Le chef de l’Etat sénégalais Macky Sall, qui est au Nigéria, à Abuja, dans le cadre de l’ouverture de la deuxième session ordinaire du parlement de la CEDEAO, a évoqué « le scandale Libyen ».
Donnant son avis personnel, il a laissé entendre que les criminels qui s’adonnent à la vente de noirs comme esclaves, « seront traduits devant une cour de justice internationale ». Il a aussi expliqué le pourquoi de la lenteur de la réaction de l’Union Africaine, face à ce phénomène.
« Je pense que la commission de l’Union africaine travaille d’abord à s’assurer que les informations sont réelles. La réaction des états est différente de celle des citoyens. Le temps des recoupements peut justifier un délai. Aujourd’hui il nous semble que les faits sont attestés. Comme nous avons un sommet dans quelques jours, ce sera une occasion pour l’Union africaine et l’ensemble des chefs d’États de prendre une décision » a-t-il dit.
Et d’ajouter, « les criminels seront traduits devant une cour de justice internationale. C’est un point de vue personnel mais aussi de beaucoup de Chef d’Etat. Le commerce des êtres humains est un crime contre l’humanité et la CPI devrait pouvoir se saisir. Mais la décision appartient à l’Union africaine, et à la conférence des Chefs d’État ».
Donnant son avis personnel, il a laissé entendre que les criminels qui s’adonnent à la vente de noirs comme esclaves, « seront traduits devant une cour de justice internationale ». Il a aussi expliqué le pourquoi de la lenteur de la réaction de l’Union Africaine, face à ce phénomène.
« Je pense que la commission de l’Union africaine travaille d’abord à s’assurer que les informations sont réelles. La réaction des états est différente de celle des citoyens. Le temps des recoupements peut justifier un délai. Aujourd’hui il nous semble que les faits sont attestés. Comme nous avons un sommet dans quelques jours, ce sera une occasion pour l’Union africaine et l’ensemble des chefs d’États de prendre une décision » a-t-il dit.
Et d’ajouter, « les criminels seront traduits devant une cour de justice internationale. C’est un point de vue personnel mais aussi de beaucoup de Chef d’Etat. Le commerce des êtres humains est un crime contre l’humanité et la CPI devrait pouvoir se saisir. Mais la décision appartient à l’Union africaine, et à la conférence des Chefs d’État ».
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