L’avocat Me Ousmane Sèye, bien que du côté du pouvoir, a donné son point de vue sur la crise qui sévit entre l’exécutif et le judiciaire. Crise exacerbée par la convocation du juge Souleymane Teliko devant le conseil de discipline du Conseil supérieur de la magistrature pour avoir dévoilé des délibérations.
Mais pour Me Sèye, la justice a des problèmes que l’on doit éviter.
« On doit apaiser les relations entre les magistrats et l’exécutif et j’appelle le Président à faire engager un dialogue franc avec les magistrats dans l’intérêt de la justice et des justiciables. C’est le moment de faire des réformes sincères au niveau du fonctionnement de la justice, elles ont été faites au niveau du fonctionnement du CSM et aussi de la Cour suprême pour la garantie des libertés individuelles et collectives », a-t-il préconisé.
En conférence de presse au siège de son parti, l’avocat est d’avis donc, que le Président doit faire engager le dialogue avec les magistrats pour trouver des solutions consensuelles dans l’intérêt des uns et des autres.
« Privilégier, le dialogue à la place de la sanction. Les magistrats ce sont des responsables qui rendent la justice et ils ont à l’esprit la justice. Un pays ne peut être stable sans celui de sa justice, si on continue dans l’affrontement entre l’exécutif et les magistrats, on va directement vers la déstabilisation de la justice, ce qui va engendrer la déstabilisation du pays tout en entier », a-t-il laissé entendre.
Mais pour Me Sèye, la justice a des problèmes que l’on doit éviter.
« On doit apaiser les relations entre les magistrats et l’exécutif et j’appelle le Président à faire engager un dialogue franc avec les magistrats dans l’intérêt de la justice et des justiciables. C’est le moment de faire des réformes sincères au niveau du fonctionnement de la justice, elles ont été faites au niveau du fonctionnement du CSM et aussi de la Cour suprême pour la garantie des libertés individuelles et collectives », a-t-il préconisé.
En conférence de presse au siège de son parti, l’avocat est d’avis donc, que le Président doit faire engager le dialogue avec les magistrats pour trouver des solutions consensuelles dans l’intérêt des uns et des autres.
« Privilégier, le dialogue à la place de la sanction. Les magistrats ce sont des responsables qui rendent la justice et ils ont à l’esprit la justice. Un pays ne peut être stable sans celui de sa justice, si on continue dans l’affrontement entre l’exécutif et les magistrats, on va directement vers la déstabilisation de la justice, ce qui va engendrer la déstabilisation du pays tout en entier », a-t-il laissé entendre.
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