Mariéme à l’image de Simone Gbagbo

‘’ Si tu acceptes ces résultats, t’es pas un garçon’’ -  SIMONE A GBAGBO.


Mariéme à l’image de Simone Gbagbo
L’Afrique de l’ouest a connu l’un de ses plus désastreux conflits suite à cette injonction de l’ex-Première dame de la Côte d’ivoire à son mari. Ce mal qui a sévi en côte d’ivoire a de beaux jours devant lui au Sénégal. La République n’est plus supérieure aux désidératas de cette femme qui incarne le pouvoir à elle toute seule. Le critère de compétence qui devait être le premier principe de sélection des administrateurs de la chose publique a été foulé au pied et remplacé par le clanisme. L’administration qui devait être indépendante de la sphère partisane patauge dans le l’ethnicisme et le tribalisme.   Les administrateurs des ressources de l’Etat, qui devaient servir l’intérêt général, se sont mués en une assemblée de défense des intérêts de celle qui préside aux destinées du Sénégal. Tous ceux qui ont voulu se dresser contre cet état de chose ont été écartés puis infantilisés. Alioune Badara Cissé et Mimi Touré en ont fait les frais. Jamais le Sénégal n’a connu une première dame aussi encombrante mais à chaque fois ses thuriféraires polissent son image avec des conférences tenues dans l’enceinte du palais de la république. Lieu où le mythe, qui faisait son charme, est en train de s’effondrer à cause de ses séances de rattrapage médiatique qu’elle tente de nous ingurgiter en vain.   A défaut de répondre aux attentes des sénégalais, l’on tente de nous la faire passer comme une femme pieuse au service de son mari. Ainsi, si ce ne sont pas des encens qui sont servis en plein journal télévisé, ce sont des actes de bienfaisance de sa fondation, qui lui sert à blanchir l’argent des sénégalais en bien privé familial. Voici une femme qui, parce que son mari battu au lit est devenu chef de la transition, se permet de distribuer à tout va et comme bon lui semble les ressources de l’Etat à des fins politiques. Le communiqué sorti par le ministre de la culture est d’autant plus gravissime qu’il met à nu les pratiques répréhensibles de cette commerçante de perle communément appelée ‘’bine-bine’’. Comment une femme qui n’a jamais travaillé dans sa vie peut elle subventionner la campagne électorale des ministres de la république ?   Toute cette manne financière dépensée ne saurait être le fruit de son travail car elle n’a jamais connu dans sa vie ce qu’est un bulletin de salaire. Elle provient soit du trésor public soit des oligarques qui la financent pour obtenir un retour sur investissement à travers des marchés de l’Etat. Dans tous les cas, elle ne pourra pas se passer de rendre compte en 2017. Il lui sera très difficile d’expliquer l’origine de cette subite fortune. Elle ne fera alors que récolter, comme Simone Gbagbo du fond de sa cellule, les mauvaises factures qu’elle avait servies au peuple sénégalais. Vivement 2017 et qu’on en finisse une bonne fois pour toute avec cette femme qui indispose toute une République Moïse RAMPINO  
Mardi 22 Juillet 2014




1.Posté par iba sy le 23/07/2014 10:47
Rampino t'es de quelle nationalité ?



Dans la même rubrique :