La création de la deuxième Université de Dakar (UNIDAK 2) répond à ‘’une demande forte’’, a déclaré lundi à Ziguinchor (Sud), le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Mary Teuw Niane, relevant que le gouvernement ne créé pas ''des universités de seconde zone''.
''La création de la deuxième université de Dakar (UNIDAK 2) par le président Macky Sall est une demande forte. Le gouvernement montre que quand il décide de créer une université, il y met les moyens’’, a dit M. Niane aux journalistes à la fin d’une visite des chantiers de l’université Assane Seck.
‘’Nous ne créons pas des universités de seconde zone ou juste une université pour la créer. Nous créons une université avec toutes les infrastructures de standard international. C’est ça l’ambition du président Macky Sall’’ a-t-il soutenu.
Selon lui, c’est de la même façon que l’université du Sine-Saloum de Kaolack, dont les travaux vont bientôt démarrer, est créée’’.
‘’Les universités existantes ne suffisent pas pour répondre à la demande d’enseignement supérieur des nouveaux bacheliers. C’est en ce sens que le gouvernement a décidé de créer de nouvelles universités, de nouveaux instituts supérieurs d’enseignement professionnel'', a t-il expliqué.
Il a fait remarquer que la région naturelle de la Casamance a pu bénéficier de plusieurs nouvelles infrastructures, citant l’ISEP de Bignona financé par l’Agence française de développement, les Espaces numériques ouverts (ENO) de Kolda et de Ziguinchor, mais aussi le centre délocalisé de Kolda.
Selon le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, le gouvernement accorde une grande importance à la Casamance qui a été choisie comme région pilote de la décentralisation des politiques publiques.
''C’est dans ce Pôle de développement de la Casamance que s’insèrent ces structures de formation d’enseignement supérieur pour donner plus de chances aux étudiants et étudiants issus des établissements secondaires d’ici'', a fait valoir Mary Teuw Niane.
Il a déclaré que le gouvernement a hérité de ‘’chantiers difficiles’’, tout en demandant aux étudiants de l’Université Assane Seck d’être ‘’patients’’ pour que leur institution ''puisse prendre son envol avec l’effort des uns et des autres''.
''La création de la deuxième université de Dakar (UNIDAK 2) par le président Macky Sall est une demande forte. Le gouvernement montre que quand il décide de créer une université, il y met les moyens’’, a dit M. Niane aux journalistes à la fin d’une visite des chantiers de l’université Assane Seck.
‘’Nous ne créons pas des universités de seconde zone ou juste une université pour la créer. Nous créons une université avec toutes les infrastructures de standard international. C’est ça l’ambition du président Macky Sall’’ a-t-il soutenu.
Selon lui, c’est de la même façon que l’université du Sine-Saloum de Kaolack, dont les travaux vont bientôt démarrer, est créée’’.
‘’Les universités existantes ne suffisent pas pour répondre à la demande d’enseignement supérieur des nouveaux bacheliers. C’est en ce sens que le gouvernement a décidé de créer de nouvelles universités, de nouveaux instituts supérieurs d’enseignement professionnel'', a t-il expliqué.
Il a fait remarquer que la région naturelle de la Casamance a pu bénéficier de plusieurs nouvelles infrastructures, citant l’ISEP de Bignona financé par l’Agence française de développement, les Espaces numériques ouverts (ENO) de Kolda et de Ziguinchor, mais aussi le centre délocalisé de Kolda.
Selon le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, le gouvernement accorde une grande importance à la Casamance qui a été choisie comme région pilote de la décentralisation des politiques publiques.
''C’est dans ce Pôle de développement de la Casamance que s’insèrent ces structures de formation d’enseignement supérieur pour donner plus de chances aux étudiants et étudiants issus des établissements secondaires d’ici'', a fait valoir Mary Teuw Niane.
Il a déclaré que le gouvernement a hérité de ‘’chantiers difficiles’’, tout en demandant aux étudiants de l’Université Assane Seck d’être ‘’patients’’ pour que leur institution ''puisse prendre son envol avec l’effort des uns et des autres''.
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