Les faits continuent d'alimenter les débats dans la banlieue dakaroise, précisément à Keur M'baye Fall. Il ressortirait des dépositions de témoins oculaires et auditifs, que le sieur Daouda Seck, arrivé à l'intersection d'une ruelle en compagnie de son fils, s'est soudain mis à crier, scandant "au secours! au secours! On veut me tuer!" Aussitôt après, il dégaine un revolver et commence à tirer sur tout ce qui bouge, entraînant une véritable débandade.
Cependant, un passant prendra son courage à deux mains dans la confusion pour plaquer le forcené au sol, avant qu'un autre vienne à la rescousse pour lui arracher l'arme des mains.
C'est après l'avoir maîtrisé qu'ils se sont rendus compte qu'il venait malheureusement de toucher quelqu'un à l'abdomen. Aussitôt alertés, les sapeurs pompiers arriveront immédiatement pour acheminer le blessé aux urgences de l'hôpital de Thiaroye, où Boubacar Keïta de son nom décédera quelques temps plus tard.
L'enquête déclenchée a permis d'auditionner le grand frère du meurtrier (Moustapha Seck), lequel a soutenu que son frère est un déficient mental. Il en produira les preuves, notamment par des documents attestant que Daouda Seck a été admis à cinq reprises à l'hôpital psychiatrique de Thiaroye pour des troubles comportementaux pareils.
Chose cocasse : le déficient mental pourtant bénéficie d'un port d'arme, malgré son affection médicale psychiatrique attestée depuis 1986. Comment se fait-il donc, que ce déséquilibré puisse bénéficier d'une autorisation de port d'arme?
Aux dernières nouvelles, il a été mis aux arrêts...
Cependant, un passant prendra son courage à deux mains dans la confusion pour plaquer le forcené au sol, avant qu'un autre vienne à la rescousse pour lui arracher l'arme des mains.
C'est après l'avoir maîtrisé qu'ils se sont rendus compte qu'il venait malheureusement de toucher quelqu'un à l'abdomen. Aussitôt alertés, les sapeurs pompiers arriveront immédiatement pour acheminer le blessé aux urgences de l'hôpital de Thiaroye, où Boubacar Keïta de son nom décédera quelques temps plus tard.
L'enquête déclenchée a permis d'auditionner le grand frère du meurtrier (Moustapha Seck), lequel a soutenu que son frère est un déficient mental. Il en produira les preuves, notamment par des documents attestant que Daouda Seck a été admis à cinq reprises à l'hôpital psychiatrique de Thiaroye pour des troubles comportementaux pareils.
Chose cocasse : le déficient mental pourtant bénéficie d'un port d'arme, malgré son affection médicale psychiatrique attestée depuis 1986. Comment se fait-il donc, que ce déséquilibré puisse bénéficier d'une autorisation de port d'arme?
Aux dernières nouvelles, il a été mis aux arrêts...
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