Deux jeunes Français travaillant comme bénévoles pour une association à Madagascar ont été tués et leurs corps ont été retrouvés dimanche sur une plage de l'île touristique de Sainte-Marie (nord-est), ont annoncé les autorités malgaches et françaises.
« Nous avons appris avec émotion le crime odieux qui a coûté la vie à deux ressortissants français », a écrit dans la soirée de dimanche 21 août le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué.
Il a ajouté que les autorités françaises étaient en contact avec les familles des victimes et qu’une enquête était en cours à Madagascar, sans donner plus de précisions.
« Des traces de blessures à la tête »
Les deux corps « portaient des traces de blessures à la tête », a déclaré pour sa part le maire de l’île de Sainte-Marie, Bessaou Ismak Ado Crophe, qui s’est rendu sur les lieux.
Les deux Français – un homme et une femme âgés d’une vingtaine d’années – avaient « passé la soirée dans une boîte de nuit et ont été retrouvés pas loin sur la plage » (dimanche matin), a-t-il ajouté, interrogé par téléphone depuis Antananarivo. Selon la gendarmerie alertée tôt dimanche matin, les corps ont été retrouvés à 150 mètres de la boîte de nuit.
Un « acte barbare »
Les deux Français travaillaient depuis quelques mois pour l’association malgache Cétamada, qui œuvre pour la protection de l’environnement et des mammifères marins.
Le vice-président de Cétamada et consul honoraire de France à Sainte-Marie, Jean-Jacques Ravello, a confirmé la mort des deux Français, évoquant un « acte barbare ». « Cela fait 15 ans que l’on fait venir des dizaines d’éco-bénévoles et il n’y a jamais eu de problèmes de cette envergure », a-t-il déploré.
Cette île, réputée pour sa nature préservée et ses rassemblements de baleine à bosse, est située au large des rivages nord-est de Madagascar, dans l’océan Indien.
JEUNE AFRIQUE
« Nous avons appris avec émotion le crime odieux qui a coûté la vie à deux ressortissants français », a écrit dans la soirée de dimanche 21 août le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué.
Il a ajouté que les autorités françaises étaient en contact avec les familles des victimes et qu’une enquête était en cours à Madagascar, sans donner plus de précisions.
« Des traces de blessures à la tête »
Les deux corps « portaient des traces de blessures à la tête », a déclaré pour sa part le maire de l’île de Sainte-Marie, Bessaou Ismak Ado Crophe, qui s’est rendu sur les lieux.
Les deux Français – un homme et une femme âgés d’une vingtaine d’années – avaient « passé la soirée dans une boîte de nuit et ont été retrouvés pas loin sur la plage » (dimanche matin), a-t-il ajouté, interrogé par téléphone depuis Antananarivo. Selon la gendarmerie alertée tôt dimanche matin, les corps ont été retrouvés à 150 mètres de la boîte de nuit.
Un « acte barbare »
Les deux Français travaillaient depuis quelques mois pour l’association malgache Cétamada, qui œuvre pour la protection de l’environnement et des mammifères marins.
Le vice-président de Cétamada et consul honoraire de France à Sainte-Marie, Jean-Jacques Ravello, a confirmé la mort des deux Français, évoquant un « acte barbare ». « Cela fait 15 ans que l’on fait venir des dizaines d’éco-bénévoles et il n’y a jamais eu de problèmes de cette envergure », a-t-il déploré.
Cette île, réputée pour sa nature préservée et ses rassemblements de baleine à bosse, est située au large des rivages nord-est de Madagascar, dans l’océan Indien.
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