Peu après l'annonce de la peine de 6 ans ferme infligée à leur mentor, celle qui tient les manettes de la Commission Féminine de l'UJTL a promptement réagi.
En effet, Marie Sow N'diaye, puisque c'est d'elle qu'il s'agit, rencontrée au commissariat central où elle était venue s'enquérir du cas de son Sg (ndlr Toussaint Manga) mis également aux arrêts, de laisser entendre : "le droit n'a pas été dit!"
Invitée à être plus explicite, la responsable libérale poursuit : " Karim Wade est victime d'un règlement de compte politique, mais Macky Sall, otage de soit-disant alliés, est malheureusement victime d’une grande manipulation et d’une campagne d’intoxication. Leurs accusations sur Karim Wade, toutes cousues de fil blanc, sont simplement politiques. Rien ne justifie cette condamnation!"
Aux yeux de Marie Sow N'diaye, "Macky Sall et sa clique, mais également bon nombre de justices africaines seront à l’avenir confrontées à un amalgame dangereux, où volonté réelle de justice et règlement de comptes politiques peuvent se confondre (...)"
Pensée pour Aïda N'diongue, Me Amadou Sall, Aziz Diop...
Elle est d'avis que "la justice sénégalaise, qui regorge certes de bons magistrats, mais pour peu qu’on la scrute, semble donner l’impression d’une justice à deux vitesses".
Elle s'étrangle de rage du fait que "le Sénégal, jadis vitrine de l'Afrique, notamment sur le plan juridique, en arrive à descendre aussi bas. Comment peut-on accuser Karim Wade de malversations financières et le condamner ainsi selon leur guise, sans en apporter les preuves matérielles à même de confondre le principal accusé ?"
Y allant de plus belle dans son argumentaire, elle assène : "incarcéré dans le cadre d'une enquête sur son patrimoine diligentée par la Cour de répression de l'enrichissement illicite (Crei), Karim Wade a, faut il le rappeler, saisi le Groupe de travail sur la détention arbitraire, un organisme dépendant du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme. Il s'est agi de dénoncer cet acharnement sur sa personne sur l'échiquier international." L'on se rappelle que lors d'une confrontation avec les magistrats de la Cour de répression de l'enrichissement illicite (CREI), Karim Wade a lu une déclaration incendiaire avant de se murer dans le silence. Ce silence a fait mal à certains, suivez mon regard".
Toujours aux yeux de la responsable du Pds, "Karim Wade a été et reste un otage politique. Le combat continue d'autant que nous entendons nous battre d'arrache pied pour faire libérer nos otages politiques que sont Karim Meissa Wade, le Secrétaire Général de l'UJTL Toussaint Manga, Aïda N'diongue, Me Amadou Sall, Aziz Diop pour ne citer qu'eux, d'autant que la liste est loin d'être exhaustive. Par ma voix, l'UJTL dénonce ces agissements d'un autre âge."
Et pour conclure, elle soutiendra mordicus : "Je doute fort que toutes ces informations aient pu être portées à la connaissance du président Macky Sall, qui probablement, comme une certaine opinion, a été victime d’une grande manipulation et d’une campagne d’intoxication. (...)
En effet, Marie Sow N'diaye, puisque c'est d'elle qu'il s'agit, rencontrée au commissariat central où elle était venue s'enquérir du cas de son Sg (ndlr Toussaint Manga) mis également aux arrêts, de laisser entendre : "le droit n'a pas été dit!"
Invitée à être plus explicite, la responsable libérale poursuit : " Karim Wade est victime d'un règlement de compte politique, mais Macky Sall, otage de soit-disant alliés, est malheureusement victime d’une grande manipulation et d’une campagne d’intoxication. Leurs accusations sur Karim Wade, toutes cousues de fil blanc, sont simplement politiques. Rien ne justifie cette condamnation!"
Aux yeux de Marie Sow N'diaye, "Macky Sall et sa clique, mais également bon nombre de justices africaines seront à l’avenir confrontées à un amalgame dangereux, où volonté réelle de justice et règlement de comptes politiques peuvent se confondre (...)"
Pensée pour Aïda N'diongue, Me Amadou Sall, Aziz Diop...
Elle est d'avis que "la justice sénégalaise, qui regorge certes de bons magistrats, mais pour peu qu’on la scrute, semble donner l’impression d’une justice à deux vitesses".
Elle s'étrangle de rage du fait que "le Sénégal, jadis vitrine de l'Afrique, notamment sur le plan juridique, en arrive à descendre aussi bas. Comment peut-on accuser Karim Wade de malversations financières et le condamner ainsi selon leur guise, sans en apporter les preuves matérielles à même de confondre le principal accusé ?"
Y allant de plus belle dans son argumentaire, elle assène : "incarcéré dans le cadre d'une enquête sur son patrimoine diligentée par la Cour de répression de l'enrichissement illicite (Crei), Karim Wade a, faut il le rappeler, saisi le Groupe de travail sur la détention arbitraire, un organisme dépendant du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme. Il s'est agi de dénoncer cet acharnement sur sa personne sur l'échiquier international." L'on se rappelle que lors d'une confrontation avec les magistrats de la Cour de répression de l'enrichissement illicite (CREI), Karim Wade a lu une déclaration incendiaire avant de se murer dans le silence. Ce silence a fait mal à certains, suivez mon regard".
Toujours aux yeux de la responsable du Pds, "Karim Wade a été et reste un otage politique. Le combat continue d'autant que nous entendons nous battre d'arrache pied pour faire libérer nos otages politiques que sont Karim Meissa Wade, le Secrétaire Général de l'UJTL Toussaint Manga, Aïda N'diongue, Me Amadou Sall, Aziz Diop pour ne citer qu'eux, d'autant que la liste est loin d'être exhaustive. Par ma voix, l'UJTL dénonce ces agissements d'un autre âge."
Et pour conclure, elle soutiendra mordicus : "Je doute fort que toutes ces informations aient pu être portées à la connaissance du président Macky Sall, qui probablement, comme une certaine opinion, a été victime d’une grande manipulation et d’une campagne d’intoxication. (...)
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