A peine un an après l’anniversaire de l’alternance, nous revoilà face à la banalisation de nos institutions. Dés son accession à la magistrature suprême, le président Macky Sall nous avait promis la Rupture. Il nous avait promis la fin de toutes les pratiques bannies de l’ancien régime. Il nous avait promis le retour au respect de nos institutions. Il nous avait surtout annoncé que désormais, ce sera la patrie avant le parti
Aujourd’hui, nous assistons effectivement à une rupture, mais c’est celle de sa promesse. Le Président a rompu à sa parole, il nous a trompé, il a abusé de notre confiance et s’adonne de plus en plus fièrement à la résurrection des vielles pratiques de Wade. Pratiques qui avaient poussé le peuple à la révolte. Nos institutions sont de plus en plus banalisées, les députés se battent à l’assemblée nationale, la présidence s’implique dans des affaires pendantes à la justice et pour couronner le tout, le palais de la république est transformé en stade où s’organisent des meetings.
Le parti a pris le dessus sur la patrie et le moindre acte posé par le président devient un prétexte pour s’adonner au folklore politicien. La comédie règne en maitre et la République chante et danse.
Les femmes, encore les femmes ! Mais pourquoi ne pouvons nous toujours pas refuser la manipulation ? Quand est ce que nous allons nous réveiller et comprendre la ruse de nos politiciens ?
La loi autorisant les femmes à donner la nationalité à leur conjoint ou leurs enfants est un combat qui a été porté depuis des années par les organisations des droits des femmes. Il n’ya rien de comique dans ce combat et l’adoption de cette loi est une victoire qui devrait être accueillie autrement qu’avec tout ce tintamarre folklorique. Nombreuse ont été les femmes qui ont été colportées jusqu’au palais sans même qu’elles ne sachent ce qu’elles sont venues y faire. Avec l’évolution des conditions des femmes, il est temps que toutes celles-ci se réveillent pour dire non à la manipulation. Il est temps que les femmes refusent d’être des mains pour applaudir. Nous méritons plus et nous devons le prouver.
Monsieur le Président, vous ne distribuerez jamais plus de milliards que votre prédécesseur, vous ne mobiliserez jamais comme votre prédécesseur avait l’art de le faire, alors sachez bien que le vent qui l’a emporté ne vous laissera pas indemne. A bon entendeur…..
Aujourd’hui, nous assistons effectivement à une rupture, mais c’est celle de sa promesse. Le Président a rompu à sa parole, il nous a trompé, il a abusé de notre confiance et s’adonne de plus en plus fièrement à la résurrection des vielles pratiques de Wade. Pratiques qui avaient poussé le peuple à la révolte. Nos institutions sont de plus en plus banalisées, les députés se battent à l’assemblée nationale, la présidence s’implique dans des affaires pendantes à la justice et pour couronner le tout, le palais de la république est transformé en stade où s’organisent des meetings.
Le parti a pris le dessus sur la patrie et le moindre acte posé par le président devient un prétexte pour s’adonner au folklore politicien. La comédie règne en maitre et la République chante et danse.
Les femmes, encore les femmes ! Mais pourquoi ne pouvons nous toujours pas refuser la manipulation ? Quand est ce que nous allons nous réveiller et comprendre la ruse de nos politiciens ?
La loi autorisant les femmes à donner la nationalité à leur conjoint ou leurs enfants est un combat qui a été porté depuis des années par les organisations des droits des femmes. Il n’ya rien de comique dans ce combat et l’adoption de cette loi est une victoire qui devrait être accueillie autrement qu’avec tout ce tintamarre folklorique. Nombreuse ont été les femmes qui ont été colportées jusqu’au palais sans même qu’elles ne sachent ce qu’elles sont venues y faire. Avec l’évolution des conditions des femmes, il est temps que toutes celles-ci se réveillent pour dire non à la manipulation. Il est temps que les femmes refusent d’être des mains pour applaudir. Nous méritons plus et nous devons le prouver.
Monsieur le Président, vous ne distribuerez jamais plus de milliards que votre prédécesseur, vous ne mobiliserez jamais comme votre prédécesseur avait l’art de le faire, alors sachez bien que le vent qui l’a emporté ne vous laissera pas indemne. A bon entendeur…..
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