Face à la presse après son parcours tumultueux en direction de la place de l’Obélisque où il s’est présenté comme promis, Me Wade de pointer le président Macky Sall du doigt, déclarant que ce dernier « refuse de décoder le message du peuple », comme lui l’a fait.
Allant plus loin, le président Wade d’annoncer que si jamais la liberté de marche continue de lui être refusée, il va recourir à l’armée nationale, afin qu’elle le « départage » d’avec son successeur.
Et frustré par cette interdiction de marche qui a été opposée au PDS, le leader du « Sopi » d’asséner : « c’est moi qui ai institué le droit de marche dans la Constitution du Sénégal, il s’agit de l’expression d’une liberté fondamentale pratiquée dans toutes les démocraties mondiales. »
Visiblement irrité par le comportement du gouvernement à l’égard de son parti, Me Abdoulaye Wade de déclarer : « depuis deux ans le gouvernement de Macky Sall nous interdit toute marche, il pense que les Sénégalais sont si veules qu’ils ne se soulèveront pas pour défendre leur liberté. Personne ne viendra nous libérer si nous ne nous libérons pas ».
Et expliquant son comportement de cet après-midi, le pape du « Sopi » de confier : «j’ai agi de la sorte parce que d’abord je suis sénégalais. Je suis en plus investi de la confiance populaire pour avoir été un bon président de mon peuple ; quand je suis arrivé au Sénégal trois millions d’individus ont attendu des heures pour me recevoir, puis cinq millions m’ont accueilli à Touba. C’est alors que j’ai décodé le message du peuple, et je croyais que Macky Sall, à son tour, le décoderait… ».
Et parlant du peuple Sénégalais, Abdoulaye Wade d’affirmer qu’il l’a retrouvé «détruit, désespéré, réduit à la mendicité, et survivant dans les pires difficultés telles la faim et la pénurie d’eau…»
Affirmant avoir « attendu longtemps sans perturber Macky Sall », Me Wade de préciser l’avoir félicité dès les premières heures de sa victoire, et avoir même offert de « l’aider », mais que l’actuel président de la République n’a pas tardé à « déclencher une chasse aux sorcières » avant d’assigner vingt-cinq membres de son proche entourage à ne pas quitter le territoire national.
Achevant ses propos, l’ancien président de la République de déclarer qu’un commandant de la police, présent à la place de l’Obélisque, est venu jusqu’à lui le « supplier » de quitter les lieux, ce à quoi Me Abdoulaye a rétorqué : « d’accord, mais je revendrai! ».
Aussi, le pape du sopi d’inviter tous les Sénégalais, en particulier ses militants, à venir massivement à la manifestation prévue mercredi prochain, et au cours de laquelle il compte délivrer un « message sur l’état de la nation ».
Allant plus loin, le président Wade d’annoncer que si jamais la liberté de marche continue de lui être refusée, il va recourir à l’armée nationale, afin qu’elle le « départage » d’avec son successeur.
Et frustré par cette interdiction de marche qui a été opposée au PDS, le leader du « Sopi » d’asséner : « c’est moi qui ai institué le droit de marche dans la Constitution du Sénégal, il s’agit de l’expression d’une liberté fondamentale pratiquée dans toutes les démocraties mondiales. »
Visiblement irrité par le comportement du gouvernement à l’égard de son parti, Me Abdoulaye Wade de déclarer : « depuis deux ans le gouvernement de Macky Sall nous interdit toute marche, il pense que les Sénégalais sont si veules qu’ils ne se soulèveront pas pour défendre leur liberté. Personne ne viendra nous libérer si nous ne nous libérons pas ».
Et expliquant son comportement de cet après-midi, le pape du « Sopi » de confier : «j’ai agi de la sorte parce que d’abord je suis sénégalais. Je suis en plus investi de la confiance populaire pour avoir été un bon président de mon peuple ; quand je suis arrivé au Sénégal trois millions d’individus ont attendu des heures pour me recevoir, puis cinq millions m’ont accueilli à Touba. C’est alors que j’ai décodé le message du peuple, et je croyais que Macky Sall, à son tour, le décoderait… ».
Et parlant du peuple Sénégalais, Abdoulaye Wade d’affirmer qu’il l’a retrouvé «détruit, désespéré, réduit à la mendicité, et survivant dans les pires difficultés telles la faim et la pénurie d’eau…»
Affirmant avoir « attendu longtemps sans perturber Macky Sall », Me Wade de préciser l’avoir félicité dès les premières heures de sa victoire, et avoir même offert de « l’aider », mais que l’actuel président de la République n’a pas tardé à « déclencher une chasse aux sorcières » avant d’assigner vingt-cinq membres de son proche entourage à ne pas quitter le territoire national.
Achevant ses propos, l’ancien président de la République de déclarer qu’un commandant de la police, présent à la place de l’Obélisque, est venu jusqu’à lui le « supplier » de quitter les lieux, ce à quoi Me Abdoulaye a rétorqué : « d’accord, mais je revendrai! ».
Aussi, le pape du sopi d’inviter tous les Sénégalais, en particulier ses militants, à venir massivement à la manifestation prévue mercredi prochain, et au cours de laquelle il compte délivrer un « message sur l’état de la nation ».
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