Donnant son point de vue sur le maintien de l’ordre au Sénégal, Me Abdoulaye BABOU, «ancien officier de police qui a reçu une formation et aussi avocat qui a appliqué la réglementation en matière d’attroupement, de réunions publiques, etc.», a fait un premier constat lui permettant de dire : «notre police est une police professionnelle. Le Sénégal est sollicité partout dans le monde ; plus particulièrement par les Nations- unies pour le maintien de la paix, pour l’ordre et la sécurité des peuples».
Par ailleurs, toujours selon lui, «quand un policier est sur le champ des manifestations, il y a des règles qui s’appliquent (Me Babou n’est pas rentré dans les détails) ; mais tous les policiers qui ont été formés connaissent la conduite à tenir càd quand il faut tirer, quand il faut faire des sommations pour disperser la troupe. Ils maîtrisent tous cette procédure!». Maintenant qu’il y a bavure, Me Babou se pose la question ; «pourquoi d’un coup accuser la police ?». Il estime qu’il peut y avoir de la subversion à l’intérieur. «Je sais moi, de source sûre et je prends à témoin tous les sénégalais, que si le Président Abdoulaye Wade avait organisé, quand il est revenu de l’étranger, cette fameuse manifestation, il y avait des gens qui étaient infiltrés et qui auraient pu engendrer des événements extraordinaires».
«Aujourd’hui, il y a mort d’homme, je n’accuse personne. Ça peut être X ou Y. L’enquête le dira. Mais ce que je dis aussi pour qu’on rassure les sénégalais, puisqu’on a demandé à des experts neutres, de pays différents, de donner leur avis ; mais pourquoi on n’attendrait pas leur avis ?», a relevé l’ancien ministre, ancien policier, avocat à la Cour.
Hier, Me Babou affirme avoir regardé Obama à la télévision qui s’exprimait sur les évènements survenus dans une partie des Etats- unis, où il y a eu un jeune noir abattu par un policier. «En France, il se passe tout le temps des événements de ce genre. Est- ce à dire que s’il y a une bavure policière, tous les policiers sont mauvais ? Je ne pense pas! On ne doit pas raisonner de la sorte. C’est regrettable, il y a mort d’homme ; mais laissons l’enquête suivre son cours puisque les autorités de ce pays ont dit qu’ils ont la ferme volonté d’éclairer tout cela et non en faire un débat politique. On ne fait pas de politique sur la mort de quelqu’un».
Par ailleurs, toujours selon lui, «quand un policier est sur le champ des manifestations, il y a des règles qui s’appliquent (Me Babou n’est pas rentré dans les détails) ; mais tous les policiers qui ont été formés connaissent la conduite à tenir càd quand il faut tirer, quand il faut faire des sommations pour disperser la troupe. Ils maîtrisent tous cette procédure!». Maintenant qu’il y a bavure, Me Babou se pose la question ; «pourquoi d’un coup accuser la police ?». Il estime qu’il peut y avoir de la subversion à l’intérieur. «Je sais moi, de source sûre et je prends à témoin tous les sénégalais, que si le Président Abdoulaye Wade avait organisé, quand il est revenu de l’étranger, cette fameuse manifestation, il y avait des gens qui étaient infiltrés et qui auraient pu engendrer des événements extraordinaires».
«Aujourd’hui, il y a mort d’homme, je n’accuse personne. Ça peut être X ou Y. L’enquête le dira. Mais ce que je dis aussi pour qu’on rassure les sénégalais, puisqu’on a demandé à des experts neutres, de pays différents, de donner leur avis ; mais pourquoi on n’attendrait pas leur avis ?», a relevé l’ancien ministre, ancien policier, avocat à la Cour.
Hier, Me Babou affirme avoir regardé Obama à la télévision qui s’exprimait sur les évènements survenus dans une partie des Etats- unis, où il y a eu un jeune noir abattu par un policier. «En France, il se passe tout le temps des événements de ce genre. Est- ce à dire que s’il y a une bavure policière, tous les policiers sont mauvais ? Je ne pense pas! On ne doit pas raisonner de la sorte. C’est regrettable, il y a mort d’homme ; mais laissons l’enquête suivre son cours puisque les autorités de ce pays ont dit qu’ils ont la ferme volonté d’éclairer tout cela et non en faire un débat politique. On ne fait pas de politique sur la mort de quelqu’un».
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