du même nom n’a pas tout dit. Le groupe apprend, pour sa part, que le navire a effectué sa dernière révision en octobre dernier et disposerait de tous les certificats. On attend de voir si cette version sera confirmée ou infirmée par l’enquête en cours.
Comme nous l’écrivions, les recherches immédiatement déclenchées après le signalement du naufrage avaient permis de secourir huit survivants - cinq Sénégalais, un Espagnol, un Bissau-guinéen et un Cap-verdien - ont dû passer deux nuits dans un canot de sauvetage.
Les témoignages recueillis auprès des survivants indiquent que le navire a coulé à cause d’une surcharge. Tout est allé très vite puisque le drame n’aura duré que trois minutes. Mais les recherches étaient d’autant plus difficiles que la balise de sécurité du navire ne s’est pas automatiquement déclenchée. Ce qui compliquait la mission des secouristes qui peinent à localiser l’épave du navire.
Les Forces françaises s’étaient jointes aux autorités sénégalaises et espagnoles pour intensifier les recherches. Deux avions ont été mobilisés à cet effet en même temps qu’un bateau et un hélicoptère. Le navire «Senefand 1» (IMO : N/A, MMSI : 663134000) de type Fishing Vessel naviguait sous le pavillon Sénégal. Il affichait une longueur hors tout de 24m et un maître-bau de 7m.
Le fait que la balise de sécurité ne se soit pas déclenchée nourrit les interrogations. Aujourd’hui, certains spécialistes expliquent que Senefand qui exploitait le bateau du même nom n’a pas tout dit. Le groupe apprend, pour sa part, que le navire a effectué sa dernière révision en octobre dernier et disposerait de tous les certificats. On attend de voir si cette version sera confirmée ou infirmée par l’enquête en cours.
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