Le ministre délégué auprès du ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfance en charge de la Microfinance et de l’Economie solidaire, Moustapha Diop, a indiqué vendredi que la promotion et l’appui aux entreprises dirigées par des femmes et des jeunes filles figurent parmi les priorités du Plan Sénégal émergent (PSE), le programme du chef de l'Etat.
Il a justifié par ce fait la pertinence du Projet d’appui au développement de l’entreprenariat féminin et de l’emploi des jeunes (PADER/EJ).
Il procédait, à Saly-Portudal (Mbour, ouest), à l’ouverture officielle de l’atelier de partage du document de mise en œuvre du PADER/EJ, qui entre dans le cadre du Fonds national de promotion de l’entreprenariat féminin.
Dans le cadre de sa politique de promotion de l’entreprenariat féminin et de l’emploi des jeunes, le gouvernement du Sénégal a bénéficié, depuis le 22 mai 2013, d’un prêt de la Banque islamique de développement (BID) pour financer les activités du PADER/EJ. Ce projet est adossé à la politique nationale de développement économique et social.
Moustapha Diop a salué la coopération avec la BID, marquée selon lui par le financement d’un portefeuille de plusieurs projets relevant de divers secteurs d’activités dont l’entreprenariat. Lequel occupe, dit-il, une place ‘’à la fois centrale et transversale’’ dans ce projet d’un montant de 11 milliards de francs CFA qui va être déroulé sur quatre ans.
‘’Axé sur le développement des chaînes de valeur agricoles, à l’image du riz, de l’oignon et du lait, de l’accès au crédit par le biais de la finance islamique et, surtout, au renforcement des capacités managériales et gestionnaires, le PADER/EJ fait sienne l’ensemble des préoccupations du gouvernement en matière d’émancipation économiques des femmes’’, a souligné M. Diop.
Il demeure ‘’convaincu’’ que ce projet, mené à terme, va ‘’indéniablement’’ contribuer à lever certaines contraintes majeures qui freinent le développement de l’entreprenariat féminin, notamment l’accès aux ressources mais aussi la mise à disposition d’outils de production et de commercialisation agricole en faveur du monde rural.
‘’L’objet de nos travaux est, d’une part, d’échanger sur les outils de mise en œuvre du PADER/EJ et, d’autre part, de recueillir toute observation et orientation utiles pour la bonne exécution dudit projet’’, a-t-il expliqué.
Il a justifié par ce fait la pertinence du Projet d’appui au développement de l’entreprenariat féminin et de l’emploi des jeunes (PADER/EJ).
Il procédait, à Saly-Portudal (Mbour, ouest), à l’ouverture officielle de l’atelier de partage du document de mise en œuvre du PADER/EJ, qui entre dans le cadre du Fonds national de promotion de l’entreprenariat féminin.
Dans le cadre de sa politique de promotion de l’entreprenariat féminin et de l’emploi des jeunes, le gouvernement du Sénégal a bénéficié, depuis le 22 mai 2013, d’un prêt de la Banque islamique de développement (BID) pour financer les activités du PADER/EJ. Ce projet est adossé à la politique nationale de développement économique et social.
Moustapha Diop a salué la coopération avec la BID, marquée selon lui par le financement d’un portefeuille de plusieurs projets relevant de divers secteurs d’activités dont l’entreprenariat. Lequel occupe, dit-il, une place ‘’à la fois centrale et transversale’’ dans ce projet d’un montant de 11 milliards de francs CFA qui va être déroulé sur quatre ans.
‘’Axé sur le développement des chaînes de valeur agricoles, à l’image du riz, de l’oignon et du lait, de l’accès au crédit par le biais de la finance islamique et, surtout, au renforcement des capacités managériales et gestionnaires, le PADER/EJ fait sienne l’ensemble des préoccupations du gouvernement en matière d’émancipation économiques des femmes’’, a souligné M. Diop.
Il demeure ‘’convaincu’’ que ce projet, mené à terme, va ‘’indéniablement’’ contribuer à lever certaines contraintes majeures qui freinent le développement de l’entreprenariat féminin, notamment l’accès aux ressources mais aussi la mise à disposition d’outils de production et de commercialisation agricole en faveur du monde rural.
‘’L’objet de nos travaux est, d’une part, d’échanger sur les outils de mise en œuvre du PADER/EJ et, d’autre part, de recueillir toute observation et orientation utiles pour la bonne exécution dudit projet’’, a-t-il expliqué.
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